Conflit du Sahara Occidental
Par Rabah Beldjenna, El Watan, 16/12/2014
Mohamed Abdelaziz, président de la RASD.
Samedi, à l’ouverture des travaux de la 5e Conférence internationale
d’Alger à laquelle ont pris part 360 participants, représentant 49 pays,
le président de la RASD a dénoncé «un soutien injuste et injustifiable»
apporté au Maroc par certains pays, dont la France.
La France, désignée en tant que principale responsable du blocage de la
résolution du conflit sahraoui, a été une nouvelle fois exhortée à
recadrer et changer sa position pour permettre au peuple sahraoui de
réaliser son autodétermination. Le soutien, sans faille, de ce pays aux
thèses marocaines, quant à l’avenir du Sahara occidental, a révolté hier
les participants à la 5e Conférence internationale d’Alger sur «Les
droits des peuples à la résistance», qui ont, tout en condamnant la
position «partiale» de Paris, exhorté François Hollande à «positionner
la France, dans ce conflit, dans le strict respect du droit
international».
Les participants à cette conférence ont notamment demandé au président français d’inscrire sur son registre «une trajectoire politique digne de la France, conforme à ses repères et ses combats historiques pour la liberté et les droits de l’homme, en rendant justice au peuple sahraoui». Ils lui ont demandé, dans ce cadre, de faciliter l’élargissement du mandat de la Minurso à la protection des droits de l’homme.
Samedi, à l’ouverture des travaux de cette manifestation à laquelle ont pris part 360 participants, représentant 49 pays, le président de la RASD a dénoncé « un soutien injuste et injustifiable» apporté au Maroc par certains pays, dont la France, encourageant les autorités marocaines dans leurs dérives et leur entêtement criminels.
Tout en réaffirmant la légitimité du combat des Sahraouis, les participants à la conférence d’Alger ont exhorté les Nations unies à honorer sa doctrine en matière de décolonisation par l’application «immédiate» de ses propres résolutions sur le Sahara occidental, à travers l’organisation d’un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui. Tout en exigeant par ailleurs la libération «immédiate» de tous les prisonniers politiques sahraouis, les participants à cette rencontre ont dénoncé les violations des droits de l’homme commises par le Maroc dans les territoires occupés du Sahara occidental, ainsi que le «pillage systématique» par le Maroc des ressources naturelles du Sahara occidental.
Un appel a été également lancé à l’adresse de l’ONU et aux différentes agences spécialisées afin d’apporter une aide humanitaire «suffisante» et «multiforme» aux réfugiés sahraouis. Les participants à cette rencontre ont renouvelé leur soutien à l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, Christopher Ross, à «poursuivre sa médiation» et à «faire engager des négociations sérieuses entre les deux parties» en conflit.
Un rapport accablant sur la situation des prisonniers sahraouis, qui souffrent dans les geôles marocaines et sur les parodies de procès qui leur sont intentés, a été présenté lors de cette rencontre. Des militants des territoires occupés ont témoigné «des violations répétées contre la dignité et l’intégrité physique» par les autorités d’occupation marocaine.
Les participants à cette conférence ont notamment demandé au président français d’inscrire sur son registre «une trajectoire politique digne de la France, conforme à ses repères et ses combats historiques pour la liberté et les droits de l’homme, en rendant justice au peuple sahraoui». Ils lui ont demandé, dans ce cadre, de faciliter l’élargissement du mandat de la Minurso à la protection des droits de l’homme.
Samedi, à l’ouverture des travaux de cette manifestation à laquelle ont pris part 360 participants, représentant 49 pays, le président de la RASD a dénoncé « un soutien injuste et injustifiable» apporté au Maroc par certains pays, dont la France, encourageant les autorités marocaines dans leurs dérives et leur entêtement criminels.
Tout en réaffirmant la légitimité du combat des Sahraouis, les participants à la conférence d’Alger ont exhorté les Nations unies à honorer sa doctrine en matière de décolonisation par l’application «immédiate» de ses propres résolutions sur le Sahara occidental, à travers l’organisation d’un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui. Tout en exigeant par ailleurs la libération «immédiate» de tous les prisonniers politiques sahraouis, les participants à cette rencontre ont dénoncé les violations des droits de l’homme commises par le Maroc dans les territoires occupés du Sahara occidental, ainsi que le «pillage systématique» par le Maroc des ressources naturelles du Sahara occidental.
Un appel a été également lancé à l’adresse de l’ONU et aux différentes agences spécialisées afin d’apporter une aide humanitaire «suffisante» et «multiforme» aux réfugiés sahraouis. Les participants à cette rencontre ont renouvelé leur soutien à l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, Christopher Ross, à «poursuivre sa médiation» et à «faire engager des négociations sérieuses entre les deux parties» en conflit.
Un rapport accablant sur la situation des prisonniers sahraouis, qui souffrent dans les geôles marocaines et sur les parodies de procès qui leur sont intentés, a été présenté lors de cette rencontre. Des militants des territoires occupés ont témoigné «des violations répétées contre la dignité et l’intégrité physique» par les autorités d’occupation marocaine.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire