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samedi 1 octobre 2016

Titres sur https://solidmar.blogspot.com du 25 septembre au 1/10/2016

Maroc : les élections législatives , boycott réprimé, corruption, escroquerie...


Sahara Occidental : l’espoir après la longue lutte pour le référendum d’autodétermination ?



Livres à ne pas manquer



Mort de Shimon Peres




Appel au peuple amazighe au boycott des élections législatives

Rachid Raha: j’appelle le peuple amazighe à boycotter les prochaines élections législatives au Maroc suite à la trahison de la Constitution par l’Etat



Notre conviction reste ferme quant aux moyens de changer, progressivement et pacifiquement, la triste situation que vit notre peuple amazigh, privé de tous ses droits. Et au recourt aux outils démocratiques, y compris la participation aux élections. Malheureusement, et cinq années après les réformes constitutionnelles que le Maroc a connues dans le cadre du printemps démocratique qui enfanta d’un nouveau gouvernement et d’un nouveau parlement, nos espoirs ont été déçus de manière inimaginable, non seulement pour ce qui a trait au changement de la situation politique , économique et sociale en mieux, mais aussi pour ce qui a trait à la mise en œuvre des réformes constitutionnelles qui stipulent que l’amazighe est langue officielle, après un demi siècle de marginalisation et de ségrégation, bien que l’article 86 de la constitution oblige toutes les institutions de l’Etat marocain à concrétiser cette officialisation, au travers d’une loi organique dont la constitution a fixé le délai de promulgation durant le mandat expirant du gouvernement actuel.

Tout en réitérant notre adhésion aux moyens de changement pacifique et démocratique  ainsi que notre ferme conviction quant à l’importance des urnes dans le cadre de l’Etat des institutions, des droits et des lois, et pour les considérations qui suivent, à savoir :

"Un infatigable manipulateur"

Siné Mensuel 

Après la mort de Shimon Peres, nous publions ce texte de Michel Warschawski, notre correspondant en Israël :
"Un infatigable manipulateur"
Le monde entier le célèbre, on parle de lui comme un saint ou, pour le moins, un Nelson Mandela. Pourtant, pendant un demi-siècle, Peres a été le mal-aimé de la politique d'Israël.
« Comment la punaise est arrivée au sommet ? » chantait-on déjà dans les années soixante, exprimant là le mépris des élites israéliennes envers celui qui ne faisait pas partie du sérail : il n’avait pas grandi au kibboutz, ni participé aux aventures guerrières des commandos du Palmach. Jusqu'à aujourd’hui son accent trahit son extériorité à ceux qui ont façonné l’État hébreu à leur sale image. Disons-le clairement, Peres n’a pas volé l’image négative qui l’a accompagnée tout au long de sa carrière : aucun politicien israélien n’a su être aussi opportuniste que lui, et faire de la trahison un art.

L’autre visage de Shimon Peres




Que d’éloges n’avons nous pas entendu ce 28 septembre pour celui qui a participé à la création et la militarisation d’un Etat sur une terre volée aux natifs palestiniens. Ces derniers – à qui Shimon Peres, comme tous les autres dirigeants israéliens, a fait miroiter une fausse paix – n’ont jamais obtenu, et n’obtiendrons peut-être jamais, aucune justice. [Silvia Cattori]



nakba138
Plus de 800 000 natifs palestiniens ont du fuir, sans retour, la terreur organisée par les milices juives de la Haganah en 1948 

Shimon Peres : le criminel de guerre israélien dont l’Occident a toujours ignoré les victimes

(1923-2016).
Mieux connu en Occident pour son rôle dans les accords d’Oslo.
Sa famille s’était installée en Palestine dans les années 1930.
A combattu avec la Haganah durant la Nakba.
Présenté comme l’architecte du programme nucléaire clandestin d’Israël.
Percevait les citoyens palestiniens comme une « menace démographique ».
A joué un rôle majeur dans les premiers jours des implantations en Cisjordanie.
Responsable du massacre de Qana au Liban, en 1996.
A soutenu le blocus de Gaza et les récentes offensives israéliennes.

