Plan de paix, 14/3/2015
C’est devenu une habitude. A chaque fois que l’échéance d’avril approche, c’est la panique à bord du bateau du Makhzen.
Les vagues de la réunion du Conseil de Sécurité sur le Sahara Occidental font peur à Rabat. Le Roi du Maroc et ses acolytes s’énervent et commencent à s’agiter pour assoupir les dégâts de la résolution du Conseil de Sécurité.
C’est devenu une habitude. A chaque fois que l’échéance d’avril approche, c’est la panique à bord du bateau du Makhzen.
Les vagues de la réunion du Conseil de Sécurité sur le Sahara Occidental font peur à Rabat. Le Roi du Maroc et ses acolytes s’énervent et commencent à s’agiter pour assoupir les dégâts de la résolution du Conseil de Sécurité.
Cette année, ce qui fait trembler les locataires du palais royal c’est
le mandat de la MINURSO. Le Maroc n’a pas écouté les recommandations de
la communauté internationale concernant le respect des droits de l’homme
et il risque de payer son insolence. Le Secrétaire Général, dans son
rapport d’avril 2014 l’avait clairement signalé. Il est impératif de
créer un mécanisme pour le monitoring de la question des droits de
l’homme au Sahara Occidental.
Pour les autorités marocaines, le risque majeur du rendez-vous d’avril
est l’éventuel décision de l’ONU de charger la MINURSO de surveiller les
droits de l’homme.
Ban Ki-moon a déjà commencé à rédiger son rapport destiné au Conseil de
Sécurité. Les marocains commencent à délirer. Ils multiplient les
déclarations sur la reconnaissance des associations sahraouies des
droits de l’homme dans les territoires occupés. C’est un indice de
l’état d’esprit qui règne au palais de Mohammed VI.
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