Loin
des palaces, loin des caméras des "journalistes" inféodé-es au système
étouffant, ignorées par les moyens audiovisuels du makhen, ignorées par
la presse financée par des forces occultes, ignorées par les pseudo
"intellectuelLEs" , ignorées par les organisations féministes des
bourgeoises... les femmes victimes des violations, victimes de
l'oppression, victimes de la précarité...ont parlé, ont crié, ont scandé
au cours de la rencontre organisée par l'AMDH, sections de Casa, de Bernoussi, de Mohammedia et de Berrechid et ce, le 9 mars 2014 à la bibliothèque municipale de Bernoussi.
Marchande ambulantes, ouvrière , femme au foyer, lycéenne, étudiante, militante pour un logement décent...se sont exprimées dans la salle pleine à craquer. Des larmes de colère, de compassion, ont coulé. Ce sont des citoyennes sans droits de citoyenneté. Ce sont des marocaines qui vivent l'enfer sous le ciel du makhzen.
Ali Fkir
Marchande ambulantes, ouvrière , femme au foyer, lycéenne, étudiante, militante pour un logement décent...se sont exprimées dans la salle pleine à craquer. Des larmes de colère, de compassion, ont coulé. Ce sont des citoyennes sans droits de citoyenneté. Ce sont des marocaines qui vivent l'enfer sous le ciel du makhzen.
Ali Fkir
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