Shimon Peres, décédé ce mercredi à l’âge de 93 ans, après avoir subi une crise cardiaque le 13 septembre dernier, incarnait la disparité entre l’image d’Israël en Occident et la réalité de la politique coloniale sanglante d’Israël en Palestine et dans l’ensemble de la région.
Peres était né en 1923 dans ce qui, plus tard, allait devenir la Biélorussie, et sa famille s’était installée en Palestine dans les années 1930. Jeune homme, Peres s’était enrôlé dans la Haganah, la milice responsable en tout premier lieu de l’épuration ethnique des villages palestiniens en 1947-1949, durant la Nakba.

Malgré l’interdiction du tribunal, la manifestation de soutien maintenue à Calais





Migrants de Calais
 
Une manifestation en soutien aux migrants devait se tenir ce samedi à Calais.
Une manifestation en soutien aux migrants devait se tenir ce samedi à Calais.
Le tribunal administratif de Lille a décidé, ce vendredi à 18 h, de rejeter la requête de la Coalition internationale des sans-papiers et migrants (CISPM), qui voulait maintenir la manifestation de soutien aux migrants prévue ce samedi. Laquelle avait été rejetée par la préfecture du Pas-de-Calais, jeudi.
Contacté ce vendredi soir, un organisateur a déclaré qu’après concertation, la manifestation au départ de la « jungle » (14 h) vers le centre-ville de Calais était «  maintenue  ».

Flash : arrestation de deux journalistes sahraouis EM à Guelmim

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30 septembre 2016
Vendredi 30 septembre 2016, à 14h, cela fait 3h que nous sommes sans nouvelles de nos collègues journalistes Said Amidan et Brahim Laajail.
Les deux journalistes de l’Equipe Média, étudiants à Agadir, voyageaient à bord d’un bus de Supratours (filiale de la compagnie nationale marocaine ONCF ) sur la ligne El Aaiun-Agadir.
Ils partaient pour l’université dont c’est la rentrée scolaire. Said est en 2ème année en droit privé et Laajail, titulaire d’une licence en sociologie est en 2ème année en droit public.

Il y a 3h, Said a envoyé un sms à Ahmed Ettanji, président de l’Equipe Média, pour l’informer que la police marocain les avaient arrêtés dans le bus , au barrage sud de Guelmim (sud du Maroc) et les conduisait vers la préfecture de police de la ville. Contacté en retour son téléphone a sonné sans réponse.

Sortir de toutes les prisons du monde

Maroc : Des élections entachées du sang des boycotteurs


Par Ali Fkir, vendredi 30 septembre 2016


Le Maroc est en ébullition à la veille des élections du 7 octobre 2016. La lutte de classes n’a jamais été aussi aiguë depuis le mouvement du 20 février 2011.
 L’un des enjeux, je dirais le principal enjeu, du makhzen (avec comme cerveau le palais), reste le taux de participation. Bien sûr le taux décidé d’avance par les décideurs sera le taux annoncé officiellement. La réalité sera ailleurs. Le makhzen saura la réalité. Il aura une idée sur degré de « mécontentement de ses sujets ». Sur le mécontentement des marocain-es libres. Le boycott lui fait peur. Il a raison.

