Arrêté en Espagne lundi, dans la journée, Daniel Galvan est d’ores et déjà derrière les barreaux. Le juge de l’Audience nationale a décidé, ce mardi matin, de le placer en détention préventive de peur qu’il prenne la fuite. Le Maroc a un délai de 40 jours pour déposer une demande d'extradition.
Le pédophile espagnol Daniel Galvan est hors état de nuire, ou du moins pour le moment. L’homme qui était condamné à passer 30 ans en prison au Maroc pour le viol de 11 enfants, avant d’être gracié « par erreur » mardi 30 juillet, est actuellement derrière les barreaux, en Espagne.
Arrêté lundi à Murcie, dans le sud-ouest de la péninsule ibérique, Daniel Galvan est passé, ce mardi matin, devant le tribunal de l'Audience nationale, plus haute juridiction pénale en Espagne, dont le siège est à Madrid. A l’issue de l’audience, le juge Fernando Andredu a décidé de le placer en détention, indiquent la MAP et la presse espagnole.
Risque de fuite
La décision du juge espagnol a été prise en raison du « risque de fuite et de la gravité des crimes » commis au Maroc par Daniel Galvan, indique la même source. Reste à présent à examiner l’éventualité de son extradition au Maroc. Selon le quotidien espagnol El Pais, Daniel Galvan y est totalement opposé. Le sexagénaire ne veut pas revenir au Maroc pour purger le reste de sa peine et n’a pas manqué de le faire savoir au juge Fernando Andredu.
Désormais, les autorités marocaines ont un délai de quarante jours pour présenter les documents devant appuyer la demande d’extradition du pédophile. Dès cet après-midi, deux représentants du ministère de la Justice, le chef de cabinet de Mustapha Ramid et le directeur de la fameuse direction des Affaires pénales et des Grâces, entament le premier round de discussions pour le retour de Galvan au Maroc. Pour sa part, le département de la justice espagnol a la même période de réflexion avant d’annoncer son verdict. De son côté, la défense a trois jours pour présenter un recours contre la détention provisoire de Galvan.
Gracié le jour de la Fête du trône, par « erreur » selon le Palais royal marocain, Daniel Galvan monopolise depuis près d’une semaine l’attention des médias marocains et internationaux, tout comme celle de la société civile.
Après la tenue de plusieurs manifestations au Maroc pour protester contre sa libération, le roi était décidé de lui retirer sa grâce, expliquant qu'il n’avait pas été mis au courant auparavant de « la gravité de ses crimes ». Lundi, l’homme a été arrêté par la police espagnole, suite à un mandat d’arrêt international lancé le même jour par les autorités marocaines.
DanielGate : Le pédophile espagnol placé en prison, le Maroc à 40 jours pour
Arrêté en Espagne lundi, dans la journée,
Daniel Galvan est d’ores et déjà derrière les barreaux. Le juge de
l’Audience nationale a décidé, ce mardi matin, de le placer en détention
préventive de peur qu’il prenne la fuite. Le Maroc a un délai de 40
jours pour déposer une demande d’extradition.
Le pédophile espagnol Daniel Galvan est hors état de nuire, ou du moins pour le moment. L’homme qui était condamné à passer 30 ans en prison au Maroc pour le viol de 11 enfants, avant d’être gracié « par erreur » mardi 30 juillet, est actuellement derrière les barreaux, en Espagne.
Arrêté lundi à Murcie, dans le sud-ouest de la péninsule ibérique, Daniel Galvan est passé, ce mardi matin, devant le tribunal de l’Audience nationale, plus haute juridiction pénale en Espagne, dont le siège est à Madrid. A l’issue de l’audience, le juge Fernando Andredu a décidé de le placer en détention, indique la MAP et la presse espagnole.
Risque de fuite
La décision du juge espagnol a été prise en raison du « risque de fuite et de la gravité des crimes » commis au Maroc par Daniel Galvan, indique la même source. Reste à présent à examiner l’éventualité de son extradition au Maroc. Selon le quotidien espagnol El Pais, Daniel Galvan y est totalement opposé. Le sexagénaire ne veut pas revenir au Maroc pour purger le reste de sa peine et n’a pas manqué de le faire savoir au juge Fernando Andredu.
