Des
ONGs marocaines ont rendu public, mercredi à Rabat, leur rapport sur la
mise en œuvre de la Déclaration et du programme d’action Beijing-1995.
Coordonné par l’Association démocratique des femmes du Maroc avec
l’appui de l’Union Européenne, ce rapport présente les principales
préoccupations et recommandations relatives à la situation des droits
des femmes.
Le Maroc, qui a ratifié la plupart des instruments généraux
et internationaux visant à instaurer et à promouvoir le principe de
l’égalité hommes-femmes, notamment le Pacte international relatif aux
droits économiques, sociaux et culturels, est engagé politiquement et
moralement dans le processus de la concrétisation des droits des femmes,
note le rapport. Cependant, les ONGs mettent en avant l’insuffisance
des mécanismes de promotion de la situation de la femme, préconisant la
mise en place d’un mécanisme national chargé de la coordination des
politiques nationales qui aura pour tâche essentielle d’appuyer
l’intégration de la problématique hommes-femmes dans tous les secteurs
et toutes les entités de l’Etat. Le rapport recommande, dans ce sens, la
mise en œuvre des mesures de discrimination positive conformément aux
dispositions constitutionnelles afin de réduire les disparités vécues en
termes d’accès aux postes de responsabilités dans la fonction publique.
Pour lutter contre toutes les formes de violence à l’égard des femme.
Le rapport prône également la mise en œuvre du Plan gouvernemental ainsi
que l’opérationnalisation réelle et coordonnée des stratégies des
différents départements ministériels avec l’implication de l’ensemble
des acteurs concernés à tous les niveaux territoriaux.
samedi 28 février 2015
Abdelkader Taleb Omar, premier ministre sahraoui «Le feuilleton doit avoir une fin !»
«Nous disons au monde que les Sahraouis sont plus que jamais unis», a
indiqué hier le Premier ministre sahraoui, Abdelkader Taleb Omar
Le conflit du Sahara occidental traverse l’une des phases des plus complexe de son histoire. Cela fait 24 ans que les Sahraouis attendent un référendum (qui leur a été promis par l’ONU en 1991) pour leur autodétermination, en vain.
Ni les différentes résolutions des Nations unies — pourtant toutes en
faveur d’une telle option — ni les négociations, entamées en 2007 sous
l’égide de l’ONU, n’ont débouché sur une solution du conflit. Le Maroc,
qui a jusque-là bloqué tous les efforts de l’ONU, a mené le processus de
décolonisation du Sahara occidental à une nouvelle impasse. Ce qui fait
que la prochaine résolution des Nations unies est décisive pour
l’avenir de la dernière colonie d’Afrique.
C’est dans ce contexte qu’a été célébré, hier, dans le camp des réfugiés sahraouis de Smara, le 39e anniversaire de la RASD, proclamée en février 1976. Et s’il est vrai qu’en raison de ce statu quo les Sahraouis, frustrés, commencent à s’impatienter, il n’en demeure pas moins qu’ils restent déterminés à arracher leur liberté. «Nous disons au monde que les Sahraouis sont plus que jamais unis et que leur volonté de libérer leur pays est inébranlable», a indiqué hier le Premier ministre sahraoui, Abdelkader Taleb Omar, lors d’une rencontre avec la presse.
Éviter un autre conflit
Pour ce faire, le Front Polisario préfère encore encourager les efforts des Nations unies pour la simple raison que, comme le note ce haut responsable sahraoui, «la région n’a pas besoin d’un autre conflit armé». C’est pourquoi la prochaine réunion du Conseil de sécurité sur la question s’annonce cruciale. «La rencontre d’avril est importante, le feuilleton doit avoir une fin pour mettre un terme à cette double impasse», selon le Premier ministre sahraoui.
