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samedi 3 décembre 2016

Expo : Sortons les femmes de l'ombre

Elles sont paysannes, lavandières ou bourgeoises et l’on connaît si peu de choses sur elles. Discrètes ou invisibles, elles ont pourtant laissé d’innombrables souvenirs et objets derrière elles. C’est pourquoi l’exposition "Sortons les femmes de l’ombre" a décidé de mettre les femmes à l’honneur.
A découvrir au musée de Salagon, Alpes de Haute Provence, jusqu’au 15 décembre #Expo
goo.gl/WsZX3L

Le comité palestinien pour la solidarité avec le peuple sahraoui condamne l’arrestation abusive des militants sahraouis


 
 

Dans un communiqué publié hier, le comité palestinien pour la solidarité avec le peuple sahraoui condamne avec vigueur la vague d'arrestations arbitraires des militants sahraouis par les forces d’occupations marocaines. “Les arrestations ont été faites par les services secrets marocains dans le cadre d’une campagne hystérique menée par l’Etat marocain contre le peuple sahraoui qui organise des manifestations pacifiques pour l’indépendance et la liberté” lit-on dans ce communiqué.
Le jeudi 2 décembre, des policiers en civil ont détenu un groupe de jeunes Sahraouis parmi lesquels figure un membre du comité palestinien pour la solidarité avec le peuple sahraoui, Ali Saadouni.
“Ce n’est pas la première fois que ce militant est détenu. En fait, les autorités d’occupation marocaines l’ont incarcéré et enlevé à plusieurs reprises et l'ont systématiquement exposé à toutes genres de tortures et traitements dégradants” ajoute le communiqué.
Le comité palestinien  déclare fermement sa solidarité avec Ali Saadouni et ses camarades en détention, et responsabilise l’État marocain pour tout abus infligé à leur état physique et moral, et lance un appel urgent aux organisations libres du monde pour faire pression sur l’Etat marocain pour libérer tous les prisonniers politiques sahraouis dans les geôles de l’occupation marocaine.
Khalil Asmar

L’Union des femmes social-démocrates suédoises organise une conférence autour de la cause sahraouie à Stockholm

La conférence a abordé les sacrifices et le rôle d’avant-garde joué par les femmes sahraouies dans la lutte pour la liberté et l'émancipation.
Le représentant du Front Polisario au Suède, Alien Habib Kentawi  et la directrice de l’Ecole Olof Palme, Mumna Salem Lebsir ont assistés à cette conférence.
Une exposition photographique a été organisée portant sur les souffrances et les violations des droits de l’homme, la torture et les mauvais traitements et les harcèlements sexuels commis par le colonisateur marocain. (SPS)

vendredi 2 décembre 2016

Génocide rwandais : la LICRA partie civile au procès en appel du capitaine Simbikwanga

LICRA

Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme depuis 1927


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Depuis le 24 octobre 2016, Pascal Simbikangwa, ancien capitaine rwandais de 56 ans, est jugé en appel par la cour d’Assises de Seine-Saint-Denis pour complicité de génocide et de crimes contre l’humanité au Rwanda en 1994. En première instance, il avait été condamné à 25 années de réclusion criminelle à l’issue d’un procès historique, le premier du genre à se tenir en France pour juger des crimes commis lors du génocide des Tutsis. La LICRA, partie civile à ce procès, est représentée par MeRachel Lindon et Me Justine Mahasela.

VERDICT LE 3 DECEMBRE 2016.
Pour en savoir plus : 
Suivez le fil des plaidoiries sur le fil Twitter du Collectif Parties Civiles Rwanda 
Suivez-nous
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Le Maroc interdit aux jeunes Sahraouis d'assister à la réunion de consultation sur la "green" energy "