Désormais, les autorités marocaines ont un délai de quarante jours pour présenter les documents devant appuyer la demande d’extradition du pédophile. Dès cet après-midi, deux représentants du ministère de la Justice, le chef de cabinet de Mustapha Ramid et le directeur de la fameuse direction des Affaires pénales et des Grâces, entament le premier round de discussions pour le retour de Galvan au Maroc. Pour sa part, le département de la justice espagnol a la même période de réflexion avant d’annoncer son verdict. De son côté, la défense a trois jours pour présenter un recours contre la détention provisoire de Galvan.
Gracié le jour de la Fête du trône, par « erreur » selon le Palais royal marocain, Daniel Galvan monopolise depuis près d’une semaine l’attention des médias marocains et internationaux, tout comme celle de la société civile.
Après la tenue de plusieurs manifestations au Maroc pour protester contre sa libération, le roi é décidé de lui retirer sa grâce, expliquant qu’il n’avait pas été mis au courant auparavant de « la gravité de ses crimes ». Lundi, l’homme a été arrêté par la police espagnole, suite à un mandat d’arrêt international lancé le même jour par les autorités marocaines.
Source : yabiladi.com
Le pédophile espagnol Daniel Galvan est hors état de nuire, ou du moins pour le moment. L’homme qui était condamné à passer 30 ans en prison au Maroc pour le viol de 11 enfants, avant d’être gracié « par erreur » mardi 30 juillet, est actuellement derrière les barreaux, en Espagne.
Arrêté lundi à Murcie, dans le sud-ouest de la péninsule ibérique, Daniel Galvan est passé, ce mardi matin, devant le tribunal de l’Audience nationale, plus haute juridiction pénale en Espagne, dont le siège est à Madrid. A l’issue de l’audience, le juge Fernando Andredu a décidé de le placer en détention, indique la MAP et la presse espagnole.
Risque de fuite
La décision du juge espagnol a été prise en raison du « risque de fuite et de la gravité des crimes » commis au Maroc par Daniel Galvan, indique la même source. Reste à présent à examiner l’éventualité de son extradition au Maroc. Selon le quotidien espagnol El Pais, Daniel Galvan y est totalement opposé. Le sexagénaire ne veut pas revenir au Maroc pour purger le reste de sa peine et n’a pas manqué de le faire savoir au juge Fernando Andredu.
Désormais, les autorités marocaines ont un délai de quarante jours pour présenter les documents devant appuyer la demande d’extradition du pédophile. Dès cet après-midi, deux représentants du ministère de la Justice, le chef de cabinet de Mustapha Ramid et le directeur de la fameuse direction des Affaires pénales et des Grâces, entament le premier round de discussions pour le retour de Galvan au Maroc. Pour sa part, le département de la justice espagnol a la même période de réflexion avant d’annoncer son verdict. De son côté, la défense a trois jours pour présenter un recours contre la détention provisoire de Galvan.
Gracié le jour de la Fête du trône, par « erreur » selon le Palais royal marocain, Daniel Galvan monopolise depuis près d’une semaine l’attention des médias marocains et internationaux, tout comme celle de la société civile.
Après la tenue de plusieurs manifestations au Maroc pour protester contre sa libération, le roi é décidé de lui retirer sa grâce, expliquant qu’il n’avait pas été mis au courant auparavant de « la gravité de ses crimes ». Lundi, l’homme a été arrêté par la police espagnole, suite à un mandat d’arrêt international lancé le même jour par les autorités marocaines.
Source : yabiladi.com
DanielGate : Le pédophile espagnol placé en prison, le Maroc à 40 jours pour
Arrêté en Espagne lundi, dans la journée,
Daniel Galvan est d’ores et déjà derrière les barreaux. Le juge de
l’Audience nationale a décidé, ce mardi matin, de le placer en détention
préventive de peur qu’il prenne la fuite. Le Maroc a un délai de 40
jours pour déposer une demande d’extradition.
Le pédophile espagnol Daniel Galvan est hors état de nuire, ou du moins pour le moment. L’homme qui était condamné à passer 30 ans en prison au Maroc pour le viol de 11 enfants, avant d’être gracié « par erreur » mardi 30 juillet, est actuellement derrière les barreaux, en Espagne.
