Aufait,
Une marche sera organisée dimanche prochain à Marrakech, sous le thème “Non à la corruption et au pillage des biens publics, oui à la démocratie”. /DR
La coordination régionale de lutte contre la
corruption et le pillage des biens publics de Marrakech-Tensift-El Haouz
a prévu une marche dimanche prochain à Marrakech.
Organisée sous le thème “Non à la corruption et au pillage des biens publics, oui à la démocratie”, la marche débutera à 10h, au quartier Bab Doukkala, près de la gare routière.
Dans une vidéo publiée sur YouTube, et reprise par plusieurs médias et sites d'information, les participants présentent les arguments et les raisons qui ont motivé cette marche.
Pour rappel, plusieurs élus de la ville ocre, anciens et actuels, sont poursuivis dans des affaires de corruption et de dilapidation des biens publics. On cite à titre d'exemple l'affaire de cession des terrains du casino Es-Saâdi à Marrakech, dans laquelle 11 accusés sont poursuivis notamment pour “corruption, gaspillage des fonds publics, abus de pouvoir, trafic d’influence et faux et usage de faux”.
La marche du dimanche devait avoir lieu le 19 janvier dernier, mais avait été interdite par les autorités. La coordination régionale de lutte contre la corruption et le pillage des biens publics de Marrakech-Tensift-ElHaouz, qui regroupe entre autres l'Instance de protection des biens publics, section Marrakech, et les sections régionales de la Confédération démocratique du travail et de la Fédération démocratique du travail, avait alors annoncé qu'elle compte poursuivre en justice les autorités locales de la ville.
Cette coordination appelle à engager des poursuites contre les “pillards de l'argent public” et les “corrompus”, de récupérer l'argent volé et de mettre fin à l'impunité”. En ce qui concerne la défense des citoyens, la coordination plaide pour “mettre un terme à la flambée des prix et d'œuvrer pour la mise en place de politiques publiques avec un contenu social répondant aux aspirations d'un large segment de la société marocaine”.
Organisée sous le thème “Non à la corruption et au pillage des biens publics, oui à la démocratie”, la marche débutera à 10h, au quartier Bab Doukkala, près de la gare routière.
Dans une vidéo publiée sur YouTube, et reprise par plusieurs médias et sites d'information, les participants présentent les arguments et les raisons qui ont motivé cette marche.
Pour rappel, plusieurs élus de la ville ocre, anciens et actuels, sont poursuivis dans des affaires de corruption et de dilapidation des biens publics. On cite à titre d'exemple l'affaire de cession des terrains du casino Es-Saâdi à Marrakech, dans laquelle 11 accusés sont poursuivis notamment pour “corruption, gaspillage des fonds publics, abus de pouvoir, trafic d’influence et faux et usage de faux”.
Des autorités locales poursuivies
Une
affaire dans laquelle l'ancien maire de Marrakech, Omar El Jazouli et
le quatrième adjoint du maire de la ville et parlementaire de
l'Istiqlal, Abdellatif Abdouh, ainsi que d'autres personnalités
politiques, sont également poursuivis.La marche du dimanche devait avoir lieu le 19 janvier dernier, mais avait été interdite par les autorités. La coordination régionale de lutte contre la corruption et le pillage des biens publics de Marrakech-Tensift-ElHaouz, qui regroupe entre autres l'Instance de protection des biens publics, section Marrakech, et les sections régionales de la Confédération démocratique du travail et de la Fédération démocratique du travail, avait alors annoncé qu'elle compte poursuivre en justice les autorités locales de la ville.
Cette coordination appelle à engager des poursuites contre les “pillards de l'argent public” et les “corrompus”, de récupérer l'argent volé et de mettre fin à l'impunité”. En ce qui concerne la défense des citoyens, la coordination plaide pour “mettre un terme à la flambée des prix et d'œuvrer pour la mise en place de politiques publiques avec un contenu social répondant aux aspirations d'un large segment de la société marocaine”.
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