C’est dans ce cadre que l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU, Christopher Ross, et Kim Bolduc, chef de la Minurso, ont effectué, il y a quelques jours, une visite dans la région. Une visite au cours de laquelle les deux responsables onusiens ont rencontré dans les camps des réfugiés la délégation aux négociations et des cadres politiques sahraouis. «L’espoir du Front Polisario est que la visite de Christopher Ross permette d’accélérer ses efforts en faveur du parachèvement du processus de décolonisation du Sahara Occidental et mette fin aux atermoiements du Royaume du Maroc qui cherche à gagner du temps et imposer le fait accompli colonial», soutient Abdelkader Taleb Omar.
Dépasser le blocage
Mais Christopher Ross est-il capable de redynamiser ce processus ? «Christopher Ross a la volonté de chercher des solutions concrètes. Nous avons constaté cela durant notre rencontre dans les camps», a estimé notre interlocuteur, cela même si, à ses yeux, «cela reste insuffisant». «Il faut une solution juste et fixer une date, cela a trop duré. Il est temps de prendre des décisions pour que Rabat accepte un référendum», a-t-il insisté.
Abdelkader Taleb Omar rappelle que «le dernier rapport de l’ONU a dit que si le blocage persiste, elle va revoir la procédure». «L’ONU est responsable, il faut accélérer les négociations », a-t-il encore estimé. Reste à savoir quelle sera la nouvelle stratégie de l’ONU pour résoudre ce conflit.
Mais avant cela, le Premier ministre sahraoui a invité le principal pays qui soutient le Maroc dans sa politique expansionniste, la France, à revoir sa position vis-à-vis du conflit. «Les Sahraouis attendent depuis 40 ans et la France joue un rôle négatif dans le conflit. Paris, qui se trouve sur tous les fronts, en Libye, en Syrie et au Sahara, joue un rôle contradictoire avec ses principes de défenseurs des droits de l’homme. Elle doit revoir sa position dans le bons sens», a-t-il insisté.
Abdelkader Taleb Omar, qui estime que la question sahraouie ne cesse de marquer des points a enfin salué l’Union africaine qui vient de réaffirmer son opposition à la tenue du Forum Crans-Montana, du 12 au 16 mars à Dakhka. Comme il n’a pas manqué de saluer la position de l’Union européenne, réaffirmant le droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination.
C’est dans ce contexte qu’a été célébré, hier, dans le camp des réfugiés sahraouis de Smara, le 39e anniversaire de la RASD, proclamée en février 1976. Et s’il est vrai qu’en raison de ce statu quo les Sahraouis, frustrés, commencent à s’impatienter, il n’en demeure pas moins qu’ils restent déterminés à arracher leur liberté. «Nous disons au monde que les Sahraouis sont plus que jamais unis et que leur volonté de libérer leur pays est inébranlable», a indiqué hier le Premier ministre sahraoui, Abdelkader Taleb Omar, lors d’une rencontre avec la presse.
Éviter un autre conflit
Pour ce faire, le Front Polisario préfère encore encourager les efforts des Nations unies pour la simple raison que, comme le note ce haut responsable sahraoui, «la région n’a pas besoin d’un autre conflit armé». C’est pourquoi la prochaine réunion du Conseil de sécurité sur la question s’annonce cruciale. «La rencontre d’avril est importante, le feuilleton doit avoir une fin pour mettre un terme à cette double impasse», selon le Premier ministre sahraoui.
C’est dans ce cadre que l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU, Christopher Ross, et Kim Bolduc, chef de la Minurso, ont effectué, il y a quelques jours, une visite dans la région. Une visite au cours de laquelle les deux responsables onusiens ont rencontré dans les camps des réfugiés la délégation aux négociations et des cadres politiques sahraouis. «L’espoir du Front Polisario est que la visite de Christopher Ross permette d’accélérer ses efforts en faveur du parachèvement du processus de décolonisation du Sahara Occidental et mette fin aux atermoiements du Royaume du Maroc qui cherche à gagner du temps et imposer le fait accompli colonial», soutient Abdelkader Taleb Omar.
Dépasser le blocage
Mais Christopher Ross est-il capable de redynamiser ce processus ? «Christopher Ross a la volonté de chercher des solutions concrètes. Nous avons constaté cela durant notre rencontre dans les camps», a estimé notre interlocuteur, cela même si, à ses yeux, «cela reste insuffisant». «Il faut une solution juste et fixer une date, cela a trop duré. Il est temps de prendre des décisions pour que Rabat accepte un référendum», a-t-il insisté.