 Déjà, le taux d’inscription dans les listes électorales n’a pas dépassé 56% :15 702 592 inscrits parmi les 28 millions. Ce dernier chiffre est estimé, car il n’y a pas de statistiques officielles concernant les marocain-es en âge de voter.
Ce taux de 44% des marocain-es qui déclinent « l’invitation » de l’Etat, de plus de 33 partis, 22 syndicats , de milliers de prédicateurs, tous monarchistes jusqu'à la moelle, est le premier revers pour les acteurs de la mascarade du 7 octobre 2016.
Pour faire passer la pillule, et atteindre les 51% des 57 % inscrits, à savoir moins de 32% des marocain-es en âge de voter, l’Etat et ses acolytes doivent redoubler d’effort : les « civils » en dénigrant les marocain-es libres qui boycottent et en participant à la battue, l’Etat en utilisant les mass-médias officiels et inféodés et surtout en recourant à l’arme classique : la répression.

vendredi 30 septembre 2016

Elections Maroc : Une répression aveugle s'abat sur la Voie Démocratique:

- le camarade Houcine Lhoussain Lahnaoui membre du Secrétariat National est transporté à l'hôpital,
-le camarade Mouad Johri arrêté et tabassé dans la voiture des flics, puis relâché
- le camarade Amine Chbari relâché,
- toujours en détention le camarde Allabou, membre de la commission nationale.
Leur tort : ils expriment pacifiquement leurs positions en pleine campagne électorale demandant aux citoyens de boycotter des élections fortement maitrisées par le ministère de l'intérieur .
Le régime est enragé parce que plus de 80 % de Marocains se désintéressent de cette mascarade. C'est sa légitimité qui est remise en cause.
Toute ma solidarité et mon soutien aux camarades.

***************************

Dans les "grands moments", le makhzen exige l'unanimité. 
Pas question d'appeler au boycott des élections du 7 octobre 2016.
La VOIE DÉMOCRATIQUE/annahj Addimocrati est la victime de l'ire des décideurs.
La VD est vue comme trouble-fête. C'était le cas d'ILAL AMAM de jadis.


SO- La mort lente et rampante de l'attente


Par Zein Mohamed Sid Ahmed

43 ans d'attente et rien en vue : 1973, le Maroc commence à occuper le Sahara Occidental. Depuis lors, les Sahraouis se battent pour l'indépendance de leur pays d'origine, les 25 dernières années par des moyens pacifiques, à la table des négociations. Sur la paix promise par le référendum, sur l'avenir des territoires occupés pendant tout ce temps, elle attend en vain. Aujourd'hui,  le découragement règne particulièrement parmi les plus jeunes .
Zein Mohamed Sid Ahmed, chef de Terre des hommes suisse, partenaire UJSARIO, rend compte de la situation actuelle dans les camps de réfugiés

Informations SO : El Guerguerat

Carlos Cristobal, 1/10/16
Le Conseil de sécurité de l'ONU organise une réunion à huis clôt sur la situation en Gargarat 
 https://t.co/dVa7GxJBvR
#saharaoccidental https://t.co/SMfuSWmP9m
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 26/9/2016

Le Confidentiel Sahraoui : Le Polisario porte plainte auprès de l'Onu pour une nouvelle incursion marocaine dans la région de El Guerguerat

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El Polisario denuncia ante la ONU una nueva incursión marroquí en la región de El Guerguerat.

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Barbara Weingartner, 27/9/2016

Dernière heure : Deux chasseur-Bombardier Marocain Hooper sur les postes de el guerguerat dans la zone tampon, dans le sud-Ouest du Sahara occidental

jeudi 29 septembre 2016

Parlement Européen : "conférence des femmes sur le droit à la résistance du Sahara occidental"

Le Parlement européen accueille jeudi une "conférence des femmes sur le droit à la résistance du Sahara occidental"


Bruxelles, 28 sept 2016 (SPS) 

 Le Parlement européen accueillera jeudi, à Bruxelles, une "conférence des femmes sur le droit à la résistance du Sahara occidental", destinée à dénoncer les exactions des droits de l'homme dont sont victimes les populations dans les territoires occupés, particulièrement la femme sahraouie, terrorisée quotidiennement par les forces d'occupation marocaines.

Réduites au silence par l'armée, la police et l'administration de l'occupant marocain, des femmes sahraouies des territoires du Sahara occidental sont invitées à livrer leur témoignage au Parlement européen sur leurs conditions de vie et sur leur quotidien fait de violations répétées de leurs droits, selon les organisateurs.

