Change ou dégage !
Tu dis que tu as le sang,
Des dieux dans les veines.
Tu fais du peuple ton adorateur forcé,
Rendu fou par la misère et la religion.
Tu rends conscients et riches tes proches,
Et tes frères de sang,
Qui te donnent ton poids d’or chaque année,
De l’or payé par la sueur du peuple enchaîné,
Comme celui qui leur disait,
Que son cœur a tremblé,
C’est pour cela que la terre a tremblé,
Comme celui qui faisait fuir,
Son peuple révolté en lui faisant croire,
Que c’était lui qui faisait éclipser le soleil,
Ou comme celui qui devient le caméléon,
Pour ressembler aux êtres et aux choses,
Sur lesquels il se pose,
Le masque éternel des dictateurs.
Tu as tout le pays terres et biens,
Et ton peuple vit dans l’imaginaire.
Il lui reste la misère, les maladies,
La drogue ou la religion.
J’ai fait un rêve,
Où j’ai vu le peuple se soulever,
Des gens qui crient et fuient partout,
Des soldats qui sortent des forêts,
Où ils étaient tapis,
Quelqu’un me prend sur la lune,
M’emmène sur la terre et m’y dépose,
En me disant que c’est la lune,
Même de loin apparemment,
Qui frappe de temps en temps la terre
Et la fait tourner.
J’ai entendu quelqu’un,
Dire à son compagnon,
Qu’il va demander à un ami,
S’il veut voter pour quelqu’un,
Comme président du pays.
Tu changes ou tu dégages !
Le conte dit que l’oncle,
Qui est allé voir sa sœur,
Mariée à un orgue,
A eu l’oreille dévorée par son neveu,
Car un ogre ne peut avoir ,
Pour fils qu’un autre ogre !
Change ou dégage !
Rends au peuple sa terre et ses richesses,
Que lui ont volés tes ancêtres !
Rends au peuple son pouvoir,
Que tes ancêtres lui ont spolié !
Rends au peuple sa dignité et sa liberté !
Change ou dégage !
Des dieux dans les veines.
Tu fais du peuple ton adorateur forcé,
Rendu fou par la misère et la religion.
Tu rends conscients et riches tes proches,
Et tes frères de sang,
Qui te donnent ton poids d’or chaque année,
De l’or payé par la sueur du peuple enchaîné,
Comme celui qui leur disait,
Que son cœur a tremblé,
C’est pour cela que la terre a tremblé,
Comme celui qui faisait fuir,
Son peuple révolté en lui faisant croire,
Que c’était lui qui faisait éclipser le soleil,
Ou comme celui qui devient le caméléon,
Pour ressembler aux êtres et aux choses,
Sur lesquels il se pose,
Le masque éternel des dictateurs.
Tu as tout le pays terres et biens,
Et ton peuple vit dans l’imaginaire.
Il lui reste la misère, les maladies,
La drogue ou la religion.
J’ai fait un rêve,
Où j’ai vu le peuple se soulever,
Des gens qui crient et fuient partout,
Des soldats qui sortent des forêts,
Où ils étaient tapis,
Quelqu’un me prend sur la lune,
M’emmène sur la terre et m’y dépose,
En me disant que c’est la lune,
Même de loin apparemment,
Qui frappe de temps en temps la terre
Et la fait tourner.
J’ai entendu quelqu’un,
Dire à son compagnon,
Qu’il va demander à un ami,
S’il veut voter pour quelqu’un,
Comme président du pays.
Tu changes ou tu dégages !
Le conte dit que l’oncle,
Qui est allé voir sa sœur,
Mariée à un orgue,
A eu l’oreille dévorée par son neveu,
Car un ogre ne peut avoir ,
Pour fils qu’un autre ogre !
Change ou dégage !
Rends au peuple sa terre et ses richesses,
Que lui ont volés tes ancêtres !
Rends au peuple son pouvoir,
Que tes ancêtres lui ont spolié !
Rends au peuple sa dignité et sa liberté !
Change ou dégage !
Mohammed Hifad
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