Association
de Défense des Droits de l’Homme au Maroc
ASDHOM 79, rue
des Suisses 92000 Nanterre
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L’ASDHOM
invitée par des parlementaires européen(ne)s pour parler des prisonniers
politiques et d’opinion au Maroc
Le mercredi 17 avril, le président
de l’ASDHOM s’est rendu à Strasbourg sur invitation de la députée européenne
Marie-Christine Vergiat (Gauche Unitaire Européenne GUE) pour donner un
témoignage sur les détenus politiques et d’opinion au Maroc lors d’une
conférence au Parlement européen.
Cette conférence était organisée à
l’initiative de Mme Marie-Christine Vergiat à l’occasion de la journée
internationale du prisonnier politique à travers le
monde.
Rappelons que cette journée fait
référence à celle proposée et instaurée par les Palestiniens pour célébrer la
journée du prisonnier palestinien.
Ont pris part à cette conférence,
présidée par Mme Marie-Christine Vergiat, la députée (Verts) espagnole Ana
Miranda, la députée (Socialistes) portugaise Ana Gomes, la députée allemande
Barbara Lochbihler (présidente de la sous-commission des droits de l’Homme) et
le député (Verts) espagnol Willy Meyer.
Après les interventions des
député(e)s qui ont abordé la question de la détention politique dans le monde
(Palestiniens, Basques, Kurdes, Mapuches, Corses, etc.), la parole était donnée
à Bachir Moutik, représentant du CORELSO qui a parlé des prisonniers politiques
sahraouis et notamment du groupe Gdeim Izik qui vient d’être condamné à des
peines très lourdes par le tribunal militaire de
Rabat.
Quant au président de l’ASDHOM, il
a parlé dans son témoignage du phénomène de la détention arbitraire qui continue
de sévir au Maroc et de la campagne de parrainage des prisonniers politiques. Il
a notamment tiré la sonnette d’alarme sur les grèves de la faim menées dans les
prisons de Taza, Meknès et Fès par les militants de l’Union Nationale des Étudiants du Maroc.
Sensibles à cette intervention et
notamment au danger qui guette la vie des prisonniers politiques qui mènent cette
grève de la faim, Mme Vergiat, ainsi que les député(e)s présent(e)s, ont proposé
une initiative qui consiste en l’interpellation des autorités marocaines sur les
conditions de détention de ces détenus et pour leur sauver la vie. Cette
initiative, en cours de préparation avec l’ASDHOM, prendra probablement une
forme de lettre qui sera proposée à la signature des député(e)s
européen(ne)s.
Pour le bureau
exécutif
Ayad
Ahram
Président de
l’ASDHOM
Paris, le 18 avril 2013
L’ASDHOM invitée par des parlementaires européen(ne)s pour parler des prisonniers politiques et d’opinion au Maroc
Le mercredi 17 avril, le président de l’ASDHOM s’est rendu à Strasbourg sur invitation de la députée européenne Marie-Christine Vergiat (Gauche Unitaire Européenne GUE) pour donner un témoignage sur les détenus politiques et d’opinion au Maroc lors d’une conférence au Parlement européen.
Cette conférence était organisée à l’initiative de Mme Marie-Christine Vergiat à l’occasion de la journée internationale du prisonnier politique à travers le monde.
Rappelons que cette journée fait référence à celle proposée et instaurée par les Palestiniens pour célébrer la journée du prisonnier palestinien.
Ont pris part à cette conférence, présidée par Mme Marie-Christine Vergiat, la députée (Verts) espagnole Ana Miranda, la députée (Socialistes) portugaise Ana Gomes, la députée allemande Barbara Lochbihler (présidente de la sous-commission des droits de l’Homme) et le député (Verts) espagnol Willy Meyer.
Après les interventions des député(e)s qui ont abordé la question de la détention politique dans le monde (Palestiniens, Basques, Kurdes, Mapuches, Corses, etc.), la parole était donnée à Bachir Moutik, représentant du CORELSO qui a parlé des prisonniers politiques sahraouis et notamment du groupe Gdeim Izik qui vient d’être condamné à des peines très lourdes par le tribunal militaire de Rabat.
Quant au président de l’ASDHOM, il a parlé dans son témoignage du phénomène de la détention arbitraire qui continue de sévir au Maroc et de la campagne de parrainage des prisonniers politiques. Il a notamment tiré la sonnette d’alarme sur les grèves de la faim menées dans les prisons de Taza, Meknès et Fès par les militants de l’Union Nationale des Etudiants du Maroc.
Sensibles à cette intervention et notamment au danger qui guète la vie des prisonniers politiques qui mènent cette grève de la faim, Mme Vergiat, ainsi que les député(e)s présent(e)s, ont proposé une initiative qui consiste en l’interpellation des autorités marocaines sur les conditions de détention de ces détenus et pour leur sauver la vie. Cette initiative, en cours de préparation avec l’ASDHOM, prendra probablement une forme de lettre qui sera proposée à la signature des député(e)s européen(ne)s.
Pour le bureau exécutif
Ayad Ahram
Président de l’ASDHOM
Paris, le 18 avril 2013
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Conférence : journée internationale des prisonniers politiques
Le mercredi 17 avril, le président de l’ASDHOM s’est rendu à Strasbourg sur invitation de la députée européenne Marie-Christine Vergiat (Gauche Unitaire Européenne GUE) pour donner un témoignage sur les détenus politiques et d’opinion au Maroc lors d’une conférence au Parlement européen.
Cette conférence était organisée à l’initiative de Mme Marie-Christine Vergiat à l’occasion de la journée internationale du prisonnier politique à travers le monde.
Rappelons que cette journée fait référence à celle proposée et instaurée par les Palestiniens pour célébrer la journée du prisonnier palestinien.
Ont pris part à cette conférence, présidée par Mme Marie-Christine Vergiat, la députée (Verts) espagnole Ana Miranda, la députée (Socialistes) portugaise Ana Gomes, la députée allemande Barbara Lochbihler (présidente de la sous-commission des droits de l’Homme) et le député (Verts) espagnol Willy Meyer.
Après les interventions des député(e)s qui ont abordé la question de la détention politique dans le monde (Palestiniens, Basques, Kurdes, Mapuches, Corses, etc.), la parole était donnée à Bachir Moutik, représentant du CORELSO qui a parlé des prisonniers politiques sahraouis et notamment du groupe Gdeim Izik qui vient d’être condamné à des peines très lourdes par le tribunal militaire de Rabat.
Quant au président de l’ASDHOM, il a parlé dans son témoignage du phénomène de la détention arbitraire qui continue de sévir au Maroc et de la campagne de parrainage des prisonniers politiques. Il a notamment tiré la sonnette d’alarme sur les grèves de la faim menées dans les prisons de Taza, Meknès et Fès par les militants de l’Union Nationale des Etudiants du Maroc.
Sensibles à cette intervention et notamment au danger qui guète la vie des prisonniers politiques qui mènent cette grève de la faim, Mme Vergiat, ainsi que les député(e)s présent(e)s, ont proposé une initiative qui consiste en l’interpellation des autorités marocaines sur les conditions de détention de ces détenus et pour leur sauver la vie. Cette initiative, en cours de préparation avec l’ASDHOM, prendra probablement une forme de lettre qui sera proposée à la signature des député(e)s européen(ne)s.
Pour le bureau exécutif
Ayad Ahram
Président de l’ASDHOM
Paris, le 18 avril 2013
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