Western Sahara Resource Watch

"Nous sommes des civils marocains, la police nous a arrêtés à deux rues de l' Hôtel Al Massira", explique Mohamed, l'un des nombreux Sahraouis qui avaient espéré de venir assister à la réunion de consultation.  Au moins 15 personnes ont été arrêtées avec moi ".
Le 30 novembre 2016, le gouvernement marocain a invité à une "Audition publique" en ce qui concerne le programme d'infrastructures énergétiques à El Ayoun, Sahara occidental occupé. Toutefois, un groupe de Sahraouis dit qu'ils se sont vus interdire d'entrer dans le lieu de l'audition par la police marocaine.
Le Maroc occupe illégalement le territoire du Sahara Occidental, et, au cours des dernières années, s'est lancé dans un programme de construction de projets d'énergies renouvelables sur les terres illégalement contrôlées.
En se connectant du Sahara Occidental au Maroc par le biais de la production d'énergie, le Maroc incite à diminuer le processus de décolonisation de l'ONU.
Pour en savoir plus sur les projets d'énergie du Maroc au Sahara Occidental sur http://www.wsrw.org

François Hollande  : « J’ai décidé de ne pas être candidat à l’élection présidentielle »

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François Hollande a annoncé jeudi 1er décembre à 20 heures qu’il ne présenterait pas à un second mandat.





Résultat de recherche d'images pour "François Hollande le 1er décembre. / OLIVIER MORIN/AFP"
L’événement est inédit sous la Ve République. Si en théorie, la possibilité que le président de la République sortant ne se représente pas était bien sûr envisageable, elle n’était pas la plus probable. Après avoir dressé le bilan de son action, laissant penser qu’il allait se déclarer candidat, le chef de l’État a brusquement infléchi son discours, amorçant l’annonce d’une non-candidature.

Un seul regret

François Hollande avait commencé par revenir sur son bilan, et notamment sur le chômage, dont il avait fait la condition pour se représenter : « L’engagement majeur que j’avais pris devant vous, c’était de faire baisser le chômage (…) Les résultats arrivent plus tard que je les avais annoncés, mais ils sont là (…). Depuis le début de l’année, le chômage diminue, mais il reste à un niveau trop élevé. »
Il est ensuite revenu sur la lutte contre le terrorisme : « j’ai voulu que soit maintenue la cohésion nationale. Nous avons tenu bon », avant de confesser : « je n’ai qu’un seul regret : avoir proposé la déchéance de nationalité, parce que je pensais qu’elle pouvait nous unir ; elle nous a divisés. »

France - Non à la ségrégation nationale contre les jeunes étrangers


Par Un collectif




A l'occasion de la Journée internationale des droits de l'enfant, des personnalités de la société civile dont l'historien Pap Ndiaye dénoncent la nouvelle loi sur la protection de l'enfance, qui légalise la discrimination des mineurs étrangers.

La loi réformant la protection de l’enfance, promulguée le 14 mars 2016, détruit un ensemble de droits fondamentaux et légalise la discrimination des jeunes étrangers présents sur notre territoire. Elle instaure un régime de droit spécial, comprenant un ensemble de dispositions contraires à celles qui s’appliquent encore aux jeunes français qui, eux, bénéficient des mesures antérieures, plus protectrices et conformes au principe d’égalité universel : «Un enfant doit être protégé».
Pour la première fois dans notre pays depuis Vichy, le critère de nationalité ouvre à un régime de ségrégation nationale.

jeudi 1 décembre 2016

Je reviens tout juste du procès de Moad (en Belgique)



Je reviens tout juste du procès de Moad

Je reviens tout juste du premier procès de policiers en Belgique.
Moad, 14 ans, 1m50, 45kgs[1], a été tabassé en janvier 2013 par quatre policiers mâles à coups de matraque pour avoir fui un contrôle d’identité.
J’arrive avec un t-shirt décoré aux couleurs de « Justice pour Moad ». Très vite, des camarades se font interpeller et on leur demande d’ôter le vêtement en question. Sans demander plus d’explications, elles obéissent, tandis que j’essaie de cacher le motif sous ma veste, afin qu’on ne m’oblige pas à me rendre nue au procès. En effet, je ne portais que ce t-shirt ce jour-là, zappé total le soutien-gorge.
Ces hommes blancs de deux mètres de haut finissent par remarquer les écritures, et me demandent d’ôter mon t-shirt comme tout le monde. Je leur explique calmement que je ne porte rien en-dessous et je me fais engueuler comme du poisson pourri. On me dit que si je continue on va me mettre dehors.

