Je
me nomme Belliraj Abdelkader et je vous parle de la prison de Salé en
date du 02 octobre 2010. Je souhaite saisir cette opportunité pour
vous remercier de m’avoir offert la possibilité de témoigner tout mon
soutien et ma solidarité avec M. Aarrass dans son épreuve, afin que mon
témoignage en sa faveur puisse contribuer à ce que justice soit rendue
et soient démasqués de même ces chasseurs de primes des temps modernes
et ces « dealers » d’informations périmées.
Le dossier Aarrass Ali est une conspiration trilogique, œuvre d’une tripartite de mauvaise foi, soumise aux fantasmes d’un américanisme constamment à la recherche d’un ennemi extérieur dont l’objectif est d’étaler son hégémonie planétaire et ses visées stratégiques que nul n’ignore.
Le rôle de cette tripartite est réparti comme suit :
1) Les autorités marocaines :
L’affaire Aarrass tout comme l’affaire Belliraj s’inscrit sous l’égide du règlement de compte qui vise à réduire au silence toute forme d’opposition à l’ordre établi, même s’il fait partie du passé. Ceci est orchestré par une milice hors-la-loi dénommée « services de sécurité » qui use de la torture et de la sous-traitance de la torture, comme moyen unique de soutirer des informations, en opposition totale avec la législation de ce pays. Ce qui traduit en clair que dans ce pays il n’y a ni loi ni droit.
Le contexte international offre une plateforme favorable à de pareils États pour exécuter pareilles pratiques barbares qui sont passées sous silence par les démocraties occidentales, elles-mêmes affectées par un évident recul des libertés publiques et une extension progressive des pouvoirs policiers.
Ceci signifie que l’extradition de monsieur Aarass le mènera directement à la torture et que les tortionnaires brandiront en fin de compte la preuve de son inculpation après avoir obtenu ce qu’ils ont voulu entendre par le biais de ces pratiques barbares même s’il n’y a aucun élément à charge contre monsieur Aarrass.
Le Maroc n’est pas un état démocratique, c’est une « phobiocracie », une sorte de dictature soft et rigide à la fois, où le citoyen est soumis et non gouverné, ce qui rend les requêtes émises par les autorités marocaines vers d’autres pays dits démocratiques ni fondées ni légales, surtout que ces pays vers lesquels ces requêtes sont émises ne font aucun effort pour vérifier et s’assurer du bien-fondé et de la légalité des procédures.
Ceci jette un discrédit moral et juridique à la fois sur pareilles requêtes, car le suspect concerné dans pareille situation fait office de simple monnaie d’échange au service d’intérêts bilatéraux aussi vils soient ils.
2) Les autorités espagnoles
Celles ci paraissent toujours affectées par le syndrome de Madrid , ce qui se traduit en pratique par le fait de considérer tout marocain ou musulman comme un suspect , un ennemi effectif et un danger potentiel. Cet amalgame favorise la sévérité dans le traitement de chacun et se couronne par l’arbitraire au niveau des moyens et des fins, le cas Aarrass étant une preuve évidente. En dépit des relations diplomatiques difficiles entre le Maroc et l’Espagne, la collaboration policière reste fructueuse, chacun de son coté faisant de chaque détenu un moyen de pression sur l’autre dans un jeu crapuleux dénué de toute légalité et de tout humanisme.
Dans l’affaire Aarrass, les autorités espagnoles n’ont pas jugé utile de vérifier le bien-fondé de la requête marocaine, et n’ont délégué aucune soumission pour ceci, ce qui fait de ces autorités espagnoles un partenaire de mauvaise foi, impliqué dans la mise à mal des droits de l’homme et de la propagation de l’injustice en dépit du fait que monsieur Arrassi Ali soit un citoyen Espagnol.
