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http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/liberation-prisonniers-opinion-sahraouis-520.htmlhttp://www.cyberacteurs.org/cyberactions/liberation-prisonniers-opinion-sahraouis-520.html
En coordination avec la pétition internationale et par l'intermédiaire de l'ambassadeur du Maroc en France : en conformité avec la loi marocaine, nous exigeons que les prisonniers sahraouis de conscience du groupe Gdeim Izik soient libérés immédiatement s'ils ne bénéficient pas d'un procès équitable et transparent.
Le Sahara Occidental est illégalement occupé par le Maroc depuis 1975, quand la 'marche verte', forte de 300.000 civils marocains a pénétré dans le territoire, suivi par l'armée marocaine qui a bombardé au napalm et phosphore blanc. Depuis lors, la moitié de la population sahraouie a vécu dans des camps de réfugiés dans le désert algérien alors que le reste vit dans sa patrie sous l'occupation brutale du Maroc. Le territoire occupé du Sahara occidental est clôturé par le plus grand mur militaire actif qui existe dans le monde.
Les Sahraouis attendent le référendum d'autodétermination promis en 1991 par l'ONU, dont la mise en œuvre est bloquée par le régime marocain. La seule réponse aux manifestations pacifiques est la répression où la détention sans jugement équitable. Les prisonniers sont régulièrement soumis à la torture, y compris la violence sexuelle, brûlures de cigarettes, électrocutions, les coups et les attaques de chiens. Le 24 Septembre 2012, le Rapporteur spécial de l'ONU sur la torture, Juan Méndez, a indiqué le nombre très important de cas qui lui étaient présentés au cours de sa visite au Sahara Occidental, et les preuves crédibles de la torture dans les prisons et centres de détention du territoire. Il a également fait remarquer que "la torture a tendance à être beaucoup plus cruelle, dure et systématique» dans les cas d'atteinte à la «sécurité nationale» (la revendication sahraouie en faveur de l'autodétermination est ainsi interprétée par le pouvoir marocain alors qu'il "négocie" avec le Front Polisario sur ces mêmes questions).
Le camp de Gdeim Izik a été mis en place par des milliers de Sahraouis en 2010 à la périphérie de la ville capitale du Sahara Occidental, El Aaiún. Les habitants du camp ont appelé à une amélioration de leurs conditions de vie et ont exigé leur droit à un référendum sur l'indépendance sous l'égide de l'ONU promis depuis longtemps. Les autorités marocaines ont détruit le camp, provoquant de graves dommages et de nombreuses arrestations accompagnées de traitements cruels.
En dépit des rapports sur les violations des droits de l'homme au Sahara occidental, la MINURSO, la Mission des Nations Unies dans la région, est la seule des missions de paix dans le monde à ne pas comprendre dans son mandat la surveillance des droits de l'homme.
Mireille Brun Association Amis de la République Arabe Sahraouie Démocratique
Alain Uguen Association Cyber@cteurs
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En coordination avec la pétition internationale et par l'intermédiaire de l'ambassadeur du Maroc en France : en conformité avec la loi marocaine, nous exigeons que les prisonniers sahraouis de conscience du groupe Gdeim Izik soient libérés immédiatement s'ils ne bénéficient pas d'un procès équitable et transparent.
Le Sahara Occidental est illégalement occupé par le Maroc depuis 1975, quand la 'marche verte', forte de 300.000 civils marocains a pénétré dans le territoire, suivi par l'armée marocaine qui a bombardé au napalm et phosphore blanc. Depuis lors, la moitié de la population sahraouie a vécu dans des camps de réfugiés dans le désert algérien alors que le reste vit dans sa patrie sous l'occupation brutale du Maroc. Le territoire occupé du Sahara occidental est clôturé par le plus grand mur militaire actif qui existe dans le monde.
Les Sahraouis attendent le référendum d'autodétermination promis en 1991 par l'ONU, dont la mise en œuvre est bloquée par le régime marocain. La seule réponse aux manifestations pacifiques est la répression où la détention sans jugement équitable. Les prisonniers sont régulièrement soumis à la torture, y compris la violence sexuelle, brûlures de cigarettes, électrocutions, les coups et les attaques de chiens. Le 24 Septembre 2012, le Rapporteur spécial de l'ONU sur la torture, Juan Méndez, a indiqué le nombre très important de cas qui lui étaient présentés au cours de sa visite au Sahara Occidental, et les preuves crédibles de la torture dans les prisons et centres de détention du territoire. Il a également fait remarquer que "la torture a tendance à être beaucoup plus cruelle, dure et systématique» dans les cas d'atteinte à la «sécurité nationale» (la revendication sahraouie en faveur de l'autodétermination est ainsi interprétée par le pouvoir marocain alors qu'il "négocie" avec le Front Polisario sur ces mêmes questions).
Le camp de Gdeim Izik a été mis en place par des milliers de Sahraouis en 2010 à la périphérie de la ville capitale du Sahara Occidental, El Aaiún. Les habitants du camp ont appelé à une amélioration de leurs conditions de vie et ont exigé leur droit à un référendum sur l'indépendance sous l'égide de l'ONU promis depuis longtemps. Les autorités marocaines ont détruit le camp, provoquant de graves dommages et de nombreuses arrestations accompagnées de traitements cruels.
En dépit des rapports sur les violations des droits de l'homme au Sahara occidental, la MINURSO, la Mission des Nations Unies dans la région, est la seule des missions de paix dans le monde à ne pas comprendre dans son mandat la surveillance des droits de l'homme.
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