Un débat en soutien au peuple sahraoui dans sa lutte pour son droit à l'autodétermination a été organisé récemment au parlement fédéral allemand, pour dénoncer le déni de droit que subit le peuple du Sahara occidental occupé et montrer au monde les souffrances endurées par les Sahraouis, ont rapporté les médias allemands.
PUBLIE LE : 22/2/2016
D.R |
Initiée par un groupe de
députés issus de partis politiques représentés au sein de la Chambre
basse (Bundestag), cette rencontre a été marquée par la projection du
film la Dernière Colonie - le Peuple oublié du Sahara Occidental en
présence de son réalisateur, le cinéaste allemand Christian Gropper.
A travers cette projection, les députés ont plongé dans les racines du conflit du Sahara occidental qui dure depuis plusieurs décennies, et qui révèle la nature coloniale du Maroc.
Il décrit notamment la réalité de l'occupation marocaine, à travers des témoignages et images poignantes, notamment celles de la répression qui a suivi l'Intifada de Gdeim Ezik.
L'œuvre a parfaitement dénoncé les violations des droits humains du peuple sahraoui et lever le voile sur les souffrances endurées par les Sahraouis, sans oublier bien sûr le pillage des richesses par l'occupant (Maroc) des territoires sahraouis. Le film dénonce également le silence de la communauté internationale et la complicité de certains acteurs avec l'occupant marocain.
Un débat avec le réalisateur et les députés allemands présents a suivi la projection du film, en présence d'universitaires et de militants des droits de l'homme, représentés notamment par l'Association allemande "Freiheit für die Western Sahara" (Liberté pour le Sahara occidental). Un accent particulier a été mis sur le droit légitime à l'autodétermination, à travers un référendum, du peuple sahraoui.
A travers cette projection, les députés ont plongé dans les racines du conflit du Sahara occidental qui dure depuis plusieurs décennies, et qui révèle la nature coloniale du Maroc.
Il décrit notamment la réalité de l'occupation marocaine, à travers des témoignages et images poignantes, notamment celles de la répression qui a suivi l'Intifada de Gdeim Ezik.
L'œuvre a parfaitement dénoncé les violations des droits humains du peuple sahraoui et lever le voile sur les souffrances endurées par les Sahraouis, sans oublier bien sûr le pillage des richesses par l'occupant (Maroc) des territoires sahraouis. Le film dénonce également le silence de la communauté internationale et la complicité de certains acteurs avec l'occupant marocain.
Un débat avec le réalisateur et les députés allemands présents a suivi la projection du film, en présence d'universitaires et de militants des droits de l'homme, représentés notamment par l'Association allemande "Freiheit für die Western Sahara" (Liberté pour le Sahara occidental). Un accent particulier a été mis sur le droit légitime à l'autodétermination, à travers un référendum, du peuple sahraoui.
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