زلزلت حناجر طالبات الحي الجامعي الثاني بالمركب الجامعي ظهر المهراز في اولى...
fes24.com|Par فاس24
Le
Complexe universitaire de Fès au Maroc vit sous contrôle et
interventions musclées des forces de police depuis toujours. tantôt les
arrestations et matraques contre les étudiants, tantôt ce sont les
milices intégristes qui s'en chargent, pour organiser les raids
paramilitaires contre les étudiants et leur syndicat l'UNEM.
Pourquoi dit-on? tout simplement les étudiants du campus sont attachés à
leur organisation syndicale l'UNEM et à leurs responsables syndicaux
appartenant à la mouvance des Basistes. Le syndicat UNEM est d'orientation progressiste dans un pays administré
par un régime réactionnaire et un gouvernement religieux et intégriste.
L'étudiant en grand plan sur la photo ci-dessus est en grève de la faim depuis plus de 30 jours et réclame son droit aux études universitaires. Il est arrêté dans un état lamentable au lieu de l'inscrire tout simplement.
L'enseignement supérieur n'est pas un droit garanti aux fils et filles des masses populaires, le diplôme d'accès ( Baccalauréat ) est remis en cause par les ministères successifs et ne donne pas automatiquement droit à l'inscription et la poursuite des études.
Le ministre de l’enseignement a même chassé les étudiants de la cité universitaire de Meknès en cette période d'examens, pour assurer le séjour estival aux membres de son parti au gouvernement.
Les étudiants à Fès portent de plus en plus de traces de matraques policières sur leur corps.
Du côté du régime et de son gouvernement religieux l'heure est au démantèlement de l'Université. Le ministre de tutelle s'en est même pris aux diplômés de Licence en matière de sciences humaines qu'il considère comme fardeau sur sa société. Par les violences physiques et morales et les arrestations dans les rang des étudiants de Fès et des militants, le régime souhaite arriver au bout de ses projets ( détruire l'Université dans la ville scientifique du royaume...).
Toutes les forces politiques confondues plébiscitent chacun à sa manière le projet dangereux contre l'Université au Maroc et l’enseignement en général, dicté au plus haut rang des sphères financières mondiales à un régime qui ne peut être que sanguinaire.
L'étudiant en grand plan sur la photo ci-dessus est en grève de la faim depuis plus de 30 jours et réclame son droit aux études universitaires. Il est arrêté dans un état lamentable au lieu de l'inscrire tout simplement.
L'enseignement supérieur n'est pas un droit garanti aux fils et filles des masses populaires, le diplôme d'accès ( Baccalauréat ) est remis en cause par les ministères successifs et ne donne pas automatiquement droit à l'inscription et la poursuite des études.
Le ministre de l’enseignement a même chassé les étudiants de la cité universitaire de Meknès en cette période d'examens, pour assurer le séjour estival aux membres de son parti au gouvernement.
Les étudiants à Fès portent de plus en plus de traces de matraques policières sur leur corps.
Du côté du régime et de son gouvernement religieux l'heure est au démantèlement de l'Université. Le ministre de tutelle s'en est même pris aux diplômés de Licence en matière de sciences humaines qu'il considère comme fardeau sur sa société. Par les violences physiques et morales et les arrestations dans les rang des étudiants de Fès et des militants, le régime souhaite arriver au bout de ses projets ( détruire l'Université dans la ville scientifique du royaume...).
Toutes les forces politiques confondues plébiscitent chacun à sa manière le projet dangereux contre l'Université au Maroc et l’enseignement en général, dicté au plus haut rang des sphères financières mondiales à un régime qui ne peut être que sanguinaire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire