le 20 heures, 4/3/2015
Dans
une tribune publiée dans les pages du journal Al Massae du 2 mars, le
numéro 2 du Parti Justice et Développement Saâdeddine El Othmani a fait
une déclaration pour le moins constructive. En effet, ce dernier demande
à faire évoluer la loi sur l’avortement, se basant pour cela sur la
réalité sociale marocaine mais aussi sur le corpus jurisprudentiel
islamique. Cet appel à davantage de souplesse est par ailleurs soutenu
par Moncef Belkhayat, membre du bureau politique du RNI, qui, via
Twitter, a exprimer son accord et son appui à El Othmani.
Pour le Dr El Othmani, si l’enfant, lors des échographies, présente certaines malformations, ou dans le cas d’inceste ou viol, l’avortement devrait être établi. La loi définirait, dans ces cas-là, les examens à effectuer sur la femme enceinte, exposerait les éventuelles malformations, et imposerait l’information des services médicaux de l’administration territoriale.
Pour le Dr El Othmani, si l’enfant, lors des échographies, présente certaines malformations, ou dans le cas d’inceste ou viol, l’avortement devrait être établi. La loi définirait, dans ces cas-là, les examens à effectuer sur la femme enceinte, exposerait les éventuelles malformations, et imposerait l’information des services médicaux de l’administration territoriale.
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