Suite au conflit marocain, sahraoui et algérien, à propos la cause du Sahara occidental. Le débat alentours sur le conseil de sécurité de l'ONU tourne encore autour de la question de création d'un mécanisme de surveillance des droit de l'homme sur le territoire du Sahara ou les autorités marocains exercent des abus graves contre les sahraouies, comme d'ailleurs les abus exercés par ces mêmes autorités dans tous le territoire qui s'encadre administrativement sous l'État Marocain.

Ce débat reste encore limité uniquement dans le cas du Sahara occidental, ou la communauté internationale continue d'être divisée pour ce disposition, suite aux négociations politiques et économiques entre les éléments du joue, malgré que la question s'agit-il d'un tel dispositif indépendant et permanent qui permet aux observateurs de dresser les rapports sur des situations précises d'interventions policières disproportionnées, d'arrestations arbitraires, de torture physique et/ou psychique....etc.

Ces situations dominent sur tous les espaces de conflit ou il y'a l'absence de la paix, soit a cause des groupes armés, où a cause de violence exercé par les organes de cet État où celle Contre les peuples. C'est le cas des pays amazighs au nord de l'Afrique, ou les peuples ont été violé plusieurs fois par les organes des régimes assassines arabo-musulmans qui occupent le territoire amazighe. La violence continue jusqu'à nos jours aux plusieurs niveaux.

Le seul cas, ou le secrétaire général de l'ONU à demandé la surveillance des droits de l'homme était celui du Sahara occidental : "Une surveillance indépendante impartiale, complète et constante de la situation des droits de l'homme au Sahara occidental et dans les camps des réfugiés à Tindouf en Algérie" (rapport du moi d'avril 2013).
Par contre, on ne vois aucun signe de l'attention à la situation des droits de l'homme dans les autres espaces de confrontation entre les militants civils et les organes armés des États. Le cas du Rif, la Kabylie, Imider, Ghardaïa... etc.

Uniquement depuis le début du troisième millénaire, ces régimes arabo-musulmans dictatoriaux ont exercé plusieurs crimes graves contre le droit des peuples amazighs. Dans le Rif, de violation et répression des manifestants dans le contexte d'après le tremblement de terre à Al-Hoceima en 2004 aux événements d'Aith Bouayach (8 mars 2012), en passant par celles de février 2011 ou les services marocains ont brulé 5 jeunes dans une agence bancaire...etc. En Kabylie, du printemps noire aux derniers événements répressifs survenus dans la fouée de manifestation contre la mascarade des élections présidentielles (4M de Bouteflika). Ainsi, les événements de Ghardaïa (Algérie), Taza, Imider (Maroc)...etc. Généralement, ces crimes s'encadrent dans la catégorie des crimes contre l'humanité qui doivent être jugé devant les tribunaux internationaux.
Ce sont des situations marqués par la violation et la répression d'auprès ces régimes dictatoriaux contre les peuples amazighes. Des situations plus graves que celle du Sahara occidental, qui doivent être surveillés par les mandats compétents. Mais dans le contexte d'absence de ce genre de mandats dans les cas indiqués ci-dessous, et le silence de la communauté internationale et des représentants civils des peuples amazighs, la situation reste une aubaine pour les régimes assassins qui instrumentalisent ces aspects de conflit.

Les situations graves, où on note la répression systématique contre le droit des peuples. Elles ont alors, besoin de la surveillance des droits de l'homme, plus que celle du Sahara occidental, mais dans l'ambre de l'absence des initiatives pour ce but, les régimes restent en profitent du statut-quo.

Et nous en tant qu'Imazighen, pourquoi nous mobilisons pas sur ce chemin, pour cet objectif et d'autres?

EL Azrak Fikri
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