14/1/2014.
Le pays qui a allumé la mèche des révoltes arabes est celui où la
désillusion est la moins forte, trois ans plus tard. Si la situation
économique s’est dégradée, le régime policier et accapareur est tombé.
La Constitution promise a certes tardé à voir le jour. Mais, cette fois,
le texte est presque achevé.
Entre 1956 et 1959, sous l’œil vigilant
de Habib Bourguiba – qui présida la Tunisie de l’indépendance du pays au
coup d’Etat de Ben Ali –, il avait déjà fallu trois ans pour que soit
adoptée la loi fondamentale. La liberté de conscience fut alors
reconnue, la charia ne constitua pas une source du droit. Après bien des
débats, ces conquêtes démocratiques seront confirmées dans la prochaine
Constitution tunisienne.
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