Le Maroc pétrifié par son roi « Enquêter ? Impossible »






«Sa Majesté le Roi préside la cérémonie de lancement du nouveau plan de réforme de l’investissement. » « S. M. le Roi inaugure l’autoroute de contournement de Rabat d’un investissement global de 3,2 milliards de dirhams. » « S. M. le Roi a inauguré un centre pour enfants abandonnés. »

 À parcourir les « unes » des principaux journaux marocains (Le Matin, L’Opinion et L’Économiste, francophones ; Al-Massae, Akhbar Al-Youm et Assabah, arabophones), il n’est question, chaque jour, que de tresser des louanges à « Sa Majesté le Roi » (Jalalatou al-malik en arabe), à ses actions en faveur du développement du pays, à sa générosité envers les pauvres. Pour ceux qui ne savent pas lire (le pays compte un tiers d’analphabètes), les chaînes de télévision diffusent les mêmes messages à la gloire du monarque et de ses admirables actions.
 Nulle part une opinion critique, jamais une enquête susceptible de vraiment déranger le pouvoir. La presse marocaine apparaît comme l’une des plus serviles du Maghreb. Et pour cause : après la disparition en 2010 du Journal, criblé de dettes, et la mise au pas, la même année, de l’hebdomadaire Tel Quel (et le départ aux États-Unis de son directeur Ahmed Benchemsi), le paysage médiatique est redevenu complètement soumis.
« Le Maroc a bénéficié d’une presse intéressante pendant dix ans, de la mort de Hassan II [en 1999] jusqu’à 2010, analyse Omar Brouksy, ancien rédacteur en chef du Journal. Nous pouvions publier des enquêtes plutôt politiques, et Tel Quel (...)

Cet article est réservé aux abonnés 

 http://www.monde-diplomatique.fr/2016/10/DAUM/56436

Les accords agricole et de pêche tombent à l'eau



Elisee Touchard, 27/9/2016

Melchior Wathelet, visage angélique et avocat général de la Cour européenne de justice, prononce une sentence lourde de conséquences pour le Maroc: "le Sahara occidental ne fait pas partie du Maroc" et de ce fait, "ni l'Accord d'association UE-Maroc ni l'Accord de libéralisation ne lui sont applicables". D'un mot, tombent à l'eau les accords agricole et de pêche signés entre Bruxelles et Rabat et englobant le Sahara occidental. L'avocat général, naguère homme politique de premier plan dans son pays la Belgique et, aujourd'hui, porte-parole de la plus haute juridiction de l'Union européenne, va plus loin dans son énoncé des motifs en relevant que l'Union européenne et ses Etats membres "n'ont jamais reconnu que le Sahara occidental fait partie du Maroc ou relève de sa souveraineté".
Commentant un des cas de figure envisagé par l'avocat général de la CJUE dans son avis formulé mardi et dans lequel il préconisait d'annuler l'arrêt du Tribunal et de rejeter le recours du Front Polisario, Me Devers a expliqué que cette suggestion "ne remet nullement en cause la capacité du Front Polisario à agir contrairement aux interprétations qui ont été données, par certains, aux propositions avancées par Me Melchior Wathelet". De ce fait, et comme le recommande l'avocat général de la CEJ, l'arrêt de la Cour rendu le 15 décembre 2015 doit être annulé et le recours du mouvement séparatiste rejeté. Des thématiques qui devraient bien plus être au cœur du projet commun pour l'Europe et le Royaume du Maroc. A commencer par les erreurs de droit.
"Or, le Sahara occidental constitue précisément un tel territoire par rapport à l'Union et au Maroc", a-t-il relevé.
"En faisant appel de la décision de la Cour, l'UE ne parvient pas à respecter ses obligations internationales".
Quant à la décision finale de la Cour de justice de l'Union européenne qui sera rendue dans les prochains mois, le spécialiste des relations internationales a estimé que la Cour prendra en compte dans sa décision les remarques de l'avocat général. Ce tribunal a commis une autre bourde, selon le Conseil européen, quand "il a conclu que le requérant était directement et individuellement concerné par la décision annulée". Une démarche, faut-il le noter, qui a fait l'objet d'une étude d'impact pour ce qui est des retombées du dernier accord de pêche liant le Maroc à l'UE.
Le Conseil de l'UE a introduit, quelques semaines après, un pourvoi devant la Cour de justice à l'encontre de l'arrêt du Tribunal, rappelle-t-on. Puis rapidement conduit le Conseil européen à interjeter appel auprès de la CJUE car le Maroc avait aussitôt décidé de cesser tout contact avec l'UE, pourtant un des principaux partenaires. Le Conseil a par ailleurs demandé et obtenu que l'affaire soit soumise à une "procédure accélérée", le 7 avril 2016.
Le Tribunal, qui avait considéré que le recours du Front Polisario était recevable, avait basé son arrêt sur le fait que l'accord avec le Maroc avait vocation à s'appliquer également au Sahara occidental.

