Le
jour suivant...
Un jour après la résolution du Conseil sécurité de l'ONU sur la question du Sahara occidental, les forces de répression marocaines, dans une tentative de provocation, sont intervenues avec violence contre les manifestants sahraouis dans l'Avenue de Smara à El Aaiun.
Les correspondants de l'équipe Media ont dénoncé les violences qu'ont subi de nombreux manifestants y compris des personnes âgées, des femmes et des jeunes enfants immédiatement après avoir scandé des slogans demandant la liberté du peuple sahraoui et la libération de tous les prisonniers politiques sahraouis. Les rues menant à l'Avenue de Smara sont bloquées par la police chassant les manifestants.
Sahara occidental occupé équipe médias territoires (Traduit par Bing)
Un jour après la résolution du Conseil sécurité de l'ONU sur la question du Sahara occidental, les forces de répression marocaines, dans une tentative de provocation, sont intervenues avec violence contre les manifestants sahraouis dans l'Avenue de Smara à El Aaiun.
Les correspondants de l'équipe Media ont dénoncé les violences qu'ont subi de nombreux manifestants y compris des personnes âgées, des femmes et des jeunes enfants immédiatement après avoir scandé des slogans demandant la liberté du peuple sahraoui et la libération de tous les prisonniers politiques sahraouis. Les rues menant à l'Avenue de Smara sont bloquées par la police chassant les manifestants.
Sahara occidental occupé équipe médias territoires (Traduit par Bing)
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Que sont les promesses de respect des ddH devenues ?
Sahara occidental: manifs dispersées
La police marocaine a dispersé par la force deux rassemblements pro-indépendance au Sahara occidental
ces dernières 48 heures, en marge de la visite d'une délégation de
l'ONU, ont affirmé aujourd'hui des ONG locales. D'après ces ONG, une
quinzaine de personnes ont été blessées, un bilan qui n'a toutefois pu
être vérifié de source officielle.
A Dakhla, dans le sud de l'ancienne colonie espagnole, plusieurs dizaines de militants ont tenté de se rassembler en brandissant des drapeaux indépendantistes, parallèlement à la visite de membres du Haut commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme, a déclaré un responsable associatif, Elmami Amar Salem. "La police marocaine les a dispersés par la force, et il y a eu trois blessés", a-t-il ajouté. Egalement interrogé, le représentant local du Conseil national des droits de l'Homme (CNDH, officiel), Mohamed Amine Semlali, s'est contenté d'appeler au "respect de toutes les opinions, qu'elles soient unionistes ou indépendantistes, dans le respect de la loi".
Jeudi, quelques dizaines de personnes avaient également voulu participer à un rassemblement à Laâyoune, la principale ville du Sahara occidental, mais la police est là aussi "intervenue pour les disperser", selon Hamoud Iguilid, le représentant de l'Association marocaine des droits humains (AMDH, indépendante). "Douze personnes, dont les blessures étaient variables, ont été transportées à l'hôpital", a-t-il avancé, joint par téléphone.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté mardi une résolution qui appelle à améliorer les droits de l'Homme dans la région mais n'instaure pas de mécanisme de contrôle. Contrairement à l'an dernier, il n'y a pas eu de bras de fer diplomatique entre Rabat et Washington autour d'un élargissement du mandat de la Minurso, la mission de l'ONU qui, depuis 1991, est principalement chargée de surveiller le cessez-le-feu. Le roi Mohammed VI a toutefois dû intervenir à l'approche du vote auprès du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, pour mettre en garde contre des "options périlleuses".
Le Sahara occidental est contrôlé par le Maroc depuis le départ du colonisateur espagnol dans les années 1970. Rabat propose un plan d'autonomie sous sa souveraineté pour ce vaste territoire de moins d'un million d'habitants mais le Front Polisario, soutenu par Alger, réclame un référendum d'autodétermination. La médiation de l'ONU est dans l'impasse.
A Dakhla, dans le sud de l'ancienne colonie espagnole, plusieurs dizaines de militants ont tenté de se rassembler en brandissant des drapeaux indépendantistes, parallèlement à la visite de membres du Haut commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme, a déclaré un responsable associatif, Elmami Amar Salem. "La police marocaine les a dispersés par la force, et il y a eu trois blessés", a-t-il ajouté. Egalement interrogé, le représentant local du Conseil national des droits de l'Homme (CNDH, officiel), Mohamed Amine Semlali, s'est contenté d'appeler au "respect de toutes les opinions, qu'elles soient unionistes ou indépendantistes, dans le respect de la loi".
Jeudi, quelques dizaines de personnes avaient également voulu participer à un rassemblement à Laâyoune, la principale ville du Sahara occidental, mais la police est là aussi "intervenue pour les disperser", selon Hamoud Iguilid, le représentant de l'Association marocaine des droits humains (AMDH, indépendante). "Douze personnes, dont les blessures étaient variables, ont été transportées à l'hôpital", a-t-il avancé, joint par téléphone.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté mardi une résolution qui appelle à améliorer les droits de l'Homme dans la région mais n'instaure pas de mécanisme de contrôle. Contrairement à l'an dernier, il n'y a pas eu de bras de fer diplomatique entre Rabat et Washington autour d'un élargissement du mandat de la Minurso, la mission de l'ONU qui, depuis 1991, est principalement chargée de surveiller le cessez-le-feu. Le roi Mohammed VI a toutefois dû intervenir à l'approche du vote auprès du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, pour mettre en garde contre des "options périlleuses".
Le Sahara occidental est contrôlé par le Maroc depuis le départ du colonisateur espagnol dans les années 1970. Rabat propose un plan d'autonomie sous sa souveraineté pour ce vaste territoire de moins d'un million d'habitants mais le Front Polisario, soutenu par Alger, réclame un référendum d'autodétermination. La médiation de l'ONU est dans l'impasse.
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