aufait, 25/02/2015
Après l’expulsion de son appartement d’une famille de confession juive, à Casablanca, trois autres familles risquent de subir le même sort.
Une autre famille marocaine de confession juive, qui loue un appartement situé au boulevard de Bordeaux à Casablanca depuis 51 ans, est victime de la même mafia immobilière que le couple juif ayant rejoint dernièrement Israël, à en croire nos confrères de Yabiladi. Idem pour deux autres familles de confession musulmane. Ces dernières ont lancé un dernier cri de détresse face à la mafia immobilière. Le propriétaire de l’immeuble où habitent ces trois familles a en effet vendu son bien sans prendre la peine d’avertir les locataires.
Cités par Yabiladi, les membres de ces trois familles affirment que trois hommes se sont présentés à eux « en tant que associés d’une société immobilière et nouveaux propriétaires de l’immeuble » et leur ont demandé de libérer leurs logements.
L’affaire est en appel depuis novembre dernier, devant la justice à Casablanca, après un échec en première instance, selon la même source.
Il s’agit, selon plusieurs sources concordantes, d’une seule et même mafia immobilière, dont certains membres purgent actuellement des peines de prison pour spoliation d’immeubles datant du protectorat français.
Rappelons qu’il y a quelques mois, une vidéo très émouvante de Shalom Abdelhak a été postée sur YouTube, dans laquelle le Marocain demandait une protection contre une « mafia immobilière » qui tentait de l’expulser de l’appartement qu’il louait depuis près de 50 ans.
Une vidéo relayée à grande échelle par les médias électroniques marocains et sur les réseaux sociaux. La réaction tardive des autorités n’a pas pu finalement empêcher l’expulsion du couple marocain et les solutions proposées n’ont jamais dépassé le stade de « promesses ».
Finalement, même après l’intervention du ministre de l’Intérieur, Mohammed Hassad sur instruction royales, Shalom Abdelhak et sa femme avaient quitté le Maroc vers Israël…
Aujourd’hui, ce sont trois familles qui risquent de se retrouver dans la rue.
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Après l’expulsion de son appartement d’une famille de confession juive, à Casablanca, trois autres familles risquent de subir le même sort.
Une autre famille marocaine de confession juive, qui loue un appartement situé au boulevard de Bordeaux à Casablanca depuis 51 ans, est victime de la même mafia immobilière que le couple juif ayant rejoint dernièrement Israël, à en croire nos confrères de Yabiladi. Idem pour deux autres familles de confession musulmane. Ces dernières ont lancé un dernier cri de détresse face à la mafia immobilière. Le propriétaire de l’immeuble où habitent ces trois familles a en effet vendu son bien sans prendre la peine d’avertir les locataires.
Cités par Yabiladi, les membres de ces trois familles affirment que trois hommes se sont présentés à eux « en tant que associés d’une société immobilière et nouveaux propriétaires de l’immeuble » et leur ont demandé de libérer leurs logements.
L’affaire est en appel depuis novembre dernier, devant la justice à Casablanca, après un échec en première instance, selon la même source.
Il s’agit, selon plusieurs sources concordantes, d’une seule et même mafia immobilière, dont certains membres purgent actuellement des peines de prison pour spoliation d’immeubles datant du protectorat français.
Rappelons qu’il y a quelques mois, une vidéo très émouvante de Shalom Abdelhak a été postée sur YouTube, dans laquelle le Marocain demandait une protection contre une « mafia immobilière » qui tentait de l’expulser de l’appartement qu’il louait depuis près de 50 ans.
Une vidéo relayée à grande échelle par les médias électroniques marocains et sur les réseaux sociaux. La réaction tardive des autorités n’a pas pu finalement empêcher l’expulsion du couple marocain et les solutions proposées n’ont jamais dépassé le stade de « promesses ».
Finalement, même après l’intervention du ministre de l’Intérieur, Mohammed Hassad sur instruction royales, Shalom Abdelhak et sa femme avaient quitté le Maroc vers Israël…
Aujourd’hui, ce sont trois familles qui risquent de se retrouver dans la rue.
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