Abdelkader Taleb Omar rappelle que «le dernier rapport de l’ONU a dit que si le blocage persiste, elle va revoir la procédure». «L’ONU est responsable, il faut accélérer les négociations », a-t-il encore estimé. Reste à savoir quelle sera la nouvelle stratégie de l’ONU pour résoudre ce conflit.
Mais avant cela, le Premier ministre sahraoui a invité le principal pays qui soutient le Maroc dans sa politique expansionniste, la France, à revoir sa position vis-à-vis du conflit. «Les Sahraouis attendent depuis 40 ans et la France joue un rôle négatif dans le conflit. Paris, qui se trouve sur tous les fronts, en Libye, en Syrie et au Sahara, joue un rôle contradictoire avec ses principes de défenseurs des droits de l’homme. Elle doit revoir sa position dans le bons sens», a-t-il insisté.
Abdelkader Taleb Omar, qui estime que la question sahraouie ne cesse de marquer des points a enfin salué l’Union africaine qui vient de réaffirmer son opposition à la tenue du Forum Crans-Montana, du 12 au 16 mars à Dakhka. Comme il n’a pas manqué de saluer la position de l’Union européenne, réaffirmant le droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination.
20 ans après, la femme marocaine
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Rafles de migrants au Maroc : Est-ce la fin d’une politique prometteuse ?
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Sylviane Gutierrez et Soufyane Fares ont partagé un lien.
Voici une sélection de photos des endroits dont vous ne vous doutiez probablement pas l’existence !
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Au Maroc, Racines, en partenariat avec Freemuse, organise une série d’activités pour promouvoir le droit à l’expression artistique à travers la musique
"Music Freedom Day"
Cette année plusieurs organisations dans différents pays célébreront la
liberté d’expression musicale : Pakistan, Zimbabwe, Italie, Espagne, Norvège et
USA.
Au Maroc, Racines, en partenariat avec Freemuse, organise une série d’activités pour promouvoir le droit à l’expression artistique à travers la musique, sous le thème «La liberté est la solution».
Quand ?
Mardi 3 mars 2015, à partir de 18h30
Où ?
Cinéma Rialto, Casablanca
"Music Freedom Day": pré-vente dès le lundi 2 mars à partir de 14h au Cinéma Rialto
Programme:
18h30 : Ouverture
19h00 : Projection du film "Parole libre", réalisé par Stéphane Le Gall-Viliker (2014)
20h00 : Concert Limam Kane aka Monza (Mauritanie)
21h00 : Débat
22h00 : Concert Barry Maroc (Maroc)
Tarifs:
Pré-vente dès le lundi 2 mars à partir de 14h au Cinéma Rialto !
Tout public - 50 DHS
Etudiants et moins de 25 ans - 30 DHS
Contact & Infos:
El Mehdi Azdem
Association Racines
Email: mehdi@racines.ma / info@racines.ma
Tél. : +212 522 47 63 35
http://racines.ma/node/667
Sur Facebook: https://www.facebook.com/events/599615563471787/?source=1
«La liberté est la solution»
La libre expression artistique est une condition sine qua non à la création artistique. Les artistes de tout bord, et les musiciens en particulier, peuvent être confrontés à la violation de cette liberté, notamment lorsque leurs oeuvres apportent un regard critique sur la société ou sur les régimes politiques. La censure et l‘autocensure en sont les formes les plus fréquentes. Cependant, il existe de nombreux cas, dans certains pays, où la répression prend des formes plus violentes: harcèlement, intimidation, menaces, emprisonnement, exil, kidnapping voire assassinat.
