- Écrit par Lakome, 30/9/2013
La grande réunion publique organisée dimanche soir à Paris
par Mediapart et Reporters sans Frontières a été l'occasion d'expliquer
l'affaire Ali Anouzla et de mobiliser les soutiens en faveur du
co-fondateur de Lakome et directeur de sa version arabophone, détenu
depuis le 17 septembre dernier.
Le journal électronique français Mediapart
et l'organisation Reporters sans frontières ont organisé dimanche soir
une grande réunion publique au Théâtre de la Ville, à Paris, également
retransmise en direct en vidéo. Une soirée dédiée à la liberté
d'information avec une pléiade d'invités prestigieux comme Julian
Assange (WikiLeaks, en duplex), le grand reporter Florence Aubenas (RSF)
et l'intellectuel Edgar Morin.
Le co-fondateur de Lakome et directeur de sa version francophone,
Aboubakr Jamai, y a également participé et a profité de la tribune pour
expliquer l'affaire Anouzla.
Vidéo de l'intervention d'Aboubakr Jamai
http://youtu.be/EwVEqZKpimc
http://youtu.be/EwVEqZKpimc
Edwy Plenel, fondateur et directeur de Mediapart (crédit Ghali Bensouda)
|
Florence Aubenas, grand reporter et ex-otage en Irak (crédit Ghali Bensouda)
Edgar Morin, ancien résistant et intellectuel français (crédit Ghali Bensouda)
Aboubakr Jamai et Christophe Deloire, secrétaire général de RSF (crédit Ghali Bensouda)
http://fr.lakome.com/index.php/international/1427-france-solidarite-avec-ali-anouzla-lors-de-la-soiree-mediapart-rsf-sur-la-liberte-de-l-information
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http://fr.lakome.com/index.php/international/1427-france-solidarite-avec-ali-anouzla-lors-de-la-soiree-mediapart-rsf-sur-la-liberte-de-l-information
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Par Fouad Abdelmoumni et Ghali Bensouda
Quand des sommités comme Edgar Morin, le journaliste Edwy Plenel, le grand reporter Florence Aubenas, le patron de RSF ou encore le Président d'honneur de la FIDH soutiennent avec force et détermination Ali Anouzla, c'est un message fort qui est envoyé.
Les autorités veulent faire taire une voix libre mais elle est renforcée.
La chefs d'inculpation imaginaires et les intimidations ne vaincront pas et sont incapables de remettre en cause l'intégrité et l'honneur d'un journaliste libre et indépendant.
Ali sait maintenant qu'il est soutenu et que des personnes se mobilisent pour sa libération au Maroc, en France mais aussi dans le monde entier #FreeAnouzla
Quand des sommités comme Edgar Morin, le journaliste Edwy Plenel, le grand reporter Florence Aubenas, le patron de RSF ou encore le Président d'honneur de la FIDH soutiennent avec force et détermination Ali Anouzla, c'est un message fort qui est envoyé.
Les autorités veulent faire taire une voix libre mais elle est renforcée.
La chefs d'inculpation imaginaires et les intimidations ne vaincront pas et sont incapables de remettre en cause l'intégrité et l'honneur d'un journaliste libre et indépendant.
Ali sait maintenant qu'il est soutenu et que des personnes se mobilisent pour sa libération au Maroc, en France mais aussi dans le monde entier #FreeAnouzla
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