La France pille 440 milliards d'euros par an à ses "anciennes" colonies d'Afrique

Franc CFA : quand les Allemands s'en mêlent
Un journal économique allemand accuse la France de piller chaque année 440 milliards d'euros aux Africains à travers le Franc CFA. 
 Par Ivoirebusiness, 7/11/2016
Cet esclavage économique est important pour l’essor de l’économie française. À chaque fois que ce trafic est susceptible de faillir, la France est prête à tout pour le reconquérir. Si un dirigeant de la zone CFA ne répond plus aux exigences de la France, Paris bloque ses réserves de devises et plus encore, la France ferme les banques dans ce pays jugé «rebelle». C’est fut le cas de la Côte d’Ivoire avec Laurent Gbagbo.
"Le gouvernement français recueille auprès de ses anciennes colonies chaque année 440 milliards d'euros de taxes. La France repose sur les recettes venant d'Afrique, pour ne pas sombrer dans l'insignifiance économique, prévient l'ancien président Jacques Chirac.
Dans les années 1950 et 60, la France a décidé les colonies françaises d'Afrique à devenir indépendante. Bien que le gouvernement de Paris ait accepté les déclarations d'indépendance formelles, il a appelé les pays africains à signer un soi-disant «pacte pour la poursuite de la colonisation". Ils y ont convenu d'introduire la monnaie coloniale française FCFA ( «Franc pour les colonies françaises en Afrique"), de maintenir les écoles françaises et le système militaire, et d'établir le français comme langue officielle.
Le Franc CFA est la dénomination de la monnaie commune de 14 pays africains membres de la zone Franc. Cette monnaie qui constitue un frein à l’émergence de ces pays a été créée en 1945, date où la France a ratifié les accords de Bretton Woods et procédé à la mise en œuvre de sa première déclaration de parité au Fonds monétaire international (FMI). Cela s’appelait à l’époque «Franc des Colonies Françaises d’Afrique».
En vertu de cette loi, 14 pays africains sont encore obligés de stocker environ 85 pour cent de leurs réserves en devises à la Banque de France à Paris. Ils sont sous le contrôle direct du Trésor français. Les pays concernés n'ont pas accès à cette partie de leurs réserves. Les 15 pour cent des réserves ne suffisant pas à leurs besoins, ils doivent emprunter des fonds supplémentaires du Trésor français au prix du marché. Depuis 1961, Paris contrôle toutes les réserves en devises étrangères du Bénin, du Burkina Faso, la Guinée-Bissau, Côte-d'Ivoire, Mali, Niger, Sénégal, Togo, Cameroun, République centrafricaine, Tchad, Congo, Guinée équatoriale et le Gabon.
En outre, ces pays doivent chaque année transférer leur «dette coloniale» pour l'infrastructure construite en France à Paris comme la Silicon Afrique 3 a rapporté en détail. La France prend environ 440 milliards d'euros par an. Le gouvernement à Paris dispose également d'un droit de premier refus sur toutes les ressources naturelles nouvellement découvertes dans les pays africains. Enfin, les entreprises françaises doivent avoir la priorité dans l'attribution des contrats dans les ex-colonies. En conséquence, il y a le plus d'actifs dans les domaines de l'approvisionnement, de la finance, le transport, l'énergie et l'agriculture dans les mains des sociétés françaises.
L'élite dirigeante dans chaque pays africain doit remplir ces créances obligatoires sans aucun autre choix. Les dirigeants africains qui refusent sont menacés d'assassinat ou de renversement de leur gouvernement. Au cours des 50 dernières années, on a eu 67 coups d’État dans 26 pays africains. 16 de ces 26 pays étaient d'anciennes colonies de la France.
Un exemple est le premier président du Togo Afrique de l'Ouest, Sylvanus Olympio, renversé par un coup d’État. Il avait refusé de signer le «Pacte pour la poursuite de la colonisation". Mais la France a insisté pour que le Togo paie la compensation pour les infrastructures qui avaient été construites par les Français pendant la période coloniale. La somme équivaut en une année à environ 40 pour cent des ressources des ménages du Togo en 1963, obligeant le pays juste indépendant à atteindre rapidement ses limites économiques.
En outre, le nouveau président du Togo a décidé de supprimer la monnaie coloniale française FCFA et d'imprimer sa propre monnaie nationale. Trois jours après cette décision, le nouveau gouvernement a été renversé par un groupe d'anciens légionnaires étrangers et le Président tué. Le chef des Légionnaires, Gnassingbe Eyadema, a reçu 550 euros de l'ambassade française pour l'attaque, selon le Telegraph britannique. Quatre ans plus tard Eyadema a été promu avec le soutien de Paris, nouveau président du Togo. Il a établi une dictature tyrannique dans ce pays d'Afrique occidentale et est resté au pouvoir jusqu'à sa mort en 2005.
Dans les années suivantes, le gouvernement de Paris a gardé le lien avec les anciens légionnaires pour renverser des gouvernements impopulaires dans ses ex-colonies. Ce fut le cas du premier président de la République centrafricaine, David Dacko, renversé par les anciens membres de la Légion étrangère en 1966.
La même chose est arrivée au Président du Burkina Faso, Maurice Yaméogo, et avec le président du Bénin, Mathieu Kérékou, auteur d'un putsch. Ce fut aussi le cas du premier président de la République du Mali Modiba Keita, qui a lui aussi été victime d'un coup d’État par d'ex-légionnaires en 1968.
La raison : quelques années plus tôt, il avait simplement décidé de se séparer de la monnaie coloniale française."
Lire la suite sur...http://deutsche-wirtschafts-nachrichten.de/2015/03/15/frankreich-kann-se...

