Spécial dernière minute
APPEL URGENT 50 Jours de grève
Les étudiants sahraouis, détenus politiques,à la prison locale Boulmharz à Marrakech/Maroc Brahim Bariaz, Jalihanna Abu Alhassan et AliSalem Ablagh
Nous sommes toujours en grève de la faim non limitée depuis le 13 Février 2009, dans de terribles conditions de santé à la prison local Marrakech,/Maroc, protestant contre notre détention illégale , réclamant l’amélioration nos conditions de détention à l’intérieur de la prison, ainsi que nos droits légitimes garantis par les Conventions et traités internationaux en tant que prisonniers d’opinion.
l'administration pénitentiaire sous la responsabilité de l’Etat Marocain , continue de négliger nos droits et nos demandes légitimes, et refuse d’ouvrir un dialogue sérieux avec nous malgré que nous trouvons dans un état " alarmant " à l'intérieur de la prison où nos états de santé sont " très critiques".
Nos revendications trouvent leur justification dans les conventions internationales qui définissent la façon de traiter le prisonnier et notamment les règles types minimales de traitement des prisonniers formulées en 1955 et ratifiées par le Maroc en tant que membre de Nations Unies, ainsi que dans la réglementation marocaine régissant l'incarcération sous n°23/98 qui a été promulguée en abrogation des lois du 11/04/1915 et du 26/06/1930.
En plus de ces droits, nos revendications en tant que prisonniers politiques sont:
1 –accorder des traitements de prisonniers d'opinion et nous traiter avec respect par le direction de la prison.
2- le droit à une alimentation convenablement préparée et présentée.
3 – le droit aux soins médicaux en prenant en compte nos très mauvais états de santé avec des maladies chroniques comme conséquences de nos dernières conditions de détention.
4-nous permettre de jouir de la promenade quotidienne.
5 - permettre à toute personne sans exception de nous visiter en tenant compte que la majorité d'entre eux viennent des villes du Sahara et parcourent des distances très langues, et réserver une salle à cette effet.
6-Isolons-nous de prisonniers de droit commun.
7- le droit à suivre l'étude dans l'enseignement supérieur.
Nous constatons avec fierté :
Plusieurs organismes d'information et organisations de droits humains (marocaines, sahraouies, internationales), les journalistes, les intellectuels, les écrivains et tous les libéraux-démocrates, qui ont réagit à l'événement de nos grève de faim illimitée.
Nous félicitons vivement les prisonniers politiques sahraouis qui croupissent dans les prisons marocaines (Noire (Sahara occidental) ,Bensliman, Taroudant, Ait Melloul, Inzegan ,Kenitra( Maroc) )qui ont décidé d’entamer une grève de la faim en signe de solidarité avec nous, et nous constatons également le soutien des familles et des étudiants sahraouis et l’Union nationales des étudiants marocains en particulier les prisonniers politiques du parti de gauche marocain Annahj Addimoucrati.
Et devant l’entêtement de la direction pénitentiaire et son refus de répondre à nos revendications légitimes, ainsi que son indifférence à l’égard de nos états de santé alarmants et l’absence des soins médicaux les plus bas
Nous décidons d’engager un pas d'escalade en passant à une deuxième phase de la grève en refusant à partir du début de la semaine prochaine et durant 48 heures de prendre de l’eau et du sucre . Et nous assumons l’Etat marocain la responsabilité totale de ce qui peut arriver nous.Les détenus politiques sahraouis
Khalihanna Abu Alhassan, Brahim Bariaz, et Ali Salem Ablagh
Prison locale de Boulmharz à Marrakech/Maroc 04 avril 2009
NOS RUBRIQUES : VIE QUOTIDIENNE AU ROYAUME DE L’ARBITRAIRE - RÉPRESSION POLICIèRE ET JUDICIAIRE - TORTURE - Luttes de dÉtenus - LUTTES SYNDICALES - luttes sociales – Mémoire - MÉDIAS - MIGRATIONS - AGRICULTURE/ALIMENTATION
Pleins feux sur : la torture
Au Maroc être jeune et étudiant est une situation à haut risque : souffrances physiques (tortures) psychologiques (ajournements répétés des procès ) et morales (pression – et répression- sur les familles ) ; être un jeune Marocain sans histoire, admirateur de son roi, comporte aussi des risques, et être Marocain en France ne garantit pas du tout le bonheur.
Ce bonheur que tentent de trouver outre-Méditerranée de nombreux Marocains est un piège à mille facettes, avec souvent la mort au cours du voyage…
Les luttes sociales, les luttes syndicales connaissent toujours leur lot d’injustices, d’arrestations, d’incarcérations, de licenciements, de procès, de souffrances…
La liberté de la presse encore mise à mal.
Les fraises espagnoles menacent la santé des Marocaines qui les cueillent et celle des Européens qui les consomment…
VIE QUOTIDIENNE AU ROYAUME DE L’ARBITRAIRE
Lettre adressée aux autorités du Maroc le 21.10 2008 par Solidarité Maroc 05
RÉPRESSION POLICIERE ET JUDICIAIRE
TORTURE
Témoignage de Zahra Bodkor
La détenue politique Zahra Bodkor - Prison civile Boulmharez Marrakech- s’est battue aux côté de ses camarades et a été arrêtée avec 17 autres étudiants marocains au mois de mai 2008. La lutte pour la gratuité de l’enseignement et les libertés politiques à l’université s’est enflammée après l’intoxication de 22 étudiantEs au restaurant universitaire … Actuellement les détenuEs sont toujours en prison. Le procès des 18 étudiants de Marrakech, dont Zahra a encore été reporté, au 28 mai 2009
La vidéo du témoignage de Zahra http://www.youtube.com/watch?v=hiS16bPHXLc
« J’ai été arrêtée le 15/05/2008 à 9:35 du matin. Sur place j’ai reçu un coup de poing sur le nez, ce qui l’a fait saigner, et j’ai reçu aussi des coups de bâton sur la tête et des coups de pieds sur tout le corps , en plus de me faire tirer les cheveux.
Après ils m’ont emmenée sur une avenue dont je ne connais pas le nom et m’ont jeté par terre à coups de pieds ; quand je suis tombée les coups de pieds continuaient à pleuvoir sur mon dos, et un de ces sauvages voulait pisser sur moi, en m’insultant et me menaçant de viol. Après on m’a remise debout et j’ai reçu un coup de poing sur mon nez qui a saigné de nouveau.
Luttes de dÉtenus
Khalihanna Abou El Hassan, Ibrahim Barbaz et Ali Salem Ablagh.
COMMUNIQUE La Fédération Nationale du Secteur Agricole affiliée à l'UMT condamne les agissements antisyndicaux et illégaux contre ses militants menés par la société Maraissa/groupe Azura
continue ses agissements anti-syndicaux par la pression sur les ouvriers au niveau de la ferme et par le licenciement des syndicalistes affiliés à l'UMT. En effet, 15 ouvriers observent leur sit-in devant le groupe Azura dans la région d'Agadir au Maroc depuis le 9 mars 2009 pour revendiquer leurs réintégration dans leurs postes de travail a .
pour défendre leurs droits, la société procède au licenciement du secrétaire général et un autre membre du bureau syndical des ouvriers de 15, et qui ne faisaient pas partie du licenciement collectif de 20 ouvriers effectué par la société depuis le 11 février 2009, par vengeance de l'administration contre la grève réussi des ouvriers les 19 au 21 mars 2009.
/groupe Azura. Et nous revendiquons l’ouverture d’un dialogue sérieux et fructueux avec notre Fédération.
15.
15, devant le tribunal pour motif d'atteinte a la liberté de travail: un motif faut!
9 et 10 qui ont été licencie depuis plusieurs mois.
n'est qu'une boite a lettre .
, entre juillet 2004 et janvier 2006.
15 de leurs poste avant la grève et le maintien de leurs salaires d'avant la grève.
JOURNÉE NATIONALE DE SOLIDARITÉ AVEC LE MILITANT SAID NAFIA SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L'ORGANISATION DÉMOCRATIQUE DES CHEMINOTS
LA SECURITE FERROVIAIRE AU MAROC
UN NOUVEAU SCANDALE CHEZ MONSIEUR LAKHLIAA ET LE MINISTRE DE TRANSPORT
LA REGULATION DU TRAFIC DES TRAINS AU MAROC (SECURITE DES CIRCULATIONS DES TRAINS ) A ETE SUSPENDUE POUR DES RAISONS INCONNUES DEPUIS LE 3 FEVRIER 2009 AU 27 FEVRIER LE SAMEDI 28 FEVRIER 2009 UN TRAIN ENTRE EN COLLISION AVEC UN VEHICULE DANS PASSAGE A NIVEAU NON GARDE EN PLEIN CENTRE DE CASA BERRCHID..... (PRESQUE TOUS LES PASSAGES NE SONT PLUS GARDEE) ACCIDENT MORTEL ,LE CONDUCTEUR DU TRAIN EST DECEDE SUR LE CHAMP, DES BLESSES GRAVES ET DES DEGATS MATERIELS TRES LOURDS.
34 trains voyageurs en moyenne (aller- retour) passent par ce passage à niveau non garde en plus des trains marchandise et phosphates....
EN 2008 PLUSIEURS ACCIDENTS SE SONT PRODUITS CAUSANT DES DECES ET DES BLESSSES
2009 S'ANNONCE MAL LA DIRECTION DE L'ONCF CHEMINS DE FER MAROC S'EN FOUT DE LA SECURITE DES CITOYENS ET USAGERS. ELLE ADOPTE LA STRATEGIE DE LA PUB MENSONGERE ET LA CORRUPTION POUR DES SPOTS (MEDIATIQUE) AFIN DE CACHER SES DEFFAILLANCES.
LES CHEMINOTS METTTENT EN EVIDENCE LA RESPONSABLITE CAPITALE ET ENTIERE DE LA DIRECTION GENERALE DES CHEMINS DE FER AU MAROC.
UNE ENQUETE DES POUVOIRS PUBLICS EST URGENTE EST PLUS QUE NECCESSAIRE POUR METTRE FIN A L'ANARCHIE DANS CE SECTEUR DEVENU MORTEL A PLUS D'UN TITRE
LE MINISTRE DU TRANSPORT EST COMPLICE . L'AFFAIRE SCANDALEUSE DES TRAINS A DEUX NIVEAUX ACHETÉS D'OCCASION A L'ITALIE SONT AU GARAGE DEPUIS PLUSIEURS MOIS.
luttes sociales
Rafael Merchante
Dépêche n°2 : Le Maroc décide de renouveler l'accréditation du photographe de Reuters
Rabat (MAP 03 Avril 2009) - Le ministère de la Communication a décidé, jeudi, de renouveler l'accréditation du photographe de Reuters au Maroc, Rafael Merchante, a-t-on appris de source autorisée auprès du ministère.
Cette décision fait suite à une série de contacts entre le ministère et l'agence de presse britannique Reuters, que ce soit au niveau de son administration centrale à Londres ou au niveau du chef de son bureau au Maroc, ajoute la même source.
Dans ce cadre, le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Khalid Naciri, a reçu, mercredi à Rabat Steve Chrisp, un des hauts responsables de l'agence Reuters, dépêché au Maroc pour traiter avec le ministère du cas du photographe de l'agence Reuters, dont l'accréditation n'a pas été renouvelée.
