Nouvelle tactique de l'Etat?
Pour cacher la vérité: "les blessés" des forces de répression sont admis dans des hôpitaux accessibles à la presse, aux militants des droits humaines... les blessés "civils" ( les victimes de la répression) sont emmenés ailleurs, loin des yeux des "curieux".
Dénonçons cette nouvelle pratique !
Par Ali Fkir, 17/3/2011
Photos prises du quotidien LE SOIR du jeudi 17 mars 2011, quotidien qui n'a rien avoir avec l'opposition
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الصباح
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الأحداث المغربية
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أخبار اليوم
ces gens sont malades, je suis de Khouribga et j'ai vécu les événements le 15 mars 2011.
RépondreSupprimerTout d'abord et contrairement à ce que disent ces rumeurs mensongères ,il n'ya pas un hôpital militaire au cœur de la caserne ''al hiyane''située à 3 km de la ville de Khouribga .Or les blessés on été évacués sur les 2 hôpitaux de la ville , celui de Hassan 2 et de l'Ocp .
le total des blessés n'a pas dépassé 111 dont la majorité relève des Forces de l'ordre et pour éclaircir le fait de démantèlement du campus des jeunes des retraités devant la direction des exploitations minéaires et qui a duré un peu prés 23 jours , dans le but de ne dire que la réalité par ce que on est responsable de la crédibilité de l'information fournie .
la responsabilité du démantèlement du sit-in est partagée entre les manifestants et les forces de l'ordre et la direction de l'ocp, sans rentrer dans les considérations politiques .
Le maintien de l'ordre est demandé, le droit d'expression est permis mais sans violence et sans atteinte à la morale publique
Nous sommes un peuple civilisé , pacifique aime son ROI et sa patrie donc on peut pas juger cet acte comme une instabilité de la paix sociale dans la ville de Khouribga qui est connue depuis sa création par son militantisme contre toute intrigue qui pourrait ternir la réputation de cette ville .
signé: khouribgi 7atta nokha3