Par Abir Al Maghribi le 22/05/2014 à 20h22
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Moulay Hicham a roué de coups un salarié du
secrétariat de Moulay Ismael, hier mercredi à Rabat, a appris Le360 de
sources sûres. Tout a commencé quand Marouane B., employé au secrétariat
de Moulay Ismael, s’est rendu dans la résidence de la princesse Lamia
Solh pour exécuter une commission pour le compte de son employeur.
Arrivé sur les lieux, il découvre un invité auquel il ne s’attendait pas
: Moulay Hicham qui venait de rentrer de la Tunisie où sa fondation
éponyme a organisé et financé un colloque le 16 et 17 mai à Tunis.
Marouane B. salue avec les honneurs dus à son rang Moulay Hicham qu’il connaît depuis très longtemps. Il est immédiatement pris à parti par le prince qui l’accuse d’avoir été à l’origine de la fuite sur le site Hespress.com d’une information relative à la dégradation de ses relations avec son frère Moulay Ismael. Hespress avait publié un article sur la détermination de Moulay Hicham à chasser de la maison parentale son frère. Marouane B. s’en défend. Moulay Hicham est persuadé que c’est l’auteur de la fuite. Le ton du prince monte vite. Il s’indigne qu’un employé puisse porter à la presse les affaires de sa famille. Et contre toute attente, il roue de coups de pied, de poing Marouane B. qui se recroqueville sur lui-même en se protégeant des mains et en criant son innocence.
Les coups répétés de Moulay Hicham auraient pu causer le pire n’était l’intervention du personnel de la résidence. Selon nos sources, Moulay Hicham a peur que l’employé rossé ne porte plainte contre lui.
Dans ses interventions, Moulay Hicham aime à dénoncer les violences faites aux manifestants par les forces de l’ordre. Chantre de la non violence en public, il rosse les employés en privé. Le portrait de Moulay Hicham en brute qui bat les faibles risque de bien noircir l’image d’Epinal qu’il cherche à se forger dans les médias.
Marouane B. salue avec les honneurs dus à son rang Moulay Hicham qu’il connaît depuis très longtemps. Il est immédiatement pris à parti par le prince qui l’accuse d’avoir été à l’origine de la fuite sur le site Hespress.com d’une information relative à la dégradation de ses relations avec son frère Moulay Ismael. Hespress avait publié un article sur la détermination de Moulay Hicham à chasser de la maison parentale son frère. Marouane B. s’en défend. Moulay Hicham est persuadé que c’est l’auteur de la fuite. Le ton du prince monte vite. Il s’indigne qu’un employé puisse porter à la presse les affaires de sa famille. Et contre toute attente, il roue de coups de pied, de poing Marouane B. qui se recroqueville sur lui-même en se protégeant des mains et en criant son innocence.
Les coups répétés de Moulay Hicham auraient pu causer le pire n’était l’intervention du personnel de la résidence. Selon nos sources, Moulay Hicham a peur que l’employé rossé ne porte plainte contre lui.
Dans ses interventions, Moulay Hicham aime à dénoncer les violences faites aux manifestants par les forces de l’ordre. Chantre de la non violence en public, il rosse les employés en privé. Le portrait de Moulay Hicham en brute qui bat les faibles risque de bien noircir l’image d’Epinal qu’il cherche à se forger dans les médias.
Hicham El Alaoui utilise toujours les privilèges de la famille royale
Par Ahmed Benani, Déclaration Citoyenne
Je ne suis qu'à moitié étonné, la violence étant congénitale chez les alaouites. C'est ce même prince qui m'a raconté, il y a 4 ou 5 ans de cela, que son cousin, le roi prédateur, avait roué de coups quasi mortels un garde du corps surpris entrain de se servir de son portable dans les couloirs de la résidence royale, alors que tous les flics sont interdits de portables dans les endroits où le monarque dort, mange, etc.. La tradition makhzénienne regorge d'exemples de cette nature depuis des lustres, il y a encore des "hommes de feu" parmi les esclaves du palais, dont la charge essentielle et d'administrer des punitions corporelles aux auteurs de manquement au protocole et à l'étiquette royale. Attendons de voir comment, "Human Right Watch" dont Hicham est membre du board va réagir à la sortie dans la presse internationale des mauvais traitements que le prince "banni" fait subir aux employés de l'aile du palais de Rabat, où réside le reste de sa famille!
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