Par AufaitMaroc, 6/10/2013
Un sit-in de solidarité avec Hiba et Jihane, deux victimes de violet d’agressions sexuelles, est prévu ce lundi. /DR |
Un sit-in de solidarité avec Hiba et Jihane, deux victimes de viol et d’agressions sexuelles dont l'affaire avait éclaté
en juillet dernier, est prévu ce lundi devant la Cour d'appel de Rabat.
Le comité national de soutien aux deux victimes a lancé la semaine
dernière cet appel.
Ce jour marque également le début du procès de l'agression sexuelle des deux jeunes lycéennes. Leur malencontreuse histoire, rappelle-t-on, avait mis la toile en émoi. Facebook grâce à un statut posté par la mère de Jihane, cette affaire a depuis connu plusieurs développements.
D'abord, les deux agresseurs présumés avaient été présentés devant le parquet général, et avaient reconnu les faits. Ils sont, jusqu'à maintenant en état d'arrestation, puisque la cour avait refusé de leur accorder la liberté provisoire, revendiquée par la défense.
Un refus accueilli favorablement par les familles des victimes, elles, qui avaient reçu des menaces de la part des agresseurs pour intimider les jeunes filles et les empêcher de porter plainte.
Rappelons que l'un des agresseurs, un jeune de 20 ans, est fils d'un haut gradé de l’armée, alors que le second, beaucoup plus âgé, est le gendre d’un ancien haut responsable également.
Ce jour marque également le début du procès de l'agression sexuelle des deux jeunes lycéennes. Leur malencontreuse histoire, rappelle-t-on, avait mis la toile en émoi. Facebook grâce à un statut posté par la mère de Jihane, cette affaire a depuis connu plusieurs développements.
D'abord, les deux agresseurs présumés avaient été présentés devant le parquet général, et avaient reconnu les faits. Ils sont, jusqu'à maintenant en état d'arrestation, puisque la cour avait refusé de leur accorder la liberté provisoire, revendiquée par la défense.
Un refus accueilli favorablement par les familles des victimes, elles, qui avaient reçu des menaces de la part des agresseurs pour intimider les jeunes filles et les empêcher de porter plainte.
Rappelons que l'un des agresseurs, un jeune de 20 ans, est fils d'un haut gradé de l’armée, alors que le second, beaucoup plus âgé, est le gendre d’un ancien haut responsable également.
Y. B.
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