Les artistes sont le miroir de la société, leurs œuvres apportent une réflexion sur le changement social et une critique nécessaire au développement et au débat public. La culture et les arts permettent le renforcement de la cohésion et du dialogue sociaux. La culture peut et doit jouer son rôle dans la construction du citoyen, lui permettant ainsi de participer à la vie politique et lui conférant les moyens de faire ses choix, de connaître ses devoirs, de revendiquer ses droits, de dialoguer avec ses concitoyens, de partager des valeurs humanistes, de démocratie et de liberté, dans un climat respectueux et serein. . De plus, la création musicale apporte une dynamique certaine aux industries créatives en créant de la richesse et de l’emploi.
Racines et Freemuse croient fermement que la liberté de création et d‘expression artistique et musicale sont nécessaires pour le développement des cultures et le bon fonctionnement des sociétés démocratiques.
Music Freedom Day est une manifestation organisée chaque année dans plusieurs pays depuis 2006 (Zimbabwe, Inde, Cameroun, Jordanie, Egypte, Suède, Norvège, USA, Pakistan, Canada, Italie...) dans le but de soutenir les musiciens persécutés, poursuivis ou emprisonnés pour avoir dénoncé les autorités et revendiqué leur droit à l‘expression musicale. De même, c‘est une occasion pour réaffirmer le rôle de l’art et son impact sur nos sociétés. Certains musiciens et compositeurs font face dans le monde entier à une violation de leurs droits. Le soutien déterminé de Music Freedom Day démontre, chaque année, la volonté de poursuivre le plaidoyer et la défense du droit universel de composer, interpréter et participer à la création musicale.
L'idée d'organiser une journée spécifique dédiée au droit à l'expression musicale a vu le jour en novembre 2006 à Istanbul. Ce jour a été marqué par le succès de la conférence internationale initiée par Freemuse sur la Musique et la censure. Initialement proposé par Ann MacKeigan du «Canadien Broadcasting Corporation», Music Freedom Day a été soutenu et s'est développé via des organisations, musiciens et institutions médiatiques d'Afrique, du Moyen Orient, d'Asie, d'Europe, d'Australie, d’Amérique du Nord et du Sud.
Au Maroc, Racines, en partenariat avec Freemuse, organise une série d’activités pour promouvoir le droit à l’expression artistique à travers la musique, sous le thème «La liberté est la solution».
Quand ?
Mardi 3 mars 2015, à partir de 18h30
Où ?
Cinéma Rialto, Casablanca
"Music Freedom Day": pré-vente dès le lundi 2 mars à partir de 14h au Cinéma Rialto
Programme:
18h30 : Ouverture
19h00 : Projection du film "Parole libre", réalisé par Stéphane Le Gall-Viliker (2014)
20h00 : Concert Limam Kane aka Monza (Mauritanie)
21h00 : Débat
22h00 : Concert Barry Maroc (Maroc)
Tarifs:
Pré-vente dès le lundi 2 mars à partir de 14h au Cinéma Rialto !
Tout public - 50 DHS
Etudiants et moins de 25 ans - 30 DHS
Contact & Infos:
El Mehdi Azdem
Association Racines
Email: mehdi@racines.ma / info@racines.ma
Tél. : +212 522 47 63 35
http://racines.ma/node/667
Sur Facebook: https://www.facebook.com/events/599615563471787/?source=1
«La liberté est la solution»
La libre expression artistique est une condition sine qua non à la création artistique. Les artistes de tout bord, et les musiciens en particulier, peuvent être confrontés à la violation de cette liberté, notamment lorsque leurs oeuvres apportent un regard critique sur la société ou sur les régimes politiques. La censure et l‘autocensure en sont les formes les plus fréquentes. Cependant, il existe de nombreux cas, dans certains pays, où la répression prend des formes plus violentes: harcèlement, intimidation, menaces, emprisonnement, exil, kidnapping voire assassinat.
Les artistes sont le miroir de la société, leurs œuvres apportent une réflexion sur le changement social et une critique nécessaire au développement et au débat public. La culture et les arts permettent le renforcement de la cohésion et du dialogue sociaux. La culture peut et doit jouer son rôle dans la construction du citoyen, lui permettant ainsi de participer à la vie politique et lui conférant les moyens de faire ses choix, de connaître ses devoirs, de revendiquer ses droits, de dialoguer avec ses concitoyens, de partager des valeurs humanistes, de démocratie et de liberté, dans un climat respectueux et serein. . De plus, la création musicale apporte une dynamique certaine aux industries créatives en créant de la richesse et de l’emploi.
