Maroc: le journaliste Ali Anouzla demande une remise en liberté
Inculpé pour terrorisme, le journaliste marocain Ali Anouzla a
déposé ce mardi une demande de remise en liberté. Son arrestation en
septembre fait l'objet de vives critiques au Maroc et à
l'international.
Une demande de remise en liberté du journaliste Ali Anouzla, dont l'inculpation pour terrorisme a soulevé une vague d'indignation au Maroc et à l'étranger, a été déposée ce mardi devant le juge d'instruction de la cour d'appel de Salé.
"Nous avons demandé que les poursuites aient lieu dans le cadre de la liberté provisoire. Le juge d'instruction doit trancher dans les cinq jours", a déclaré Me Semlali, avocat d'Ali Anouzla, ajoutant qu'une nouvelle audience est prévue le 30 octobre.
>> Lire aussi: Ali Anouzla, un journaliste qui dérange en haut lieu
Ali Anouzla, connu pour ses prises de position critiques envers le régime, a été inculpé pour "assistance matérielle", "apologie" et "incitation à l'exécution d'actes terroristes". Ces détracteurs lui reprochent d'avoir offert une tribune à Aqmi. Incarcéré à Salé, près de Rabat, où sont détenues les personnes jugées pour terrorisme, il encourt jusqu'à 20 ans de prison.
Avec
"Nous avons demandé que les poursuites aient lieu dans le cadre de la liberté provisoire. Le juge d'instruction doit trancher dans les cinq jours", a déclaré Me Semlali, avocat d'Ali Anouzla, ajoutant qu'une nouvelle audience est prévue le 30 octobre.
>> Lire aussi: Ali Anouzla, un journaliste qui dérange en haut lieu
Jusqu'à 20 ans de prison
Le directeur de la version arabophone du média en ligne Lakome a été arrêté le 17 septembre, après un article sur une vidéo d'Aqmi intitulée: "Maroc: le royaume de la corruption et du despotisme". Tout en précisant qu'il s'agissait d'un film de propagande, Lakome avait publié un lien vers le site du quotidien espagnol, El Pais, où la vidéo en question était disponible.Ali Anouzla, connu pour ses prises de position critiques envers le régime, a été inculpé pour "assistance matérielle", "apologie" et "incitation à l'exécution d'actes terroristes". Ces détracteurs lui reprochent d'avoir offert une tribune à Aqmi. Incarcéré à Salé, près de Rabat, où sont détenues les personnes jugées pour terrorisme, il encourt jusqu'à 20 ans de prison.
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En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/maroc-le-journaliste-ali-anouzla-demande-une-remise-en-liberte_1293235.html#KcA4wfhqpv2vZ4E3.99
Maroc: le journaliste Ali Anouzla demande une remise en liberté
Une demande de remise en liberté du journaliste Ali Anouzla, dont l'inculpation pour terrorisme a soulevé une vague d'indignation au Maroc et à l'étranger, a été déposée ce mardi devant le juge d'instruction de la cour d'appel de Salé.
"Nous avons demandé que les poursuites aient lieu dans le cadre de la liberté provisoire. Le juge d'instruction doit trancher dans les cinq jours", a déclaré Me Semlali, avocat d'Ali Anouzla, ajoutant qu'une nouvelle audience est prévue le 30 octobre.
>> Lire aussi: Ali Anouzla, un journaliste qui dérange en haut lieu
Jusqu'à 20 ans de prison
Le directeur de la version arabophone du média en ligne Lakome a été arrêté le 17 septembre, après un article sur une vidéo d'Aqmi intitulée: "Maroc: le royaume de la corruption et du despotisme". Tout en précisant qu'il s'agissait d'un film de propagande, Lakome avait publié un lien vers le site du quotidien espagnol, El Pais, où la vidéo en question était disponible.
Ali Anouzla, connu pour ses prises de position critiques envers le régime, a été inculpé pour "assistance matérielle", "apologie" et "incitation à l'exécution d'actes terroristes". Ces détracteurs lui reprochent d'avoir offert une tribune à Aqmi. Incarcéré à Salé, près de Rabat, où sont détenues les personnes jugées pour terrorisme, il encourt jusqu'à 20 ans de prison.
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Inculpé pour terrorisme, le journaliste marocain Ali Anouzla a déposé ce mardi une demande de remise en liberté. Son arrestation en septembre fait l'objet de vives critiques au Maroc et à l'international.
Une demande de remise en liberté du journaliste Ali Anouzla, dont l'inculpation pour terrorisme a soulevé une vague d'indignation au Maroc et à l'étranger, a été déposée ce mardi devant le juge d'instruction de la cour d'appel de Salé.
"Nous avons demandé que les poursuites aient lieu dans le cadre de la liberté provisoire. Le juge d'instruction doit trancher dans les cinq jours", a déclaré Me Semlali, avocat d'Ali Anouzla, ajoutant qu'une nouvelle audience est prévue le 30 octobre.
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Ali Anouzla, connu pour ses prises de position critiques envers le régime, a été inculpé pour "assistance matérielle", "apologie" et "incitation à l'exécution d'actes terroristes". Ces détracteurs lui reprochent d'avoir offert une tribune à Aqmi. Incarcéré à Salé, près de Rabat, où sont détenues les personnes jugées pour terrorisme, il encourt jusqu'à 20 ans de prison.
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"Nous avons demandé que les poursuites aient lieu dans le cadre de la liberté provisoire. Le juge d'instruction doit trancher dans les cinq jours", a déclaré Me Semlali, avocat d'Ali Anouzla, ajoutant qu'une nouvelle audience est prévue le 30 octobre.
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Jusqu'à 20 ans de prison
Le directeur de la version arabophone du média en ligne Lakome a été arrêté le 17 septembre, après un article sur une vidéo d'Aqmi intitulée: "Maroc: le royaume de la corruption et du despotisme". Tout en précisant qu'il s'agissait d'un film de propagande, Lakome avait publié un lien vers le site du quotidien espagnol, El Pais, où la vidéo en question était disponible.Ali Anouzla, connu pour ses prises de position critiques envers le régime, a été inculpé pour "assistance matérielle", "apologie" et "incitation à l'exécution d'actes terroristes". Ces détracteurs lui reprochent d'avoir offert une tribune à Aqmi. Incarcéré à Salé, près de Rabat, où sont détenues les personnes jugées pour terrorisme, il encourt jusqu'à 20 ans de prison.
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Maroc: le journaliste Ali Anouzla demande une remise en liberté
Inculpé pour terrorisme, le journaliste marocain Ali Anouzla a déposé ce mardi une demande de remise en liberté. Son arrestation en septembre fait l'objet de vives critiques au Maroc et à l'international.
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"Nous avons demandé que les poursuites aient lieu dans le cadre de la liberté provisoire. Le juge d'instruction doit trancher dans les cinq jours", a déclaré Me Semlali, avocat d'Ali Anouzla, ajoutant qu'une nouvelle audience est prévue le 30 octobre.
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Ali Anouzla, connu pour ses prises de position critiques envers le régime, a été inculpé pour "assistance matérielle", "apologie" et "incitation à l'exécution d'actes terroristes". Ces détracteurs lui reprochent d'avoir offert une tribune à Aqmi. Incarcéré à Salé, près de Rabat, où sont détenues les personnes jugées pour terrorisme, il encourt jusqu'à 20 ans de prison.
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Affaire Anouzla : Une deuxième audience prévue le 30 octobre
Par La rédaction, 22/10/2013
Après un rendez-vous crucial avec un juge d’instruction ce mardi matin,
Ali Anouzla verra la deuxième audience de son procès se dérouler le 30
octobre prochain. Selon des sources proches du dossier, la défense du
journaliste dispose de cinq jours pour présenter une demande de liberté
provisoire. Et mieux, il y a de fortes chances que cette affaire se
termine sur une issue favorable au journaliste.
Aboubakr Jamaï et les trois anciens avocats journaliste tiennent un
point de presse, cet après-midi, à Rabat. Hier dans la soirée, les
anciens avocats avaient annoncé leur retrait de cette affaire car,
apparemment, ils n’ont plus la confiance du journaliste. D’ailleurs, le
directeur de Lakome a déjà présenté des gages de sa bonne foi, prenant
ses distances avec les avocats qui assuraient sa défense ainsi que la
nouvelle direction du site.
http://www.yabiladi.com/articles/details/20391/affaire-anouzla-deuxieme-audience-prevue.html
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Par Annie Delay, A.I.
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