3) Les autorités Belges
Aarrass Ali étant aussi un citoyen belge, les autorités belges n’ont jamais jugé utile de vérifier le bien-fondé de toute requête émise par les autorités marocaines à l’encontre d’un citoyen belge, mon cas étant la preuve. Pire : elles se sont trouvées impliquées jusqu’au cou, en livrant sur un plateau aux autorités marocaines le citoyen algérien dénommé Benrabeh Benattou , qui fut obligé sous l’emprise de la torture de témoigner contre monsieur Aarrass et moi-même selon les vœux de ses tortionnaires. Vis a vis de cette acte odieux, les autorités Belges ont transgressé plusieurs principes fondamentaux du droit rendant par là-même cette extradition illégale :
a)Benattou est citoyen algérien en infraction à la loi de l’immigration, il ne peut être expulsé que vers son pays d’origine.
b)Son extradition vers le Maroc est contraire aux accords bilatéraux qui interdisent l’extradition de toute personne dans une affaire politique. L’affaire Belliraj et le cas Aarrass sont des affaires politiques car la justice belge elle-même a refusé d’extrader vers le Maroc les personnes citées dans l’affaire Belliraj, arguant qu’il s’agissait d’une affaire politique, les accords bilatéraux ne couvrant pas ce volet de l’affaire.
c)Benattou se présentait de manière hebdomadaire au contrôle policier et était parfaitement connu des services belges concernés. Alors pourquoi les autorités belges ont-elles agit de la sorte et se sont trouvées au service d’une justice marocaine corrompue, qui n’est qu’un instrument au service du régime dans son entreprise de régler des comptes avec ses opposants. Cette conspiration des autorités belges nécessite des poursuites judiciaires et discrédite totalement le judiciaire et le policier dans ce pays dit démocratique.
d)Croire un instant que les services policiers marocains puissent se substituer aux services belges concernés et qu’ils peuvent déceler ce que les belges ne peuvent faire sur leur territoire relève d’un poisson d’Avril, et c’est prendre le père Noël pour une réalité.
e)Monsieur Aarrass a toujours vécu en Belgique, sa conduite était toujours irréprochable, et la police belge est bien au courant de tout se qui se passe sur son territoire, ce qui est aussi valable dans mon cas. Nous n’avons pratiquement rien à voir avec le Maroc, nous avons toujours vécu en Belgique dont nous portant la nationalité.
Je suis disposé à témoigner devant toute commission judiciaire ou autre afin de faire éclater toute la vérité autour d’un homme irréprochable, et faire taire cette mascarade orchestrée par ces chasseurs de scalps qui trouvent malheureusement des point d’appuis au sein des autorités de pays dits démocratiques.
Pour ceci faites entendre notre voix. Merci
et ces « dealers » d’informations périmées.
Le dossier Aarrass Ali est une conspiration trilogique, œuvre d’une tripartite de mauvaise foi, soumise aux fantasmes d’un américanisme constamment à la recherche d’un ennemi extérieur dont l’objectif est d’étaler son hégémonie planétaire et ses visées stratégiques que nul n’ignore.
Le rôle de cette tripartite est réparti comme suit :
1) Les autorités marocaines :
L’affaire Aarrass tout comme l’affaire Belliraj s’inscrit sous l’égide du règlement de compte qui vise à réduire au silence toute forme d’opposition à l’ordre établi, même s’il fait partie du passé. Ceci est orchestré par une milice hors-la-loi dénommée « services de sécurité » qui use de la torture et de la sous-traitance de la torture, comme moyen unique de soutirer des informations, en opposition totale avec la législation de ce pays. Ce qui traduit en clair que dans ce pays il n’y a ni loi ni droit.
Le contexte international offre une plateforme favorable à de pareils États pour exécuter pareilles pratiques barbares qui sont passées sous silence par les démocraties occidentales, elles-mêmes affectées par un évident recul des libertés publiques et une extension progressive des pouvoirs policiers.
Ceci signifie que l’extradition de monsieur Aarass le mènera directement à la torture et que les tortionnaires brandiront en fin de compte la preuve de son inculpation après avoir obtenu ce qu’ils ont voulu entendre par le biais de ces pratiques barbares même s’il n’y a aucun élément à charge contre monsieur Aarrass.
Le Maroc n’est pas un état démocratique, c’est une « phobiocracie », une sorte de dictature soft et rigide à la fois, où le citoyen est soumis et non gouverné, ce qui rend les requêtes émises par les autorités marocaines vers d’autres pays dits démocratiques ni fondées ni légales, surtout que ces pays vers lesquels ces requêtes sont émises ne font aucun effort pour vérifier et s’assurer du bien-fondé et de la légalité des procédures.