Racines et Freemuse croient fermement que la liberté de création et d‘expression artistique et musicale sont nécessaires pour le développement des cultures et le bon fonctionnement des sociétés démocratiques.
Music Freedom Day est une manifestation organisée chaque année dans plusieurs pays depuis 2006 (Zimbabwe, Inde, Cameroun, Jordanie, Egypte, Suède, Norvège, USA, Pakistan, Canada, Italie...) dans le but de soutenir les musiciens persécutés, poursuivis ou emprisonnés pour avoir dénoncé les autorités et revendiqué leur droit à l‘expression musicale. De même, c‘est une occasion pour réaffirmer le rôle de l’art et son impact sur nos sociétés. Certains musiciens et compositeurs font face dans le monde entier à une violation de leurs droits. Le soutien déterminé de Music Freedom Day démontre, chaque année, la volonté de poursuivre le plaidoyer et la défense du droit universel de composer, interpréter et participer à la création musicale.
L'idée d'organiser une journée spécifique dédiée au droit à l'expression musicale a vu le jour en novembre 2006 à Istanbul. Ce jour a été marqué par le succès de la conférence internationale initiée par Freemuse sur la Musique et la censure. Initialement proposé par Ann MacKeigan du «Canadien Broadcasting Corporation», Music Freedom Day a été soutenu et s'est développé via des organisations, musiciens et institutions médiatiques d'Afrique, du Moyen Orient, d'Asie, d'Europe, d'Australie, d’Amérique du Nord et du Sud.
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30, rue Banafsaj, Résidence Berth 220 140, Mers Sultan
Casablanca, Maroc. Tel: +212 522 47 63 35
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musiciens persécutés,
Racines
.Une catastrophe se prépare dans les montagnes de l'Atlas
Texte et photos Abesselam Ouaddou
.Une catastrophe se prépare dans les montagnes de l'Atlas : Adeptes des réseaux sociaux facebook et tweeter, mobilisez-vous, communiquez, lancez des appels au secours avant qu'il ne soit trop tard pour nos frères des montagnes !
C'est terrible ce qui arrive à cette région (Ayt Hdiddou, Ayt Merghad, M'semrir, Ta3dadatt, Imi Ouarg, Tidrite, Amouguer, Boumardoul, Tilout, Aït Hammou Ous3id, Aït Hemmou, Asikis, Bousekkour ...). La neige a atteint un mètre ce mercredi et il neige toujours, un niveau sans aucune comparaison avec les années précédentes !!
Coupures d'électricité, de l'eau potable, des routes ... les habitants souffrent en silence .
Même si des bénévoles voulaient apporter de l'aide, ils ne le pourraient pas car il faudra au moins un équipement comme le chasse-neige pour dégager les routes ou des hélicoptères pour acheminer l'aide.
Que faire ?
Un interlocuteur crédible est en train de faire l'état des lieux sur place, je ne manquerai pas d'informer toutes personnes souhaitant se mobiliser afin de leur venir en aide.
Merci
.
ALTERNATIBA 2015, village des alternatives
Réunion d'information ALTERNATIBA 2015
Mardi 3 mars à 18 heures
à la Librairie des Mots Passants
13 rue Grenette, Gap 04 92 52 48 69
Mardi 3 mars à 18 heures
à la Librairie des Mots Passants
13 rue Grenette, Gap 04 92 52 48 69
Alternatiba KESAKO ?
C'est un village éphémère
(1 journée à Gap en juin 2015 ?)
qui mettra en lumière les alternatives concrètes
qui mettra en lumière les alternatives concrètes
locales et globales
face aux causes du changement climatique.
Va t-on passer à coté de cette formidable occasion de
participer à un mouvement planétaire citoyen,
constructif et enthousiaste ?