Afin de créer les conditions favorables au règlement de ce dossier, dans le cadre d'un dialogue direct entre Reuters et les autorités marocaines, l'agence britannique avait demandé à son photographe, d'origine espagnole, de s'abstenir de toute déclaration à la presse sur ses conditions de travail au Maroc et de tout commentaire sur la décision des autorités marocaines.
Lors de la rencontre entre Naciri et Chrisp, et à laquelle ont assisté des responsables du ministère et le directeur de l'agence Reuters au Maroc, le ministre a exposé les différents aspects, les tenants et aboutissants ainsi que les raisons ayant amené le ministère à prendre sa décision au sujet du photographe de Reuters, précise-t-on de même source.
Naciri a également réitéré l'intérêt que porte le Maroc à la poursuite des activités de l'agence dans le Royaume.
Pour sa part, Chrisp a exprimé le souci de l'agence Reuters à poursuivre son activité au Maroc dans des conditions normales et dans le cadre du respect total des lois en vigueur dans le Royaume du Maroc et des principes et règles de la déontologie de la profession tels que fixés par l'agence britannique, et qui engagent l'ensemble de ses employés.
Chrisp a, dans ce cadre, exhorté le ministère, au nom de l'agence Reuters, à œuvrer en vue de surmonter ce problème résultant de la décision des autorités marocaines de ne pas renouveler l'accréditation du photographe de l'agence britannique au Maroc.
Il s'est, à ce titre, personnellement engagé à ce que le comportement professionnel du photographe en question, durant l'exercice de ses activités, soit conforme aux lois marocaines et à la déontologie de l'agence Reuters.
Suite aux démarches entreprises par l'agence Reuters, aux engagements pris par son représentant et à l'appel du Syndicat national de la presse marocaine (SNPM), pour le règlement de ce dossier par le dialogue et l'entente et dans le cadre du respect des lois marocaines et de la déontologie de la profession, le ministre de la communication, porte-parole du gouvernement, a instruit les services compétents du ministère de renouveler l'accréditation du photographe de Reuters à partir du 2 avril.
MIGRATIONS
Le dernier naufrage de migrants en Méditerranée
Lire le communiqué de Migreurop
Lire la chronique d’Olivier Duhamel sur France-Culture
Ils sont morts pour vous rejoindre......
jetés à la mer
en Lybie...
marocains, algériens, subsahariens..
bref : africains..
de chez nous
de chez moi....
ils ont tout risqué
ils ont rêvé
que là bas
chez vous
c'était mieux !!!
que c'est l'Eden
que c'est le paradis!!!
ils ont cru fuir
la pauvreté
l'humiliation
les conflits armés..
leurs corps
que même la mer ne veut pas
sont là
nous accusant tous et toutes..
si on avait entretenu
l'espoir
en un lendemain meilleur
en doublant notre résistance
en étant là
sur le terrain
montrant le chemin
aux nôtres
qui s'en vont
se faire bouffer
par les poissons...
(…)
Smirnova
L'existence d'éléments nouveaux et des doutes sur les procédures ont conduit Mohammed à tenter cette ultime demande sachant que
04.04.09 : Mohammed va très certainement être expulsé par bateau demain alors que des nouveaux éléments aux dossiers apparaissent et qu'ils ont été communiqués. La préfecture fait la sourde oreille!!!
Un nouveau rassemblement a lieu aujourd’hui devant la préfecture de Gap pour tenter de faire fléchir
Pour soutenir cet ultime recours, nous vous demandons d'apporter votre soutien à Mohammed et d'intervenir auprès de Madame
Pour demander la régularisation de Mohamed :
Proposition de texte à adresser à la préfecture de Gap:
Madame
Pour ces raisons j' estime qu’il serait juste que sa situation soit régularisée et je vous dis mon indignation face à votre décision de ne pas apporter de réponse favorable à Monsieur Mohamed El Haouhay. malgré les nouveaux éléments qui justifieraient un réexamen de la situation.