Des
ONGs marocaines ont rendu public, mercredi à Rabat, leur rapport sur la
mise en œuvre de la Déclaration et du programme d’action Beijing-1995.
Coordonné par l’Association démocratique des femmes du Maroc avec
l’appui de l’Union Européenne, ce rapport présente les principales
préoccupations et recommandations relatives à la situation des droits
des femmes.
Le Maroc, qui a ratifié la plupart des instruments généraux et internationaux visant à instaurer et à promouvoir le principe de l’égalité hommes-femmes, notamment le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, est engagé politiquement et moralement dans le processus de la concrétisation des droits des femmes, note le rapport. Cependant, les ONGs mettent en avant l’insuffisance des mécanismes de promotion de la situation de la femme, préconisant la mise en place d’un mécanisme national chargé de la coordination des politiques nationales qui aura pour tâche essentielle d’appuyer l’intégration de la problématique hommes-femmes dans tous les secteurs et toutes les entités de l’Etat. Le rapport recommande, dans ce sens, la mise en œuvre des mesures de discrimination positive conformément aux dispositions constitutionnelles afin de réduire les disparités vécues en termes d’accès aux postes de responsabilités dans la fonction publique. Pour lutter contre toutes les formes de violence à l’égard des femme. Le rapport prône également la mise en œuvre du Plan gouvernemental ainsi que l’opérationnalisation réelle et coordonnée des stratégies des différents départements ministériels avec l’implication de l’ensemble des acteurs concernés à tous les niveaux territoriaux.
Le Maroc, qui a ratifié la plupart des instruments généraux et internationaux visant à instaurer et à promouvoir le principe de l’égalité hommes-femmes, notamment le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, est engagé politiquement et moralement dans le processus de la concrétisation des droits des femmes, note le rapport. Cependant, les ONGs mettent en avant l’insuffisance des mécanismes de promotion de la situation de la femme, préconisant la mise en place d’un mécanisme national chargé de la coordination des politiques nationales qui aura pour tâche essentielle d’appuyer l’intégration de la problématique hommes-femmes dans tous les secteurs et toutes les entités de l’Etat. Le rapport recommande, dans ce sens, la mise en œuvre des mesures de discrimination positive conformément aux dispositions constitutionnelles afin de réduire les disparités vécues en termes d’accès aux postes de responsabilités dans la fonction publique. Pour lutter contre toutes les formes de violence à l’égard des femme. Le rapport prône également la mise en œuvre du Plan gouvernemental ainsi que l’opérationnalisation réelle et coordonnée des stratégies des différents départements ministériels avec l’implication de l’ensemble des acteurs concernés à tous les niveaux territoriaux.
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