Va t-on passer à coté de cette formidable occasion de
participer à un mouvement planétaire citoyen,
constructif et enthousiaste ?
Des dizaines d'Alternatiba déjà réalisés en France
( Bayonne, Nantes, Bordeaux, Lille, Agen,Tahiti...)
Pour organiser cet événement populaire à Gap ,
toutes les bonnes volontés sont les bienvenues (associations, particuliers, riverains,
habitants des quartiers, commerçants, ville de Gap …)
Venez nombreuses et nombreux
habitants des quartiers, commerçants, ville de Gap …)
Venez nombreuses et nombreux
pour imaginer ensemble ce
Village des Alternatives.
Village des Alternatives.
Apéritif offert par la Librairie
pour partager ce moment convivial
https://alternatiba.eu/
Libellés :
ALTERNATIBA
Guantanamo chez nous ? Un livre de Luk Vervaet
Pour la deuxième fois, la Cour européenne des droits de
l'homme (CEDH) a condamné la Belgique pour violation des droits de l'homme en
extradant Nizar Trabelsi aux États-Unis, où il est incarcéré en isolement
depuis le 3 octobre 2013.
Les cinq juges ont rejeté l'appel lancé par la
Belgique contre la première condamnation en septembre dernier et ont condamné l’État belge à verser 90.000 euros à Nizar Trabelsi pour dommage moral, frais
et dépense. La CEDH condamne également la Belgique
pour ne pas avoir collaboré. La Cour a estimé que l'État belge aurait pu
attendre que Strasbourg rende sa décision avant d'extrader le condamné.
L'avocat de Nizar Trabelsi, Maitre Marc Nève, a l'intention d'introduire une
nouvelle action en justice visant à stopper toute collaboration entre les
gouvernements américain et belge sur ce dossier. "Dès lors que l'arrêt de
la Cour européenne est désormais définitif, nous sommes en droit d'introduire
cette action. C'est une première", a-t-il précisé.
/ European Parliament to investigate CIA’s torture and
rendition operations in EU (11 February 2015)
By Victoria Parsons SOURCE The European Parliament today
voted to investigate the extent of the CIA’s detention, torture and rendition
programme in EU countries.
Libellés :
CEDH,
Guantanamo chez nous ? Belgique condamnée,
Luk Vervaet
vendredi 27 février 2015
Maroc : viol d’une femme âgée à Ouezzane
26/2/2015
Une nouvelle affaire de viol d’une femme âgée secoue la région de Ouezzane, dans le nord-ouest du Maroc. Chrifa El Ouazzania a été violée il y a une dizaine de jours et son violeur est toujours libre.
Cette
histoire nous est racontée par le journal Al Akhbar dans son édition
d’aujourd’hui. Au Douar Ghouiba, dans la région de Ouezzane, celle que
tout le monde appelle Chrifa El Ouazzania a été violée le 16 février
dernier par un homme du village.
Arrivé à 2h du matin alors
qu’elle est en train de dormir, l’agresseur casse la porte de la maison,
puis immobilise sa victime avant de la violer. La vieille dame essaie
tant bien que mal de se défendre mais l’homme ajoute les coups au viol.
Le lendemain du drame, Chrifa El Ouazzania est emmenée à l’hôpital par
les habitants du village où elle est examinée par le médecin, qui lui
prescrit 21 jours d’invalidité.
Elle en profite pour porter
plainte auprès de la gendarmerie contre son agresseur que tout le monde
connaît apparemment dans le village. Il s’est mis, quelques jours
auparavant, à moitié nu devant une autre femme.
Le plus triste
dans cette histoire c’est que la gendarmerie ne mène pas son enquête et
quand l’équipe du journal en fait part au Chef de la gendarmerie royale,
ce dernier n’était même pas au courant de l’affaire. Espérons qu’avec
la médiatisation de ce viol, les maux et les pleurs de Chrifa El
Ouazzania seront enfin entendus. Inch’allah !
-
Par: Bladi.net
Libellés :
laxisme de la gendarmerie,
viol d'une femme âgée
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