Le dimanche 19 juin 2011 à Casablanca : l'abjecte sous-traitance de l'État.

Par Ali Fkir, 21/6+/2011

L’État recrute dans les milieux douteux des névrosés prêts à tout pour quelques dirhams. L'Etat joue avec le feu. Une petite étincelle peut mettre le feu à toute la poudrière.

Les marches pacifiques continueront tant que les revendications (claires et nettes) du mouvement du 20 février ne seront pas satisfaites.

جريدة "المساء" ليوم 21 يونيو
J'étais présent. Le militant Assidon essaie de calmer le baltaje déchaîné. Ce dernier ne veut rien entendre. REGARDEZ la fureur du baltaje prêt à tuer.




جريدة "الأحداث المغربية" م
ليوم 21 يونيو
J'étais présent. Les baltajes sur les voitures, ils cassent, ils frappent, ils exhibent leurs parties génitales ...




"جريدة "أخبار اليوم
ليوم 21 يونيو
La sous-traitance de la violence. Un marcheur pacifique du mvt du 20 février essaie de calmer un baltaje masqué armé d'un gourdin. L'embrigadement des névrosés est assuré par des services occultes.





J'étais présent. Il fallait entendre ce que vociférait cet excité.

FACE A LA RÉPRESSION, FACE AUX RECRUES DE L'ETAT, les masses populaires et les symboles de la résistance continuent d'avancer, sans hésitation aucune, sur la voie du changement radical

"جريدة "أخبار اليوم
ليوم 21 يونيو
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