Le site de Demain online a été victime hier d’une attaque de grande envergure. Des « baltajias du net » dûment payés par « qui de droit », s’en sont pris à ce site et par conséquent au serveur qui nous héberge aux Etats-Unis. Ce dernier a été obligé de bloquer pendant quelques heures l’accès à Demain online afin de préserver la « santé » de tout le système.
Avec l’estimable, généreuse et désintéressée aide fournie par plusieurs amis anonymes, nous avons pu rétablir rapidement la situation.
Voilà l’esprit du régime de l’ancienne et nouvelle constitution. Ça ne me plaît pas ce que tu écris, je te harcèle, je t’espionne, je te diffame, je te colle des procès, je te condamne, je t‘envoie en prison, je t’interdis d’écrire et maintenant j’attaque ton site sur Internet. Silence !
Certes, nous ne sommes pas des enfants de chœur, mais nous ne sommes pas non plus des malfaisants. La différence entre nous et le régime de Mohamed VI, qui nomme un outrancier diffamateur à la tête de l’agence officielle de presse, c’est que nous ça ne nous viendra jamais à l’idée d’attaquer « physiquement » un média, écrit, audiovisuel ou électronique, parce que ses idées et opinions ne nous plaisent pas.
Chacun est libre de dire et d’écrire ce que bon lui chante. Et même les insultes et accusations en tout genre des mercenaires de la plume ou du micro entrent par une oreille et ressortent par une autre. Cela n’a aucune incidence sur notre travail d’information.
En fait, nous sommes comme ces virus qui à force d’antibiotiques deviennent plus résistants, plus imperméables aux assauts auxquels ils sont soumis constamment. En résumé, plus on nous tape sur la gueule, plus on devient résistant. « Ce qui ne te tue pas, te rend plus fort« , dit un proverbe européen.
Il y aura sûrement d’autres attaques de ces rustres du cyberespace, mais comme nous ne faisons pas dans le commerce et que nous ne sommes donc soumis à aucune autre obligation que la littérature que nous fournissons à nos lecteurs, nous pouvons résister aux assauts du cybermakhzen.
Ils attaquent notre navire, nous réparons les dégâts, ils le coulent nous construisons un autre.
Ainsi va la vie amis lecteurs.
Demain
Le site de Demain online a été victime hier d’une attaque de grande envergure. Des « baltajias du net » dûment payés par « qui de droit », s’en sont pris à ce site et par conséquent au serveur qui nous héberge aux Etats-Unis. Ce dernier a été obligé de bloquer pendant quelques heures l’accès à Demain online afin de préserver la « santé » de tout le système.
Avec l’estimable, généreuse et désintéressée aide fournie par plusieurs amis anonymes, nous avons pu rétablir rapidement la situation.
Voilà l’esprit du régime de l’ancienne et nouvelle constitution. Ça ne me plaît pas ce que tu écris, je te harcèle, je t’espionne, je te diffame, je te colle des procès, je te condamne, je t‘envoie en prison, je t’interdis d’écrire et maintenant j’attaque ton site sur Internet. Silence !
Certes, nous ne sommes pas des enfants de chœur, mais nous ne sommes pas non plus des malfaisants. La différence entre nous et le régime de Mohamed VI, qui nomme un outrancier diffamateur à la tête de l’agence officielle de presse, c’est que nous ça ne nous viendra jamais à l’idée d’attaquer « physiquement » un média, écrit, audiovisuel ou électronique, parce que ses idées et opinions ne nous plaisent pas.
Chacun est libre de dire et d’écrire ce que bon lui chante. Et même les insultes et accusations en tout genre des mercenaires de la plume ou du micro entrent par une oreille et ressortent par une autre. Cela n’a aucune incidence sur notre travail d’information.
En fait, nous sommes comme ces virus qui à force d’antibiotiques deviennent plus résistants, plus imperméables aux assauts auxquels ils sont soumis constamment. En résumé, plus on nous tape sur la gueule, plus on devient résistant. « Ce qui ne te tue pas, te rend plus fort« , dit un proverbe européen.
Il y aura sûrement d’autres attaques de ces rustres du cyberespace, mais comme nous ne faisons pas dans le commerce et que nous ne sommes donc soumis à aucune autre obligation que la littérature que nous fournissons à nos lecteurs, nous pouvons résister aux assauts du cybermakhzen.
Ils attaquent notre navire, nous réparons les dégâts, ils le coulent nous construisons un autre.
Ainsi va la vie amis lecteurs.
Demain
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