Nadine Rosa-Rosso répond à Nadia Greets qui crache dans la main tendue des féministes musulmanes

Nadia Geerts se laisse aller suite à la publication dans  La Libre d’un texte intitulé « Voilées et féministes », dans lequel des féministes musulmanes voilées et non voilées appellent, selon Nadia Geerts elle-même, à « se rencontrer pour que nous fassions enfin société ensemble ».
Dans le climat de tension extrême que nous connaissons actuellement, nous pourrions raisonnablement nous attendre à ce que les féministes, ne seraient-ce qu’elles, fassent un effort pour entendre les appels à la rencontre et plus si affinités.

#OnAttendQuoi – Pour faire du logement une priorité ???

mercredi 28 septembre 2016

Au pays d'un roi parmi les plus riches de la planète, suicide d’un enfant de dix ans à cause des fournitures scolaires





Suicide d’un enfant de dix ans à cause des fournitures scolaires




corde
La province d’Ifrane vient de connaître un drame indescriptible. Un garçon se donne la mort parce qu’il ne pouvait pas étudier normalement à l’école.

Qu’est ce qui peut pousser un enfant de dix à se donner la mort ? Une question qui ne trouvera pas de réponse. Cependant, un garçon de dix ans habitant dans un village de la province d’Ifrane a été découvert par son frère aîné pendu à l’aide d’un fil électrique.

Toutes les tentatives de le ranimer ont été vaines et le frère n’a pu que se résigner du décès de son cadet. Accourus sur le lieu, la mère et les villageois ont été stupéfaits devant ce spectacle. Mais à leur grande surprise, le frère aîné a trouvé une lettre manuscrite posée sur la table de la seule chambre que constitue cette demeure.
C’était une lettre d’adieu du fils à sa mère, dans laquelle il lui demandait pardon en lui expliquant qu’il ne pouvait pas aller à l’école sans les fournitures scolaires. En effet, la veille, la mère a bien fait comprendre à son petit qu’elle était incapable de lui acheter ce dont il avait besoin pour étudier.
En cette période de promesses électorales et de fanfaronnades sur un bilan plus que réussi du gouvernement, le suicide de ce jeune garçon dans la fleur de l’âge vient contredire tous ces discours creux.
M.D

Elections marocaines vues par un Sahraoui

Soudain les voleurs et cambrioleurs marocains  disparaissent presque à chaque fois que les élections illégales de l'occupant marocain se tiennent au Sahara Occidental. 

C'est le moment ou des élus gaspillent une grande fortune et l'argent coule à flot dans les dédales de la corruption avec la bénédiction du régime M6 et ses quelques marionnettes sahraouies, des mercenaires au service de l'occupation.
Alors qu'ils sont obligé de faire un stand by à leurs principales activités, ces voleurs, cambrioleurs et agresseurs changent de cap et deviennent des agents de marketing des élus avec une rémunération à la journée. Ils deviennent maintenant des employés et c'est le moment, pour moi personnellement, de vivre sans être en état d'alerte, pendant la journée et pendant la nuit !!

