Sale temps pour le gouvernement Benkirane : Le 1er mai s’annonce chaud malgré une météo mitigée
Malgré une météo mitigée, le 1er mai
s’annonce très chaud. L’annulation de la session du dialogue social qui
était prévue samedi dernier est significative de vives
frictions entre
centrales syndicales et gouvernement.
Les principaux syndicats –UMT, CDT, FDT et UGTM- ont en effet décidé
de boycotter un dialogue social « purement formel et de circonstance »,
mettant ainsi l’Exécutif très mal à l’aise à la veille de la fête du
travail.
Le communiqué de la présidence de gouvernement et ses promesses
de mise en œuvre des dispositions de l’accord conclu le 26 avril 2011
n’y fera rien. La tension est palpable et les défilés de ce 1er mai ne
seront pas une seule figure imposée. Chez les partenaires sociaux, les
mots d’ordre et les slogans se préparent. « Et ce ne sera pas de la
dentelle », confie ce syndicaliste dont le cœur bat à gauche. Les
revendications se ramassent à la pelle : précarité, chômage, pouvoir
d’achat, droit de grève, liberté syndicale bafouée. «Les raisons de la
colère des masses laborieuses sont nombreuses. Et mercredi, ceux et
celles qui vont défiler brandiront leurs doléances et surtout leurs très
difficiles conditions de vie à la face d’un gouvernement qui n’est
sûrement pas celui du pouvoir d’achat».
A l’Association marocaine des
droits humains, le mot d’ordre a déjà été communiqué aux médias. Ce 1er
mai, ses activistes des droits de l’Homme défileront avec « les diplômés
chômeurs, les travailleurs et les militants du Mouvement du 20
février pour défendre le droit au travail, les droits des travailleurs
et le Maroc de la démocratie et de la justice sociale ».
A la FDT, la mobilisation bat son plein. La menace de grandes marches nationales de la classe ouvrière est clairement énoncée. Ceux et celles de cette centrale syndicale le disent haut et fort : la situation que vit actuellement le Maroc ne supporte plus aucun atermoiement ou tergiversation. « La FDT est prête à observer plusieurs formes et mouvements de protestation pour contrecarrer toutes les offensives visant les syndicalistes qui sont victimes de pratiques illégales et de mesures de répression, notamment les actes d’intimidation et les prélèvements sur les salaires des grévistes », indique un communiqué de ce syndicat.
De quoi saper le moral d’un chef de gouvernement en perpétuel exercice de communication. Samedi, Abdelilah Benkirane a essayé de faire bonne figure devant la jeunesse islamiste du PJD, en congrès à Bouznika, comme voulant à tout prix donner l’impression de n’avoir rien perdu de sa verve. Discours d’une trentaine de minutes pour confirmer l’élan réformateur d’un gouvernement qui « ne craint pas les complots » et surtout régler ses comptes avec l’opposition. Les oreilles des Istiqlaliens et Harakis, alliés de la majorité, ont dû également siffler. Ils n’échapperont pas aux piques d’un Benkirane qui promet « de rester 20 ans encore au pouvoir». Adepte de la méthode Coué, le chef du gouvernement et SG du PJD a lancé aux jeunes barbus et voilées que «le parti de la Lampe continuera de jouir de la confiance des citoyens car il veut mener de véritables réformes». Les partenaires de la majorité, phagocytés à l’envi, apprécieront.
A la FDT, la mobilisation bat son plein. La menace de grandes marches nationales de la classe ouvrière est clairement énoncée. Ceux et celles de cette centrale syndicale le disent haut et fort : la situation que vit actuellement le Maroc ne supporte plus aucun atermoiement ou tergiversation. « La FDT est prête à observer plusieurs formes et mouvements de protestation pour contrecarrer toutes les offensives visant les syndicalistes qui sont victimes de pratiques illégales et de mesures de répression, notamment les actes d’intimidation et les prélèvements sur les salaires des grévistes », indique un communiqué de ce syndicat.
De quoi saper le moral d’un chef de gouvernement en perpétuel exercice de communication. Samedi, Abdelilah Benkirane a essayé de faire bonne figure devant la jeunesse islamiste du PJD, en congrès à Bouznika, comme voulant à tout prix donner l’impression de n’avoir rien perdu de sa verve. Discours d’une trentaine de minutes pour confirmer l’élan réformateur d’un gouvernement qui « ne craint pas les complots » et surtout régler ses comptes avec l’opposition. Les oreilles des Istiqlaliens et Harakis, alliés de la majorité, ont dû également siffler. Ils n’échapperont pas aux piques d’un Benkirane qui promet « de rester 20 ans encore au pouvoir». Adepte de la méthode Coué, le chef du gouvernement et SG du PJD a lancé aux jeunes barbus et voilées que «le parti de la Lampe continuera de jouir de la confiance des citoyens car il veut mener de véritables réformes». Les partenaires de la majorité, phagocytés à l’envi, apprécieront.
Affaire Assid et sortie de Said Ameskane : semaine difficile pour Benkirane
Il faut bien l’admettre, la semaine a été plutôt difficile pour
Benkirane et ses ouailles. Après les sorties d’un Hamid Chabat
revendiquant plus que jamais un remaniement ministériel pour sortir de
la crise, le secrétaire général adjoint du Mouvement populaire s’est
employé à alimenter une polémique bien stérile. Said Ameskane a en effet
convoqué une conférence de presse, mercredi dernier, pour remettre en
cause le volume des réserves en devises et le taux du déficit
budgétaire qu’il estime à 8,5%. « Contrairement aux chiffres qui
affirment que les réserves du Maroc en devises couvrent quatre mois, le
vrai volume des réserves en devises ne peut couvrir que trois mois. Si
on ne réduit pas les importations et si les prix du pétrole et du blé
n’accusent pas une baisse, le Maroc se trouvera obligé de recourir à la
ligne de crédit de la Banque mondiale», a révélé ce responsable haraki,
ajoutant à l’inquiétude ambiante. «Voici une majorité qui n’en finit pas
de porter la contradiction. Les désaccords des uns et des autres sont
portés sur la place publique. Nous sommes loin du débat public sain et
constructif mais tout simplement dans la polémique entre alliés. Le
Mouvement populaire a-t-il besoin d’organiser un point de presse pour
dire qu’il est contre l’octroi d’aides directes à 8 millions de
personnes en guise de réforme de la Caisse de compensation? C’est au
chef du gouvernement qu’il faut le dire!», commente ce député de l’Union
socialiste des forces populaires.
Entre une majorité qui se tire dans les pattes et des ministres en bataille pour leurs prérogatives, le désordre est de mise. Dernier exemple en date, le retrait du projet de loi sur les mines du Secrétariat général du gouvernement. Dix jours seulement après son dépôt au SGG, le ministre de l’Energie et des Mines, l’Istiqlalien Fouad Douiri, s’est empressé de retirer le projet de loi N 33-13 relative aux mines. La pression du PJD a été la plus forte. Le secteur des carrières, jusque-là dans le giron du ministère de l’Energie et des Mines, est clairement réclamé par A. Rebbah, le ministre islamiste de l’Equipement et des Transports. La guerre des carrières a déjà commencé
Reste enfin cette dernière polémique dont le gouvernement Benkirane n’avait vraiment pas besoin en cette veille de manifestations du 1er mai. Les déclarations du chercheur amazigh Ahmed Assid sur l’image de l’Islam véhiculée par les manuels scolaires, ont suscité des réactions très violentes, en tout cas loin du débat d’idées. A Bouznika, devant la jeunesse islamiste de son parti, le chef du gouvernement a mis de l’huile sur le feu, soutenant les réactions contre Assid. «Si certains individus ne veulent pas entendre des paroles sévères, ils doivent respecter la foi de la nation. Ce n’est pas raisonnable de parler ainsi du Messager d’Allah (paix et salut sur lui), le meilleur des Hommes, ce n’est pas raisonnable et je n’accepterais pas ça». L’affaire Assid ne fait que commencer. Et les inquiétudes du mouvement amazigh pointent déjà à l’horizon.
Entre une majorité qui se tire dans les pattes et des ministres en bataille pour leurs prérogatives, le désordre est de mise. Dernier exemple en date, le retrait du projet de loi sur les mines du Secrétariat général du gouvernement. Dix jours seulement après son dépôt au SGG, le ministre de l’Energie et des Mines, l’Istiqlalien Fouad Douiri, s’est empressé de retirer le projet de loi N 33-13 relative aux mines. La pression du PJD a été la plus forte. Le secteur des carrières, jusque-là dans le giron du ministère de l’Energie et des Mines, est clairement réclamé par A. Rebbah, le ministre islamiste de l’Equipement et des Transports. La guerre des carrières a déjà commencé
Reste enfin cette dernière polémique dont le gouvernement Benkirane n’avait vraiment pas besoin en cette veille de manifestations du 1er mai. Les déclarations du chercheur amazigh Ahmed Assid sur l’image de l’Islam véhiculée par les manuels scolaires, ont suscité des réactions très violentes, en tout cas loin du débat d’idées. A Bouznika, devant la jeunesse islamiste de son parti, le chef du gouvernement a mis de l’huile sur le feu, soutenant les réactions contre Assid. «Si certains individus ne veulent pas entendre des paroles sévères, ils doivent respecter la foi de la nation. Ce n’est pas raisonnable de parler ainsi du Messager d’Allah (paix et salut sur lui), le meilleur des Hommes, ce n’est pas raisonnable et je n’accepterais pas ça». L’affaire Assid ne fait que commencer. Et les inquiétudes du mouvement amazigh pointent déjà à l’horizon.
Source : libe.ma
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Le
1er mai de cette année arrive en plein situation de luttes et de crise, de plus
en plus intenses sur tous les fronts, au Maroc et ailleurs. Partout dans le
monde, des combats contre le règne du Capital sont en marche.
Au
Maroc, le vent de changement, qui a soufflé sur le pays depuis le 20 février
2011, a mis le pouvoir en difficulté manifeste. Un mouvement populaire, fut né à cette date-là,
pour un changement réel, profond, et universel, pour une réelle démocratie, une
égalité homme/femme, une justice sociale et une dignité humaine.
Le régime marocain, fidèle à ses pratiques occultes, a recouru à des manœuvres politiques pour contenir cet élan révolutionnaire : maquillage constitutionnel de 2011, concessions circonstancielles sous la pression du mouvement du 20 Février, phagocytage d’un gouvernement, désormais, aux ordres du palais, la répression méthodiques des manifestations pacifiques et légitimes, et emprisonnements arbitraires.
Au 1er mai 2013, sur le plan économique, le pays subit de plein fouet une crise sans précédent, mais dont le gouvernement profite pour remettre en cause tous les acquis des luttes populaires, accomplies avec du sang et des années d’emprisonnement. En conséquence, le peuple marocain s’est soulevé pour dire STOP. Pour sa part, le Makhzen a réagi, comme à l’accoutumée, par l’emprisonnement des dizaines de militant(e)s, des luttes sociales, politiques, culturelles, syndicales, etc. sans oublier les centaines de militant(e)s du mouvement du 20 Février.
Dans la foulée de ce mouvement populaire, la lutte syndicale était de partie pour défendre les droits syndicaux et pour l’émancipation des travailleur(euse)s. La bureaucratie syndicale réactionnaire, liée au régime, usa de toutes les manœuvres dilatoires pour brider l’élan libérateur au sein des syndicats.
Malgré la répression et la vengeance systématique contre les militant(e)s du mouvement du 20 Février, du mouvement ouvrier et syndical, des militant(e)s des droits humains, etc. les luttes se sont amplifiées et intensifiées. Des luttes pour le logement à Casablanca, contre le chômage au Rif, en passant par ceux pour l’accès à tou(te)s aux soins jusqu’à ceux contre l’absolutisme politique.
Il va sans dire, que le mouvement du 20 février a ouvert une brèche vers l’émancipation politique, économique et sociale que le régime en place à beaucoup de mal à refermer malgré tous ses moyens de répression étatique.
Par ce communiqué :
• Nous affirmons que le combat contre l’exploitation des travailleur(euse)s et du peuple marocain dans sa globalité, passera nécessairement par une lutte frontale contre la classe dominante au Maroc.
• Nous réclamons l’abrogation de l’article 288 du code pénal qui réprime le droit de grève en dépit de la garantie offerte par la constitution octroyée.
• Nous soutenons toutes les luttes en cours de la classe ouvrière contre l'alliance du patronat, du pouvoir et les bureaucraties en places.
• Nous réaffirmons notre attachement aux revendications du Mouvement du 20 février et la libération de tout(e)s les prisonnier(e)s politiques et d’opinion au Maroc.
• Nous donnons rendez-vous aux Marocaines et aux Marocains à la fête des travailleur(euse)s le 1er Mai 2013 à 14h à Paris de la place de la Bastille, en direction de la place de la Nation. Le RDV vous est donné à la sortie rue de la Roquette.
Contact :
Téléphone : 0763090105
E-Mail : mvt20fevrierparisidf@gmail.com
Groupe Facebook : https://www.facebook.com/groups/179282125453685/
Le régime marocain, fidèle à ses pratiques occultes, a recouru à des manœuvres politiques pour contenir cet élan révolutionnaire : maquillage constitutionnel de 2011, concessions circonstancielles sous la pression du mouvement du 20 Février, phagocytage d’un gouvernement, désormais, aux ordres du palais, la répression méthodiques des manifestations pacifiques et légitimes, et emprisonnements arbitraires.
Au 1er mai 2013, sur le plan économique, le pays subit de plein fouet une crise sans précédent, mais dont le gouvernement profite pour remettre en cause tous les acquis des luttes populaires, accomplies avec du sang et des années d’emprisonnement. En conséquence, le peuple marocain s’est soulevé pour dire STOP. Pour sa part, le Makhzen a réagi, comme à l’accoutumée, par l’emprisonnement des dizaines de militant(e)s, des luttes sociales, politiques, culturelles, syndicales, etc. sans oublier les centaines de militant(e)s du mouvement du 20 Février.
Dans la foulée de ce mouvement populaire, la lutte syndicale était de partie pour défendre les droits syndicaux et pour l’émancipation des travailleur(euse)s. La bureaucratie syndicale réactionnaire, liée au régime, usa de toutes les manœuvres dilatoires pour brider l’élan libérateur au sein des syndicats.
Malgré la répression et la vengeance systématique contre les militant(e)s du mouvement du 20 Février, du mouvement ouvrier et syndical, des militant(e)s des droits humains, etc. les luttes se sont amplifiées et intensifiées. Des luttes pour le logement à Casablanca, contre le chômage au Rif, en passant par ceux pour l’accès à tou(te)s aux soins jusqu’à ceux contre l’absolutisme politique.
Il va sans dire, que le mouvement du 20 février a ouvert une brèche vers l’émancipation politique, économique et sociale que le régime en place à beaucoup de mal à refermer malgré tous ses moyens de répression étatique.
Par ce communiqué :
• Nous affirmons que le combat contre l’exploitation des travailleur(euse)s et du peuple marocain dans sa globalité, passera nécessairement par une lutte frontale contre la classe dominante au Maroc.
• Nous réclamons l’abrogation de l’article 288 du code pénal qui réprime le droit de grève en dépit de la garantie offerte par la constitution octroyée.
