Chers amis lecteurs de solidmar,

Solidmar est fatigué ! Trop nourri ! En 8 ans d’existence il s’est goinfré de près de 14 000 articles et n’arrive plus à publier correctement les actualités. RDV sur son jumeau solidmar !

Pages

dimanche 18 novembre 2012

Rappel : Campagne nationale et internationale pour la libération des prisonniers politiques au Maroc

Rien à négocier avec la monarchie marocaine, féodale, autoritariste et inculte, dont le chef est un prédateur qui emprisonne quiconque aspire à la liberté, à la justice, à la dignité, à la paix et à la prospérité....


Campagne internationale pour la libération des prisonniers politiques au Maroc

Introduction
Comme les autres pays de la région du Maghreb-Machrek, le Maroc a connu tout au long de l’année de 2011 l’émergence d’un mouvement de revendication politique exigeant la démocratie, la dignité et la justice sociale. Le Mouvement du 20 février (M20F), expression marocaine du «printemps des peuples» subit depuis ses débuts une répression du régime en place. Ses militants font l’objet de poursuites et de procès à la chaîne. Ils paient le prix de leurs engagements politiques en faveur du changement au Maroc. Ce document fait parti de la campagne nationale et internationale visant la libération de ces prisonniers politiques. 

Contexte politique
Officiellement, le Maroc vit sous un régime de «monarchie constitutionnelle, démocratique, parlementaire et sociale». Dans la pratique le régime marocain est une monarchie autoritaire avec des traits répressifs qui n’ont rien à envier aux régimes arabes déchus en 2011. Avec le soutien indéfectible des pays de l’Union européenne, la France en tête et des États-Unis, qui explique sans doute en partie le silence et la déformation médiatiques sur ce qui se passe au Maroc, le vernis «démocratique» du régime dissimule des atteintes systématiques et répétées aux droits humains et une politique scandaleuse de soutien au pillage des richesses par quelques-uns au mépris de la situation économique et sociale totalement délabrée de la majorité des marocains. Cette situation dramatique pour le peuple marocain est le prolongement des pratiques en vigueur pendant le règne de Hassan II, avec quelques variantes.
Les jeunes du M20F tentent depuis le 20 février 2011 de rééquilibrer les rapports de force entre le régime et le peuple. Après plus d’une année de lutte, le rêve d’un Maroc de liberté, de dignité et de justice sociale est en train de virer au cauchemar. La répression étouffe un possible «printemps marocain». Cette vague d’arrestations et d’interdictions profite d’un certain essoufflement du M20F, qui reste cependant toujours mobilisé, après plus de 18 mois de lutte continue, et que les manifestations et les revendications de multiples secteurs sociaux continuent de s’exprimer avec force. Cette persistance des mobilisations de rue inquiète évidemment en haut lieu et cela explique en bonne partie cette nouvelle vague de répression. 

Relire le texte complet sur :

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire