Qui peut encore donner du crédit à cette presse-sornettes aux ordres de la monarchie absolue du royaume du Maroc ?
commentaires de l'article ci-dessous par solidmar, 29/7/2013
Ne pas confondre colonisation d'un autre âge et l'arrogante souveraineté nationale qui n'existe pas sur le Sahara occidental, qu'aucun texte n'atteste, qui n'est reconnue par aucun pays de la planète !
Juan Mendez ne semble pas avoir constaté, lors de l'enquête pour son rapport accablant sur la torture, que les instruments nationaux du Maroc, perfectibles
et transparents sont suffisants, au regard des normes internationales
les plus avancées pour contrôler l'application des droits de l'Homme ?
Peut-on dire que le Maroc est parvenu à mettre
d'accord tout le monde, au Conseil de sécurité des Nations Unies, sur la
question des droits de l'Homme au Sahara, sans qu'une quelconque
mission étrangère s'en occupe alors que les principaux intéressés ne sont pas consultés ? Quel mépris du peuple sahraoui, quel mépris de l'humain!
Quelle arrogance à l'opposé de la modernité de la part de ce souverain autocrate, dont le rejet de l'extension de la mission de la Minurso à la surveillance des droits de l'Homme est bel et bien le fruit d'une mobilisation personnelle du roi ! Et on veut faire croire que le Maroc est une démocratie exemplaire ?
Comment croire à son engagement constant en faveur des causes
de la paix dans le monde, alors que son entêtement coupable à barrer la route, ne pas accepter le projet de contrôle des
droits de l'Homme dans la mission des Nations Unies risque de mettre le feu aux poudres au Moyen Orient, la patience du peuple sahraoui ayant dépassé les limites du supportable après des décennies de ripostes pacifiques ! Craint-il que ne soient dévoilées une fois de plus les pratiques de torture et autres exactions honteuses ?
A travers quelles valeurs humaines se décline la diplomatie du Roi Mohammed VI alors qu'elle bafoue la Déclaration Universelle des droits de l'Homme qui prône le droit à l'autodétermination ?
«14e anniversaire de l'intronisation du Roi Mohammed VI :2013, une année marquée par la diplomate royale
Depuis son accession au trône, le Roi Mohammed VI a initié de multiples chantiers pour faire du Maroc un pays moderne. Cette année à l'occasion de la Fête du Trône, célébrée ce mardi, le bilan des initiatives royales est important. La diplomatie royale s'est montrée plus qu'efficace à plusieurs occasions, s'érigeant en rempart pour les intérêts de la Nation.
Soutenir, à l'occasion de la commémoration de la
Fête du Trône, que la diplomatie royale a sauvé la mise du pays au
Conseil de sécurité des Nations Unies, au mois d'avril 2013, c'est peu
dire.
Celle-ci s'est en effet érigée en rempart les intérêts de la Nation, lorsqu'il a fallu barrer la route au projet de contrôle des droits de l'Homme, dans la mission des Nations Unies dans nos provinces du Sud.
Cette manœuvre attentatoire à notre souveraineté nationale a été avortée puisque nos instruments nationaux, perfectibles et transparents sont suffisants, au regard des normes internationales les plus avancées.
Et finalement le Maroc est parvenu à mettre d'accord tout le monde, au Conseil de sécurité des Nations Unies, sur la question des droits de l'Homme au Sahara, sans qu'une quelconque mission étrangère s'en occupe.
Mais, il faut le reconnaître, ce résultat est bel et bien le fruit d'une mobilisation personnelle du Souverain.
Sa crédibilité personnelle, son engagement constant en faveur des causes de la paix dans le monde, son implication généreuse et désintéressée dans la recherche de solutions aux problèmes de l'Afrique, et sa détermination à prendre sa part de responsabilité dans la lutte mondiale contre le terrorisme et toutes les formes d'extrémisme, ont fait la différence.
Résultat de cette diplomatie royale de plus en plus tournée vers l'Afrique, la visite, à la veille de la Fête du Trône, du président sénégalais Macky Sall venu en visite de travail au Maroc, du 25 au 27 juillet, sur invitation du Roi.
Pour ceux qui ont le privilège de suivre de très près ces voyages, le dénominateur commun de ceux-ci réside essentiellement dans les rapports personnels qu'entretient le Chef de l'Etat avec ses homologues. Gentillesse, respect partagé, finesse, tact, charisme, générosité sont les qualificatifs qui reviennent fréquemment dans le discours ou les appréciations des observateurs étrangers les plus crédibles.
Tous ces éléments donnent à la diplomatie royale une caractéristique unique.
Aux antipodes des considérations dominantes de la realpolitik, la diplomatie du Roi Mohammed VI se décline à travers des valeurs humaines.
Et ce sont les acquis de cette diplomatie royale qui nous permettent aujourd'hui, de faire notamment face aux crises, politiques ou économiques, et de multiplier les partenariats équilibrés et mutuellement profitables.»
Celle-ci s'est en effet érigée en rempart les intérêts de la Nation, lorsqu'il a fallu barrer la route au projet de contrôle des droits de l'Homme, dans la mission des Nations Unies dans nos provinces du Sud.
Cette manœuvre attentatoire à notre souveraineté nationale a été avortée puisque nos instruments nationaux, perfectibles et transparents sont suffisants, au regard des normes internationales les plus avancées.
Et finalement le Maroc est parvenu à mettre d'accord tout le monde, au Conseil de sécurité des Nations Unies, sur la question des droits de l'Homme au Sahara, sans qu'une quelconque mission étrangère s'en occupe.
Mais, il faut le reconnaître, ce résultat est bel et bien le fruit d'une mobilisation personnelle du Souverain.
Sa crédibilité personnelle, son engagement constant en faveur des causes de la paix dans le monde, son implication généreuse et désintéressée dans la recherche de solutions aux problèmes de l'Afrique, et sa détermination à prendre sa part de responsabilité dans la lutte mondiale contre le terrorisme et toutes les formes d'extrémisme, ont fait la différence.
Mohammed VI et l'Afrique
La
diplomatie royale a également eu l'occasion de s'exprimer lors des deux
principaux voyages royaux de cette année, l'un dans les pays du Golfe en
octobre, et l'autre en Afrique de l'ouest en mars (Sénégal, Gabon et
Côte d'Ivoire).Résultat de cette diplomatie royale de plus en plus tournée vers l'Afrique, la visite, à la veille de la Fête du Trône, du président sénégalais Macky Sall venu en visite de travail au Maroc, du 25 au 27 juillet, sur invitation du Roi.
Pour ceux qui ont le privilège de suivre de très près ces voyages, le dénominateur commun de ceux-ci réside essentiellement dans les rapports personnels qu'entretient le Chef de l'Etat avec ses homologues. Gentillesse, respect partagé, finesse, tact, charisme, générosité sont les qualificatifs qui reviennent fréquemment dans le discours ou les appréciations des observateurs étrangers les plus crédibles.
Tous ces éléments donnent à la diplomatie royale une caractéristique unique.
Aux antipodes des considérations dominantes de la realpolitik, la diplomatie du Roi Mohammed VI se décline à travers des valeurs humaines.
Et ce sont les acquis de cette diplomatie royale qui nous permettent aujourd'hui, de faire notamment face aux crises, politiques ou économiques, et de multiplier les partenariats équilibrés et mutuellement profitables.»
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