• Nous soutenons toutes les luttes en cours de la classe ouvrière contre l'alliance du patronat, du pouvoir et les bureaucraties en places.
• Nous réaffirmons notre attachement aux revendications du Mouvement du 20 février et la libération de tout(e)s les prisonnier(e)s politiques et d’opinion au Maroc.
• Nous donnons rendez-vous aux Marocaines et aux Marocains à la fête des travailleur(euse)s le 1er Mai 2013 à 14h à Paris de la place de la Bastille, en direction de la place de la Nation. Le RDV vous est donné à la sortie rue de la Roquette.
Contact :
Téléphone : 0763090105
E-Mail : mvt20fevrierparisidf@gmail.com
Groupe Facebook : https://www.facebook.com/groups/179282125453685/
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Les relations plus tendues que jamais
Aufait Maroc
Lessyndicats continuent de bouder l'exécutif. En
effet, le round du dialogue social, prévu ce samedi, a été reporté sine
die suite au refus de certaines centrales syndicales d'y prendre part.
“Suite au refus de certaines centrales syndicales, pour diverses considérations, de prendre part au round du dialogue social, il a été décidé d'annuler la réunion”, a indiqué le secrétariat du gouvernement dans un communiqué.
Réaffirmant sa volonté de “poursuivre le dialogue avec les différents partenaires économiques et sociaux”, le gouvernement s'est dit “déterminé à mettre en œuvre les dispositions de l'accord conclu le 26 avril 2011”.
Cette situation risque de perdurer, dans la mesure où le dialogue a connu un coup d'arrêt depuis octobre dernier. Mise à part la réunion du 4 janvier, qui a rassemblé le chef du gouvernement, les secrétaires généraux des centrales syndicales ainsi que la présidente de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), les autres rendez-vous n'ont pas été tenu avec l'ensemble des composantes.
Quelques jours après, c'était au tour des deux autres centrales, l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM), proche du parti de l'Istiqlal, et l’Union marocaine du travail (UMT), le plus grand syndicat du Royaume, de se retirer de la dite commission. Seul l’Union nationale du travail (UNTM), bras syndical du PJD, avait continué à croire au dialogue social.
Le torchon risque de brûler entre les syndicats et le gouvernement, surtout que les premiers comptent déployer toutes leurs forces, pour descendre dans les rues, et célébrer mercredi la journée mondiale du travail.
“Suite au refus de certaines centrales syndicales, pour diverses considérations, de prendre part au round du dialogue social, il a été décidé d'annuler la réunion”, a indiqué le secrétariat du gouvernement dans un communiqué.
Réaffirmant sa volonté de “poursuivre le dialogue avec les différents partenaires économiques et sociaux”, le gouvernement s'est dit “déterminé à mettre en œuvre les dispositions de l'accord conclu le 26 avril 2011”.
Cette situation risque de perdurer, dans la mesure où le dialogue a connu un coup d'arrêt depuis octobre dernier. Mise à part la réunion du 4 janvier, qui a rassemblé le chef du gouvernement, les secrétaires généraux des centrales syndicales ainsi que la présidente de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), les autres rendez-vous n'ont pas été tenu avec l'ensemble des composantes.
Mobilisation pour le 1er mai
Le
bras de fer a bien démarré en octobre dernier, lorsque la Fédération
démocratique du travail (FDT) et la Confédération démocratique du
travail (CDT) avaient décidé de claquer la porte de la commission
technique du dialogue social.Quelques jours après, c'était au tour des deux autres centrales, l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM), proche du parti de l'Istiqlal, et l’Union marocaine du travail (UMT), le plus grand syndicat du Royaume, de se retirer de la dite commission. Seul l’Union nationale du travail (UNTM), bras syndical du PJD, avait continué à croire au dialogue social.
Le torchon risque de brûler entre les syndicats et le gouvernement, surtout que les premiers comptent déployer toutes leurs forces, pour descendre dans les rues, et célébrer mercredi la journée mondiale du travail.
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