Ceci jette un discrédit moral et juridique à la fois sur pareilles requêtes, car le suspect concerné dans pareille situation fait office de simple monnaie d’échange au service d’intérêts bilatéraux aussi vils soient ils.
2) Les autorités espagnoles
Celles ci paraissent toujours affectées par le syndrome de Madrid , ce qui se traduit en pratique par le fait de considérer tout marocain ou musulman comme un suspect , un ennemi effectif et un danger potentiel. Cet amalgame favorise la sévérité dans le traitement de chacun et se couronne par l’arbitraire au niveau des moyens et des fins, le cas Aarrass étant une preuve évidente. En dépit des relations diplomatiques difficiles entre le Maroc et l’Espagne, la collaboration policière reste fructueuse, chacun de son coté faisant de chaque détenu un moyen de pression sur l’autre dans un jeu crapuleux dénué de toute légalité et de tout humanisme.
Dans l’affaire Aarrass, les autorités espagnoles n’ont pas jugé utile de vérifier le bien-fondé de la requête marocaine, et n’ont délégué aucune soumission pour ceci, ce qui fait de ces autorités espagnoles un partenaire de mauvaise foi, impliqué dans la mise à mal des droits de l’homme et de la propagation de l’injustice en dépit du fait que monsieur Arrassi Ali soit un citoyen Espagnol.
3) Les autorités Belges
Aarrass Ali étant aussi un citoyen belge, les autorités belges n’ont jamais jugé utile de vérifier le bien-fondé de toute requête émise par les autorités marocaines à l’encontre d’un citoyen belge, mon cas étant la preuve. Pire : elles se sont trouvées impliquées jusqu’au cou, en livrant sur un plateau aux autorités marocaines le citoyen algérien dénommé Benrabeh Benattou , qui fut obligé sous l’emprise de la torture de témoigner contre monsieur Aarrass et moi-même selon les vœux de ses tortionnaires. Vis a vis de cette acte odieux, les autorités Belges ont transgressé plusieurs principes fondamentaux du droit rendant par là-même cette extradition illégale :
a)Benattou est citoyen algérien en infraction à la loi de l’immigration, il ne peut être expulsé que vers son pays d’origine.
b)Son extradition vers le Maroc est contraire aux accords bilatéraux qui interdisent l’extradition de toute personne dans une affaire politique. L’affaire Belliraj et le cas Aarrass sont des affaires politiques car la justice belge elle-même a refusé d’extrader vers le Maroc les personnes citées dans l’affaire Belliraj, arguant qu’il s’agissait d’une affaire politique, les accords bilatéraux ne couvrant pas ce volet de l’affaire.
c)Benattou se présentait de manière hebdomadaire au contrôle policier et était parfaitement connu des services belges concernés. Alors pourquoi les autorités belges ont-elles agit de la sorte et se sont trouvées au service d’une justice marocaine corrompue, qui n’est qu’un instrument au service du régime dans son entreprise de régler des comptes avec ses opposants. Cette conspiration des autorités belges nécessite des poursuites judiciaires et discrédite totalement le judiciaire et le policier dans ce pays dit démocratique.
d)Croire un instant que les services policiers marocains puissent se substituer aux services belges concernés et qu’ils peuvent déceler ce que les belges ne peuvent faire sur leur territoire relève d’un poisson d’Avril, et c’est prendre le père Noël pour une réalité.
e)Monsieur Aarrass a toujours vécu en Belgique, sa conduite était toujours irréprochable, et la police belge est bien au courant de tout se qui se passe sur son territoire, ce qui est aussi valable dans mon cas. Nous n’avons pratiquement rien à voir avec le Maroc, nous avons toujours vécu en Belgique dont nous portant la nationalité.
Je suis disposé à témoigner devant toute commission judiciaire ou autre afin de faire éclater toute la vérité autour d’un homme irréprochable, et faire taire cette mascarade orchestrée par ces chasseurs de scalps qui trouvent malheureusement des point d’appuis au sein des autorités de pays dits démocratiques.
Pour ceci faites entendre notre voix. Merci
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