J'ai grandi dans un pays qui ne connaît pas l'amour

J'ai grandi dans un pays qui ne connaît pas l'amour, où l'on me racontait des anecdotes sur les années de plomb pour m'apprendre à me résigner et à me taire, pour me faire peur et non pour m'indigner;
j'ai grandi dans un pays où l'on ne voit jamais un homme embrasser sa femme, où on le voit juste la réprimander;
j'ai grandi dans un pays où l'enseignant gronde ses élèves,et les bat chaque matin pour leur bien dit-on;
j'ai grandi dans un pays où l'on a peur de la police, même quand on n'a rien fait;
j'ai grandi dans un pays où l'on entend parler de l'amour dans les poèmes, les chansons et les contes de fée. Alors, si après tout ça on est encore capable d'aimer dans ce pays,c'est qu'on est un peuple courageux....!

Bruxelles : Un livre et une BD du détenu marocain Ali Aarass et de sa sœur Farida fraîchement publiés

    Suivreça se passe où ?
  1. L'agence Belga rapporte la parution des livres « Lettres de prison et Journal d'une grève de la faim » d'Ali Aarrass et de sa soeur Farida ainsi que la bande dessinée « Je m'appelle Ali Aarrass » de Manu Scordia, présentés samedi 24 septembre dans les locaux de l'association Bruxelles laïque, chargée de la promotion de la laïcité en région bruxelloise.
  2. La BD retrace le parcours d'Ali Aarrass jusqu'à sa prison au Maroc. Ce dernier, Belgo-marocain, est soupçonné d’être un djihadiste proche d’Abdelkader Belliraj, arrêté au Maroc en 2008 car désigné par les autorités judiciaires marocaines comme le cerveau d'un réseau islamiste terroriste. Ali Aarrass est maintenu en détention dans la prison Salé au Maroc depuis huit ans sans assistance consulaire effective, selon ses soutiens. Il est devenu un porte-drapeau de la campagne mondiale d'Amnesty International contre la torture.
  3. Dans le livre « Lettres de prison et Journal d'une grève de la faim », Farida Aarrass a retranscrit les échanges avec son frère depuis 2012. Elle commente également le combat politique mené en Belgique et exprime sa colère face à l'inaction du gouvernement belge.
  4. Plusieurs intervenants ont pris la parole durant la conférence : Nicolas Cohen, un des avocats d'Ali Aarrass et le président de la Ligue des droits de l'homme, Alexis Deswaef. Celui-ci a notamment évoqué l'importance de la préservation des droits de l'homme dans la « lutte légitime » contre le terrorisme.
  5. Vincent Cornil, directeur du Mouvement contre le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie (MRAX), a également dénoncé des « mécanismes racistes dans la société ». Selon lui, la persistance de la nationalité marocaine est aujourd'hui considérée comme une échappatoire pour déchoir de ses droits un citoyen belge d'origine marocaine.
  6. La rédaction
  7. Journaliste Yabiladi.com
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Société Publié Il y a 12 heures

Bruxelles : Un livre et une BD du détenu marocain Ali Aarass et de sa sœur Farida fraîchement publiés

L'agence Belga rapporte la parution des livres « Lettres de prison et Journal d'une grève de la faim » d'Ali Aarrass et de sa soeur Farida ainsi que la bande dessinée « Je m'appelle Ali Aarrass » de Manu Scordia, présentés samedi 24 septembre dans les locaux de l'association Bruxelles laïque, chargée de la promotion de la laïcité en région bruxelloise.
La BD retrace le parcours d'Ali Aarrass jusqu'à sa prison au Maroc. Ce dernier, Belgo-marocain, est soupçonné d’être un djihadiste proche d’Abdelkader Belliraj, arrêté au Maroc en 2008 car désigné par les autorités judiciaires marocaines comme le cerveau d'un réseau islamiste terroriste. Ali Aarrass est maintenu en détention dans la prison Salé au Maroc depuis huit ans sans assistance consulaire effective, selon ses soutiens. Il est devenu un porte-drapeau de la campagne mondiale d'Amnesty International contre la torture.
Dans le livre « Lettres de prison et Journal d'une grève de la faim », Farida Aarrass a retranscrit les échanges avec son frère depuis 2012. Elle commente également le combat politique mené en Belgique et exprime sa colère face à l'inaction du gouvernement belge.
Plusieurs intervenants ont pris la parole durant la conférence : Nicolas Cohen, un des avocats d'Ali Aarrass et le président de la Ligue des droits de l'homme, Alexis Deswaef. Celui-ci a notamment évoqué l'importance de la préservation des droits de l'homme dans la « lutte légitime » contre le terrorisme.
Vincent Cornil, directeur du Mouvement contre le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie (MRAX), a également dénoncé des « mécanismes racistes dans la société ». Selon lui, la persistance de la nationalité marocaine est aujourd'hui considérée comme une échappatoire pour déchoir de ses droits un citoyen belge d'origine marocaine.
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La BD retrace le parcours d'Ali Aarrass jusqu'à sa prison au Maroc. Ce dernier, Belgo-marocain, est soupçonné d’être un djihadiste proche d’Abdelkader Belliraj, arrêté au Maroc en 2008 car désigné par les autorités judiciaires marocaines comme le cerveau d'un réseau islamiste terroriste. Ali Aarrass est maintenu en détention dans la prison Salé au Maroc depuis huit ans sans assistance consulaire effective, selon ses soutiens. Il est devenu un porte-drapeau de la campagne mondiale d'Amnesty International contre la torture.
Dans le livre « Lettres de prison et Journal d'une grève de la faim », Farida Aarrass a retranscrit les échanges avec son frère depuis 2012. Elle commente également le combat politique mené en Belgique et exprime sa colère face à l'inaction du gouvernement belge.
Plusieurs intervenants ont pris la parole durant la conférence : Nicolas Cohen, un des avocats d'Ali Aarrass et le président de la Ligue des droits de l'homme, Alexis Deswaef. Celui-ci a notamment évoqué l'importance de la préservation des droits de l'homme dans la « lutte légitime » contre le terrorisme.
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L'agence Belga rapporte la parution des livres « Lettres de prison et Journal d'une grève de la faim » d'Ali Aarrass et de sa soeur Farida ainsi que la bande dessinée « Je m'appelle Ali Aarrass » de Manu Scordia, présentés samedi 24 septembre dans les locaux de l'association Bruxelles laïque, chargée de la promotion de la laïcité en région bruxelloise.
La BD retrace le parcours d'Ali Aarrass jusqu'à sa prison au Maroc. Ce dernier, Belgo-marocain, est soupçonné d’être un djihadiste proche d’Abdelkader Belliraj, arrêté au Maroc en 2008 car désigné par les autorités judiciaires marocaines comme le cerveau d'un réseau islamiste terroriste. Ali Aarrass est maintenu en détention dans la prison Salé au Maroc depuis huit ans sans assistance consulaire effective, selon ses soutiens. Il est devenu un porte-drapeau de la campagne mondiale d'Amnesty International contre la torture.
Dans le livre « Lettres de prison et Journal d'une grève de la faim », Farida Aarrass a retranscrit les échanges avec son frère depuis 2012. Elle commente également le combat politique mené en Belgique et exprime sa colère face à l'inaction du gouvernement belge.
Plusieurs intervenants ont pris la parole durant la conférence : Nicolas Cohen, un des avocats d'Ali Aarrass et le président de la Ligue des droits de l'homme, Alexis Deswaef. Celui-ci a notamment évoqué l'importance de la préservation des droits de l'homme dans la « lutte légitime » contre le terrorisme.
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