La CONASADH condamne la répression et la torture commise contre les femmes dans les territoires occupés du Sahara occidental

Chahid El Hafed, 26 nov 2016 (SPS) 

 La commission nationale sahraouie des droits de l’homme (CONASADH) a condamné toutes les formes de répression et de torture commis contre les femmes sahraouies dans les territoires occupés du Sahara occidental par les forces de répression de l’occupant marocain.
"Nous condamnons les formes de répression, de torture physique et verbale commises par les autorités d’occupation marocaines contre les femmes sahraouies participantes aux manifestations pacifiques pour réclamer le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance et contre le pillage illégal des ressources naturelles de leur pays", a déclaré la commission dans un communiqué à l’occasion la journée mondiale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes.

mercredi 30 novembre 2016

Il nous manque encore 293 signatures pour atteindre le nombre de jours ...

Cela fait 6 ans qu'Ali a été injustement extradé vers le Maroc malgré un non-lieu prononcé  an 2010 en Espagne par le Juge Balthazar Garzon!

Cela fait 6 ans que sa famille alerte les autorités belges pour qu'elles offrent à Ali Aarrass l'assistance consulaire qu'elles accorderaient à n'importe quel citoyen Belge!

En vain!  

Depuis plus d'un mois, Ali est détenu dans des conditions effroyables en isolement total à la prison de Tiflet et son état de santé est très préoccupant. Cela suffit!

 Le 14 décembre 2016, en cette journée symbolique, nous voulons remettre à Monsieur Reynders les 3178 signatures qui réclament la fin de son inaction dans ce dossier. 

3178 correspond au nombre de jours qu'Ali Aarrass a déjà passé 
en prison
C'est pourquoi nous vous demandons de l'aider en diffusant largement cette pétition et en invitant vos amis et connaissances à la signer afin que le cas d'Ali Aarrass soit connu de tous et dénoncé par tous !


PARTAGEZ LA PÉTITION !


Ali Aarrass est un Belgo-marocain injustement enfermé depuis 8 ans au Maroc suite à des aveux obtenus sous la torture dans une affaire de terrorisme.
petitions24.net
 pour plus d'info: http://www.freeali.eu/

 Comité Free Ali

Le peuple sahraoui rend un hommage mérité au leader décédé de la révolution cubaine, Fidel Castro Ruz.

Étudier envers et contre tout ! Bravo !

