Ils sont scolarisés, mais ne peuvent pas bénéficier de la cantine, de la garderie et du bus de ramassage. La mairie souhaite en effet "vérifier les titres de séjour" des parents.
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La maire de la ville Brigitte Barège (UMP) se défend, en mettant en avant "le manque de moyens et l'absence d'informations. On
a besoin de vérifier les titres de séjour, d’avoir des éclaircissements
de l’Etat sur la situation de tous les parents de ces enfants". De
la trentaine d'enfants évoqués par RESF, la maire ne parle que de 18
enfants et rappelle que la commune s'occupe déjà de 128 enfants de
demandeurs d'asile, ainsi que de 68 enfants de la communauté des gens du
voyage.
En attendant, RESF pourrait ne pas se
contenter de faire appel à la justice pour faire appliquer la loi. Une
action est à l’étude pour le 20 novembre prochain, Journée
internationale des droits de l’enfant.
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