Arrêté lundi à Murcie, dans le sud-ouest de la péninsule ibérique, Daniel Galvan est passé, ce mardi matin, devant le tribunal de l’Audience nationale, plus haute juridiction pénale en Espagne, dont le siège est à Madrid. A l’issue de l’audience, le juge Fernando Andredu a décidé de le placer en détention, indique la MAP et la presse espagnole.
Risque de fuite
La décision du juge espagnol a été prise en raison du « risque de fuite et de la gravité des crimes » commis au Maroc par Daniel Galvan, indique la même source. Reste à présent à examiner l’éventualité de son extradition au Maroc. Selon le quotidien espagnol El Pais, Daniel Galvan y est totalement opposé. Le sexagénaire ne veut pas revenir au Maroc pour purger le reste de sa peine et n’a pas manqué de le faire savoir au juge Fernando Andredu.
Désormais, les autorités marocaines ont un délai de quarante jours pour présenter les documents devant appuyer la demande d’extradition du pédophile. Dès cet après-midi, deux représentants du ministère de la Justice, le chef de cabinet de Mustapha Ramid et le directeur de la fameuse direction des Affaires pénales et des Grâces, entament le premier round de discussions pour le retour de Galvan au Maroc. Pour sa part, le département de la justice espagnol a la même période de réflexion avant d’annoncer son verdict. De son côté, la défense a trois jours pour présenter un recours contre la détention provisoire de Galvan.
Gracié le jour de la Fête du trône, par « erreur » selon le Palais royal marocain, Daniel Galvan monopolise depuis près d’une semaine l’attention des médias marocains et internationaux, tout comme celle de la société civile.
Après la tenue de plusieurs manifestations au Maroc pour protester contre sa libération, le roi é décidé de lui retirer sa grâce, expliquant qu’il n’avait pas été mis au courant auparavant de « la gravité de ses crimes ». Lundi, l’homme a été arrêté par la police espagnole, suite à un mandat d’arrêt international lancé le même jour par les autorités marocaines.
Source : yabiladi.com
Le pédophile espagnol Daniel Galvan est hors état de nuire, ou du moins pour le moment. L’homme qui était condamné à passer 30 ans en prison au Maroc pour le viol de 11 enfants, avant d’être gracié « par erreur » mardi 30 juillet, est actuellement derrière les barreaux, en Espagne.
Arrêté lundi à Murcie, dans le sud-ouest de la péninsule ibérique, Daniel Galvan est passé, ce mardi matin, devant le tribunal de l’Audience nationale, plus haute juridiction pénale en Espagne, dont le siège est à Madrid. A l’issue de l’audience, le juge Fernando Andredu a décidé de le placer en détention, indique la MAP et la presse espagnole.
Risque de fuite
La décision du juge espagnol a été prise en raison du « risque de fuite et de la gravité des crimes » commis au Maroc par Daniel Galvan, indique la même source. Reste à présent à examiner l’éventualité de son extradition au Maroc. Selon le quotidien espagnol El Pais, Daniel Galvan y est totalement opposé. Le sexagénaire ne veut pas revenir au Maroc pour purger le reste de sa peine et n’a pas manqué de le faire savoir au juge Fernando Andredu.
Désormais, les autorités marocaines ont un délai de quarante jours pour présenter les documents devant appuyer la demande d’extradition du pédophile. Dès cet après-midi, deux représentants du ministère de la Justice, le chef de cabinet de Mustapha Ramid et le directeur de la fameuse direction des Affaires pénales et des Grâces, entament le premier round de discussions pour le retour de Galvan au Maroc. Pour sa part, le département de la justice espagnol a la même période de réflexion avant d’annoncer son verdict. De son côté, la défense a trois jours pour présenter un recours contre la détention provisoire de Galvan.
Gracié le jour de la Fête du trône, par « erreur » selon le Palais royal marocain, Daniel Galvan monopolise depuis près d’une semaine l’attention des médias marocains et internationaux, tout comme celle de la société civile.
Après la tenue de plusieurs manifestations au Maroc pour protester contre sa libération, le roi é décidé de lui retirer sa grâce, expliquant qu’il n’avait pas été mis au courant auparavant de « la gravité de ses crimes ». Lundi, l’homme a été arrêté par la police espagnole, suite à un mandat d’arrêt international lancé le même jour par les autorités marocaines.
Source : yabiladi.com
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