الصوره هذي لازم يشوفها اطفال الاى باد والاى فون

mardi 29 novembre 2016

Conférence/débat/discussion autour des 2 livres sur Ali Aarrass - 15 décembre à Bruxelles


  • jeudi 15 décembre à 19:30 - 2:00

  • Librairie Par Chemins
    Rue Berthelot 116, 1190 Forest
     Conférence/débat/discussion autour des 2 livres sur Ali Aarrass:
    la bande dessinée "Je m'appelle Ali Aarrass" de Manu Scordia et le livre "Lettres de prison et journal d'une grève" d'Ali Aarrass et Farida Aarrass.
    A l'heure du tout-sécuritaire, d'un virage à (l'extrême) droite et de l'explosion du racisme le plus décomplexé, quelles perspectives pour Ali Aarrass et pour les binationaux?
    Débat, discussions et témoignages en présence de
    - Farida Aarrass, soeur d'Ali Aarrass et co-auteure du livre "Lettre de prison"
    - Manu Scordia, auteur de la bd "Je m'appelle Ali Aarrass"
     

En plein air à Paris, un professeur bénévole donne des cours aux réfugiés

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En plein air à Paris, un professeur bénévole donne des cours aux réfugiés

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Voici le photo-reportage improvisé d’Eric Coquelin, photographe et auteur engagé sur les questions de démocratie contributive. Il s’est baladé sur la place de la Bataille Stalingrad, pendant un cours de français donné bénévolement par un membre du BAAM (Bureau d’Accueil et d’Accompagnement des Migrants). Les photos montrent des visages plein de curiosité et pourtant, ces visages ont vu les horreurs de la guerre. Des clichés forts, qui vont à l’encontre des stéréotypes même dont souffrent les migrants de tout horizon.
Pour accompagner ces photos, le photographe a souhaité joindre à son reportage une lettre, à l’intention du professeur bénévole.
“Cher Monsieur,
Nous ne nous connaissons pas, et je ne sais même pas si nous nous recroiserons un jour. Même si j’ai une idée du lieu où vous retrouver, vous et vos amis bénévoles de l’association Baam (Bureau d’accueil et d’accompagnement des migrants) qui donnez des cours de français aux migrants, place de la Bataille-de-Stalingrad à Paris… J’ai visité, sans faire de bruit, votre école à ciel ouvert et me suis arrêté dans votre ‘classe’. Frissons… Ce modeste témoignage pour vous remercier, vous encourager.”
E.C
Le BAAM est une association née en 2015 composée de juristes, professeurs, chercheurs, assistantes sociales, étudiants, citoyens lambda qui veulent jouer un rôle dans l’accompagnement des migrants à Paris. Afin de les protéger de la xénophobie et de l’indifférence, ils agissent directement sur le terrain, en apportant chacun leurs compétences à l’édifice. Ces bénévoles, au milieu des jungles et des squats, sont le lien humain et citoyen de réfugiés qui reviennent à peine d’une guerre, de massacres, ou de catastrophe écologique.
“Nous œuvrons et luttons pour un meilleur accueil des réfugiés, demandeurs d’asile et sans papiers en France : un accueil dans le respect de leurs droits, de leur dignité et de leur humanité.”
1-1

Cuba. Non, Cuba n'est pas qu'un désastre

Ah, si Cuba, aujourd'hui, ressemblait à Haïti ou Saint-Domingue, démocraties corrompues, bordels flottants, où aucun droit humain n'est respecté, comme toutes les bonnes âmes se réjouiraient...!
J'étais au Brésil, lors de l'épidémie de méningite, et ce sont les médecins cubains qui l'ont endiguée.
Bien sûr, bien sûr, Fidel Castro, etc... Mais Kennedy, Johnson, Reagan, Bush, les millions de morts qu'ont causés leurs guerres, qui, de ces bonnes âmes, a dit qu'ils n'étaient que des dictateurs et qu'ils ont ouvert plus de prisons, de charniers, de cimetières que le tout petit, tout petit Fidel (à ses idées) qui n'était même pas communiste, d'une toute petite île ?

3 décembre : mobilisation contre le chômage et les précarités et pour la justice sociale !

 
 

3 décembre : mobilisation contre le chômage et les précarités et pour la justice sociale !

 
 

Appel à mobilisation 29 novembre 2016

 
Cher·e adhérent·e,
Attac appelle à soutenir la manifestation des organisations de chômeurs et de précaire qui, comme tous les ans depuis décembre 2003, aura lieu le premier samedi de décembre. Rendez-vous le 3 décembre 2016 à Paris et dans d’autres villes de France (Toulouse, Nantes, Besançon, Bordeaux, Rennes, etc.).
Avant la reprise des négociations avec le Medef et le gouvernement sur l’assurance chômage,
Contre toutes les attaques aux droits des travailleurs, des chômeurs et des précaires,
Pour la réduction du temps de travail et des emplois pour tous respectueux des droits des travailleurs,
Pour la revalorisation des minima sociaux à des niveaux suffisants pour les privés d’emploi et précaires sans perte des autres droits,
Soutenons la manifestation des organisations de chômeurs et de précaires.

Appel

2016 aura été riche en reculs sociaux et en luttes. D’abord l’échec de la négociation de l’assurance chômage et bien évidemment le passage en force de la loi travail, malgré de gigantesques mobilisations.
Rien n’y fait, ni les déclarations, ni le chantage du Medef, ni les mesurettes, ni les cache misère, le chômage ne recule pas, pire l’UNEDIC annonce d’ores et déjà son augmentation pour 2017.
Comment s’étonner quand on sait que la seule politique économique à l’œuvre est basée sur l’aide aux entreprises, sans contrepartie et sans obligations.
Le CICE c’est des dizaines de milliards de cadeaux au patronat, ainsi PSA a perçu 80 millions d’euros pour 8 000 suppressions d’emplois, le service public n’y échappe pas ; La Poste a reçu 297 millions d’euros pour 4 500 suppressions d’emplois.
C’est cette logique destructrice qu’il faut remettre en cause. Les vies qu’ils nous font vivre sont à peine des survies, des parcours du combattant semés d’embûches, des courses quotidiennes d’urgence en urgences.
La réalité c’est ; 6,5 millions de chômeurs, 5,7 millions pour les seules catégories A, B et C. On assiste à l’explosion de la catégorie B ce qui montre le développement de la précarité, des petits boulots, des petits contrats, des courtes missions, qui sont trop souvent le lot des femmes.
La conséquence c’est des petits salaires, des revenus insuffisants, c’est plus de pauvreté et de misère.
Et ces chiffres qui sont des vies ne tiennent pas compte des radiations, des découragés, des invisibles, de celles et ceux n’ayant aucun droit.
Tout ce que les grands patrons et leurs alliés préconisent ne profite qu’à eux et prépare la prochaine crise, tentons de faire le contraire : Réduction du temps de travail, retraite à 60 ans maximum, le SMIC à 1 700 euros, l’indemnisation décente de toutes les formes de chômage, la gratuité des transports, le développement de tous les services publics et les moyens pour toutes et tous de vivre dignement.
Urgence vitale :
  • > Une allocation exceptionnelle de 500 euros dite « prime de Noël ».
  • > L’arrêt des contrôles, des radiations et des trop perçus.
  • > Garantir aux chômeurs et précaires un revenu personnel ayant le SMIC pour référence et la continuité des droits sociaux (retraite...).
  • > L’arrêt des expulsions
Un emploi c’est un droit- Un revenu c’est un dû !
Chômeurs, précaires, intermittent·e·s, intérimaires, autres salarié·e·s, ensemble,
Contre le chômage et les précarités Pour la justice sociale !

Signataires

Agir ensemble contre le Chômage !, Association pour l’emploi, l’information et la solidarité, Mouvement National des Chômeurs et Précaires, CGT-Chômeurs
ActuChômage, Attac, Cgt Spectacles, CIP-Idf, CNT-SO, CGT Interim, Dal, Droits devant !!, Fondation Copernic, FSU, Marches européennes, CGT Pôle emploi, Snu-Pôle-emploi, Sud- Pôle-emploi, Sud Education, US Solidaires
Alternative libertaire, Collectif Roosevelt, Ensemble !,Les Verts, Lutte ouvrière, PCF, PG, NPA
 
 
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