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JUSTICE - On pensait la page tournée après que le tribunal de première instance de Marrakech a jugé la plainte de Mustapha Hasnaoui contre Nabil Ayouch "irrecevable".
Mais le président de l'association marocaine de défense du citoyen, qui
estimait que le cinéaste nuisait "à Marrakech et à ses femmes, ainsi
qu'à la femme marocaine" persiste et fait appel du verdict.
La
première audience de ce procès en appel a eu lieu le 9 mai. "Nous
n'avons pas été au tribunal puisque mon client n'a pas été notifié",
indique au HuffPost Maroc Youssef Chehbi, l'avocat de Nabil Ayouch. Pour
la prochaine audience, fixée au 30 de ce mois, le réalisateur de "Much
Loved" n'a pas non plus été notifié à l'heure où nous écrivons ces
lignes.
Pour rappel, la première plainte du président de
l'association marocaine de défense du citoyen a été jugée "irrecevable"
pour "vice de forme". Une décision qui constituait "un signal clair de
la part de la justice que n'importe qui n'a pas la qualité d'agir contre
la réalisation d'un film", selon l'avocat de Nabil Ayouch.
"Much Loved", le dernier long métrage de Nabil Ayouch, a été interdit de diffusion par le ministre de la Communication Mustapha El Khalfi,
qui voyait en cette oeuvre un "outrage grave aux valeurs morales et à
la femme marocaine", bien que le réalisateur n'ait pas demandé de visa
d'exploitation au Centre cinématographique marocain et que la commission
chargée d'accorder l'autorisation de diffusion n'ait donc pas visionné
le film.
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