Chers amis lecteurs de solidmar,

Solidmar est fatigué ! Trop nourri ! En 8 ans d’existence il s’est goinfré de près de 14 000 articles et n’arrive plus à publier correctement les actualités. RDV sur son jumeau solidmar !

Pages

samedi 11 janvier 2014

Abdelkader Belliraj en grève de la faim

Abdelkader Belliraj rejoint les grévistes islamistes qui sont en grève de la faim dans toutes les prisons de la monarchie. Il entame lui aussi la grève de la faim a durée illimité. en guise de protestation contre le silence honteux des autorités face aux grévistes dans un état comateux après plus de 50 jours de grève de la faim.
 
 
Publié le 26 décembre 2013 à 15h31 | Mis à jour le 26 décembre 2013 à 15h31

Maroc: une ONG alerte sur la situation de détenus islamistes

Des milliers d'islamistes, accusés de «terrorisme», ont été... (Photo archives AP)
Des milliers d'islamistes, accusés de «terrorisme», ont été interpellés à la suite des attentats suicide du 16 mai 2003 à Casablanca (photo), perpétrés par 12 kamikazes, qui avaient fait 33 morts.
Photo archives AP
Agence France-Presse
RABAT
La Ligue marocaine pour la défense des droits de l'Homme a mis en garde jeudi le gouvernement contre une possible «catastrophe humanitaire» dans les prisons du royaume, où une trentaine de détenus islamistes ont entrepris une grève de la faim.
Dans une lettre adressée au chef du gouvernement, l'islamiste Abdelilah Benkirane, l'ONG affirme que «de nombreux prisonniers islamistes ont entrepris une grève de la faim depuis début octobre», mettant en garde contre la détérioration de la santé de ces détenus, qui se trouvent répartis dans sept prisons.
Elle précise que les grévistes réclament de meilleures conditions de détention.
Mercredi, l'Association marocaine des droits de l'Homme (AMDH) avait elle aussi alerté sur la situation de ces détenus, dans un courrier adressé à l'administration pénitentiaire.
Des milliers d'islamistes, accusés de «terrorisme», ont été interpellés à la suite des attentats suicide du 16 mai 2003 à Casablanca, perpétrés par 12 kamikazes, qui avaient fait 33 morts.
Dans le sillage du Printemps arabe en 2011, le roi a décidé de libérer des dizaines d'islamistes, dont quatre responsables salafistes radicaux, mais de nombreux autres demeurent en prison.
En août dernier, plusieurs dizaines de familles de détenus salafistes avaient manifesté à Rabat pour réclamer la libération de leurs proches, protestant de leur innocence.



+

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire