Par Abdelmajid Baroudi, 23/3/2011
Depuis que le sud de la Méditerranée a renoncé à sa tranquillité notre ami l’ex gaucho ne se sentait pas bien. Lui qui est habitué lucrativement à cultiver l’amalgame, ne s’attendait pas à l’imprévisible. Au nom de la réalité contre laquelle il a vendu son rêve, il s’est forcé à croire que la puissance du lion machiavélique endigue la force et la hauteur des vagues. Au fond de lui et de crainte qu’il soit ridiculisé, il a espéré sans l’exprimer que cette première vague en provenance des plages tunisiennes sera endiguée. Une fois qu’il a appris la fuite de l’un des pirates de Carthage, sa fatalité pour l’attendu commençait à s’effondrer face à l’inattendu. Il fallait donc qu’il change de tactique. S’il est habitué à changer de veste, cette fois ci , il change de pantalon.
La société civile est son champ à cultiver l’amalgame. C’est dans cette ambiance hétérogène parfumée de diversité et de droit à la parole qu’il fait la promotion d’un discours mal préparé et où se mixent l’authenticité et la modernité. Sa cible préférée, l’indolence des complaisants et le nihilisme de ses anciens amis.
Maintenant que l’imprévisible est devenu presque prévu, il veut faire croire à ses anciens amis qu’ils pensent ce qu’il pense. Et pour illustrer son leurre, lui qui a caressé le lion et couru derrière l’engin sous prétexte qu’il n’est jamais monté à bord, l’ancien gaucho n’hésite pas de puiser dans les débris de ce qu'il garde en tête comme littérature de gauche qu’il conjugue au présent et qu’il est prêt à convertir à toutes les opportunités. Il est temps de changer de constitution octroyée murmurait-il d’un ton dépersonnalisé, lorsque ses anciens amis l’ont croisé à la marche du dimanche 20 février.
Depuis que le sud de la Méditerranée a renoncé à sa tranquillité notre ami l’ex gaucho ne se sentait pas bien. Lui qui est habitué lucrativement à cultiver l’amalgame, ne s’attendait pas à l’imprévisible. Au nom de la réalité contre laquelle il a vendu son rêve, il s’est forcé à croire que la puissance du lion machiavélique endigue la force et la hauteur des vagues. Au fond de lui et de crainte qu’il soit ridiculisé, il a espéré sans l’exprimer que cette première vague en provenance des plages tunisiennes sera endiguée. Une fois qu’il a appris la fuite de l’un des pirates de Carthage, sa fatalité pour l’attendu commençait à s’effondrer face à l’inattendu. Il fallait donc qu’il change de tactique. S’il est habitué à changer de veste, cette fois ci , il change de pantalon.
La société civile est son champ à cultiver l’amalgame. C’est dans cette ambiance hétérogène parfumée de diversité et de droit à la parole qu’il fait la promotion d’un discours mal préparé et où se mixent l’authenticité et la modernité. Sa cible préférée, l’indolence des complaisants et le nihilisme de ses anciens amis.
Maintenant que l’imprévisible est devenu presque prévu, il veut faire croire à ses anciens amis qu’ils pensent ce qu’il pense. Et pour illustrer son leurre, lui qui a caressé le lion et couru derrière l’engin sous prétexte qu’il n’est jamais monté à bord, l’ancien gaucho n’hésite pas de puiser dans les débris de ce qu'il garde en tête comme littérature de gauche qu’il conjugue au présent et qu’il est prêt à convertir à toutes les opportunités. Il est temps de changer de constitution octroyée murmurait-il d’un ton dépersonnalisé, lorsque ses anciens amis l’ont croisé à la marche du dimanche 20 février.
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