Alors que le conflit s'intensifie entre le Hamas et Gaza, des internautes se mobilisent pour la paix. Avec un hashtag spécial, ils souhaitent montrer que toutes les confessions peuvent s'entendre.
Ils veulent prouver que l'amour est plus fort que la guerre.
Depuis une semaine, de nombreux internautes se mobilisent pour la paix
en postant sur les réseaux sociaux des photos ou des messages
accompagnés du mot clé #JewsAndArabsRefuseToBeEnemies (Les juifs et les
arabes refusent d'être ennemis). Une initiative prise alors que le
conflit à Gaza s’envenime depuis le début du mois: aux roquettes du
Hamas répondent des bombardements israéliens et une offensive terrestre. Au total, 560 Palestiniens et 27 Israéliens sont morts depuis le regain de tension.
Tout a commencé le 13 juillet avec une photo postée par Sulome Anderson,
une journaliste d'origine libanaise. On y voit la jeune femme embrasser
son petit ami juif. En dessous, on peut lire: "Il m'appelle néchama, je
l'appelle habibi. L'amour ne parle pas la langue de l'occupation".
Rapidement, la photo a fait le tour du monde. Elle a été retweetée près de 1200 fois. "Quand nous avons commencé à sortir ensemble, nous nous disputions beaucoup à propos de la politique et puis, doucement mais sûrement, on a commencé à arriver à un consensus", confie Sulome Anderson à ABC News. Elle poursuit: "On continue à se disputer parfois mais maintenant on comprend davantage les perspectives de chacun". L'exemple de ce couple interconfessionnel a aussitôt inspiré d'autres internautes.
"Ma mère est juive, mon père est musulman, comment pourrais-je être ennemie de moi-même", explique cette jeune femme sur Twitter.
Certains internautes ont profité du hashtag pour prouver qu'entre Palestiniens et Israéliens l'entente est possible.
De jeunes enfants ont également joué le jeu...
D'après les calculs de Topsy, le hashtag a été utilisé plus de 3000 fois ces 14 dernières heures. Et sur Facebook, la page dédiée compte plus de 3200 membres.
Rapidement, la photo a fait le tour du monde. Elle a été retweetée près de 1200 fois. "Quand nous avons commencé à sortir ensemble, nous nous disputions beaucoup à propos de la politique et puis, doucement mais sûrement, on a commencé à arriver à un consensus", confie Sulome Anderson à ABC News. Elle poursuit: "On continue à se disputer parfois mais maintenant on comprend davantage les perspectives de chacun". L'exemple de ce couple interconfessionnel a aussitôt inspiré d'autres internautes.
"Ma mère est juive, mon père est musulman, comment pourrais-je être ennemie de moi-même", explique cette jeune femme sur Twitter.
Certains internautes ont profité du hashtag pour prouver qu'entre Palestiniens et Israéliens l'entente est possible.
De jeunes enfants ont également joué le jeu...
D'après les calculs de Topsy, le hashtag a été utilisé plus de 3000 fois ces 14 dernières heures. Et sur Facebook, la page dédiée compte plus de 3200 membres.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire