par SCSC - Servicio de Comunicación Saharaui de Canarias, 7/10/2009. Traduit par Fausto Giudice, Tlaxcala
Santa Cruz de Tenerife - Mohamed Daddach, un des prisonniers de conscience qui a été incarcéré le plus longtemps en Afrique, après Nelson Mandela *- 24 ans - et président du Comité de Défense du droit à l'autodétermination du peuple sahraoui (CODAPSO) a été arrêté par les forces marocaines de sécurité hier, mardi, vers 17 heures, en compagnie des militants des droits humains Laarbi Massoud, du Collectif sahraoui des défenseurs des droits humains (CODESA), Atigo Barray, du Comité contre la torture de Dakhla ( CCTD), Ahmed Sbai, de la Coordination de défense des prisonniers politiques sahraouis, et Brahim Smail, du Centre sahraoui pour la défense de la mémoire historique, selon des informations transmises au Service de communication sahraoui aux Canaries (SCSC) par des militants.
Selon des témoins, vers 5 heures de l’après-midi, le véhicule de location mauritanien dans lequel ils se dirigeaient vers la frontière a été intercepté par des effectifs militaires marocains "lourdement armés", qui « les ont faits s’arrêter sous la menace des fusils, leur ont pris leur papiers et les ont arrêtés » Les organisations humanitaires sahraouies dénoncent « cette énième violation du droit à la libre circulation des militants sahraouis des droits humains» et ont exprimé leur crainte qu' «ils ne soient interrogés et torturés dans des bâtiments l'armée ou de la police marocaine", puisque jusqu’à hier soir on ignorait où ils se trouvaient et dans quel état.
Par conséquent, elles «exigent» leur «libération immédiate» et «avertissent» que «la responsabilité exclusive de l'état dans lequel pourraient se trouver les militants disparus sont les repose sur les corps de sécurité marocaines et les autorités d'occupation. » Elles lancent donc un "appel urgent" aux « organisations internationales, gouvernements et organes de défense des droits humains » pour qu’elles se préoccupent « de leur état, de l’endroit où ils sont détenus et de leur libération urgente. »
*NDLR Solidmar: petite remarque fraternelle : En août 2008 ont été libérés les prisonniers d'opinion Ahmed Chahid et Ahmed Chaïb après 25 ans de détention
Mohamed Daddach
Se desconoce su destino y las organizaciones humanitarias saharauis temen que estén siendo objeto de “interrogatorios y torturas”
Santa Cruz de Tenerife.- Mohamed Daddach, el preso de conciencia que más tiempo ha estado encarcelado en África después de Nelson Mandela -24 años- y presidente del Comité de Defensa del Derecho de Autodeterminación del Pueblo Saharaui (CODAPSO) fue detenido por las fuerzas de seguridad marroquíes ayer, martes, a las 17:00 horas aproximadamente, acompañado de los también activistas de Derechos Humanos Laarbi Masoud, del Colectivo Saharaui de Defensores de los Derechos Humanos (CODESA); Atigo Barray, del Comité contra la Tortura de Dajla (CCTD); Ahmed Sbai, de la Coordinadora de Defensa de los Presos Políticos Saharauis, y Brahim Smail, del Centro Saharaui para la Defensa de la Memoria Histórica, según informaron activistas en la zona al Servicio de Comunicación Saharaui en Canarias (SCSC).
Los testigos afirman que, sobre las 5 de la tarde, el coche mauritano de alquiler con el que se dirigían hacia la frontera fue interceptado por efectivos marroquíes “fuertemente armados” que “les hicieron detenerse a punta de fusil, les quitaron su documentación y los arrestaron”. Las organizaciones humanitarias saharauis denuncian que “una vez más, se conculca el derecho a la libre circulación de los activistas saharauis de Derechos Humanos” y expresaron su temor a que “estén siendo interrogados y torturados en dependencias militares o policiales marroquíes” ya que hasta la noche de ayer se desconocía su paradero así como su estado.
Por lo tanto, “exigen” su “liberación inmediata” y “advierten” de que “los únicos responsables del estado en el que pudieran encontrarse los activistas desaparecidos serán los cuerpos de seguridad marroquíes y las autoridades de ocupación”. Así, hacen un “llamamiento urgente” a “organizaciones internacionales, gobiernos y organismos de defensa de los Derechos Humanos” para que se interesen “por su situación, su paradero y su liberación urgente”.
Source/Fuente: Servicio de Comunicación Saharaui en Canarias
C'est normal que le Maroc exerce son droit de maintien de la paix est la sécurité sur son territoire de Tanger jusqu'à Laguira , la fermeté est nécessaire pour maté pour avorté les objectifs destructif de quelques personnes payer est guider par les services secret Algérienne pour foutre la merde chez nous. Si vraiment ces gents la veulent défendre les droit de l'homme comme ils prétendre faire, ils ont qu'a faire la part des choses, qu'il parlent aussi sur les violations inhumain des droits de l'homme dans les camps de détention des Sahraoui marocains A TINDIF. en dirais que laba les gens vivent dans une ouais démocratique inégale au monde alors qu'en vrais ils sont détenus sous la dictature des même personne depuis 40 ans en constituent une vrais mafia criminelle est ils en transformer la souffrance des pauvre gent dans les camps en un véritable font de commerce.
RépondreSupprimerlibérer les pauvre gents de Tindof est vous virais QUE VOUS AVEZ TORE DEPUIS 40 ANS.