Association
Protection
Populaire
pour le
Développement
Social
Déclaration
Jeudi prochain, le 6 décembre
2012 à 9h, les coordinateurs de notre
mouvement : Amina
Mourad et Benasser Ismaini, se
présenteront pour la 9ème fois devant les juges sans que le dossier des
victimes des micro-crédits ne soit encore ouvert.
Malgré le débat soulevé au
Parlement et par les ministres du présent gouvernement, l’Etat continue à faire
la sourde oreille car le dossier des victimes des microcrédits dévoile une l’affaire
d’irrégularités et de violations de la loi. C’est pourquoi nous déclarons pour
l’opinion publique nationale et internationale :
·
Notre condamnation de :
-
ce simulacre de
procès contre nos coordinateurs Amina Mourad et Benasser Ismaini
-
la non ouverture
d’une enquête sur ce dossier malgré nos nombreuses réclamations.
-
La complicité de
autorités avec les associations des microcrédits
·
Notre demande à :
-
ouvrir une
enquête nationale sur ce dossier
-
ouvrir une
enquête sur ce simulacre de procès contre nos militants
- les
réparations morales et matérielles aux victimes des violations des micro-
crédits.
Nous appelons tous les acteurs de la société civile
nationale et internationale à soutenir notre lutte pour combattre la corruption
et tous ceux qui l’appuient.
Cette vidéo concerne la question du micro-
crédit et les certains effets pervers de l'octroi des micro- crédits sur les
populations locales dans la région de Ouarzazate.Témoignent dans ce reportage
Amina Morad et Imaini Benasser au nom de nombreuses victimes dans leur
région.Ils font l' objet d' un procès plusieurs fois reporté et actuellement
prévu pour le 6 décembre 2012.
L'envoie d'un-e observateur-e, de journaliste sur place au Maroc pour prendre connaissanc et assister au déroulement du procès serait important dans le contexte de luttes et pour briser l'isolement médiatiques des luttes au Maroc.
L'envoie d'un-e observateur-e, de journaliste sur place au Maroc pour prendre connaissanc et assister au déroulement du procès serait important dans le contexte de luttes et pour briser l'isolement médiatiques des luttes au Maroc.
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