Julien Jeffredo, 31/1/2015
Dans les rangs de Podemos, on veut croire qu’une victoire semblable à celle de l’allié grec est possible. Il faut dire que comme en Grèce le terrain est favorable à un parti anti-libéral. Les deux pays sont les plus durement touchés par la crise en Europe avec un taux de chômage qui flirte avec les 25 % et une exaspération face aux exigences financières de la Troïka.
Comme Syriza en Grèce et contrairement à la plupart des partis d’extrême gauche en Europe, Podemos ne veut pas simplement peser sur le débat mais bien gouverner.
Mais pour être optimiste sur son avenir, Podemos n’a pas besoin de regarder à l’autre bout de la méditerranée, il lui suffit de regarder en arrière. En effet, en un an à peine, le parti a déjà remporté 1 200 000 voix lors des élections européennes de mai dernier. Les derniers sondages n’ont fait que confirmer cette tendance, faisant de Podemos un des premiers partis du pays.
Après les urnes et les sondages, c’est donc à présent dans la rue que Podemos veut montrer sa force.
Julien JeffredoEspagne: manifestation Podemos*
http://www.politis.fr/Madrid-le-pari-reussi-de-Podemos,29898.htmlhttp://www.politis.fr/Madrid-le-pari-reussi-de-Podemos,29898.html
http://www.rtbf.be/info/monde/detail_espagne-des-milliers-de-partisans-de-podemos-dans-les-rues-de-madrid?id=8885451http://www.rtbf.be/info/monde/detail_espagne-des-milliers-de-partisans-de-podemos-dans-les-rues-de-madrid?id=8885451
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire