« Shahid wa Shaheed 4 », du peintre Palestinien Zahi Khamis. |
par
"J’ai fait un rêve"
"oui et alors ?"
"rien... d’habitude j’en fais pas"
"et de quoi as-tu rêvé ?"
"j’étais devant une immense porte... si immense, qu’elle montait jusqu’au ciel. Soudain elle s’est ouverte..."
"et puis ?"
"un vent s’est mis à souffler derrière moi me poussant à avancer"
"vers quoi ?"
"l’intérieur d’une nuit noire... comme lorsqu’on ferme les yeux, et pourtant..."
"quoi ?"
"j’avais les yeux ouverts mais je ne voyais rien"
"et le vent soufflait-il toujours ?"
"non... dès les premier pas... il est subitement tombé, plus aucun souffle"
"et la porte ?"
"elle s’est refermée derrière moi... j’ai continué à avancer dans la nuit qui noircissait de plus en plus... je perdais conscience de mon corps"
"comment est-ce possible ?"
"je ne gardais que l’esprit... tout d’un coup, j’ai entendu comme des sirènes, puis des chants, puis des hurlements, puis des cris, puis..."
"puis quoi ?"
"plus rien... de nouveau le silence avec le vent qui avait repris de plus belle... puis de nouveau la même porte... l’immense porte qui monte jusqu’au ciel... elle s’ouvre et le vent me pousse devant..."
"que fais-tu ?"
"j’avance et je me retrouve dehors, en plein jour, inondé d’une lumière blanche, aussi aveuglante que le nuit... autour de moi tout était blanc... soudain, je sens comme la caresse d’une main sur ma chevelure... j’avais retrouvé mon corps... la lumière s’était faiblie... je me retourne et j’aperçois une ombre, puis une autre, puis une autre, puis une autre..."
"et alors ?"
"les ombres se sont mises à prendre corps... nous devenions des dizaines, des centaines, des milliers, des centaines de milliers... des hommes, des femmes, des enfants... nous avancions tous dans la même direction... nous chantions, nous hurlions, nous criions... quand une main a pris la mienne... j’ai alors vu le visage d’une femme qui me souriait... sa main était chaude et ses yeux étaient noirs comme du charbon... j’ai voulu lui parler, lui demander qui elle était... elle me l’interdit en posant son autre main sur la bouche... “Chuuut”, me dit-elle... “avance !” et je me suis réveillé."
"... !?"
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"et de quoi as-tu rêvé ?"
"j’étais devant une immense porte... si immense, qu’elle montait jusqu’au ciel. Soudain elle s’est ouverte..."
"et puis ?"
"un vent s’est mis à souffler derrière moi me poussant à avancer"
"vers quoi ?"
"l’intérieur d’une nuit noire... comme lorsqu’on ferme les yeux, et pourtant..."
"quoi ?"
"j’avais les yeux ouverts mais je ne voyais rien"
"et le vent soufflait-il toujours ?"
"non... dès les premier pas... il est subitement tombé, plus aucun souffle"
"et la porte ?"
"elle s’est refermée derrière moi... j’ai continué à avancer dans la nuit qui noircissait de plus en plus... je perdais conscience de mon corps"
"comment est-ce possible ?"
"je ne gardais que l’esprit... tout d’un coup, j’ai entendu comme des sirènes, puis des chants, puis des hurlements, puis des cris, puis..."
"puis quoi ?"
"plus rien... de nouveau le silence avec le vent qui avait repris de plus belle... puis de nouveau la même porte... l’immense porte qui monte jusqu’au ciel... elle s’ouvre et le vent me pousse devant..."
"que fais-tu ?"
"j’avance et je me retrouve dehors, en plein jour, inondé d’une lumière blanche, aussi aveuglante que le nuit... autour de moi tout était blanc... soudain, je sens comme la caresse d’une main sur ma chevelure... j’avais retrouvé mon corps... la lumière s’était faiblie... je me retourne et j’aperçois une ombre, puis une autre, puis une autre, puis une autre..."
"et alors ?"
"les ombres se sont mises à prendre corps... nous devenions des dizaines, des centaines, des milliers, des centaines de milliers... des hommes, des femmes, des enfants... nous avancions tous dans la même direction... nous chantions, nous hurlions, nous criions... quand une main a pris la mienne... j’ai alors vu le visage d’une femme qui me souriait... sa main était chaude et ses yeux étaient noirs comme du charbon... j’ai voulu lui parler, lui demander qui elle était... elle me l’interdit en posant son autre main sur la bouche... “Chuuut”, me dit-elle... “avance !” et je me suis réveillé."
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Pétition
Non au terrorisme de l’Etat d’Israël
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