Un homme de 18 ans a été interpellé, ce mercredi à Rosans, à la suite
d’injures à caractère antisémite dont était victime une habitante de la
commune depuis plusieurs jours.
La victime, une femme d’une quarantaine d’années de confession, juive, avait déposé plainte, ce mardi matin, à la brigade de gendarmerie de Rosans. Elle indiquait avoir été victime de plusieurs injures antisémites sur la voie publique ou à proximité de son lieu de travail.
« Les investigations menées immédiatement par les personnels de la compagnie de gendarmerie de Gap et un dispositif de surveillance mis en place dès le 22 juillet au soir ont permis de confirmer les dires de la plaignante et d’interpeller un jeune homme de 18 ans, également domicilié sur la commune », indique le procureur de la République de Gap, Raphaël Balland.
Le suspect a été placé en garde à vue, ce mercredi, à 12h20, du chef d’injures publiques envers un particulier, en raison de sa religion ou de son origine. « En l’état, il reconnaît les faits », précise le parquet de Gap.
Pour ces faits d’injures publiques à caractère antisémite, la loi prévoit notamment des peines de 6 mois d’emprisonnement et de 22.500 euros d’amende.
GAP | En marge de la manifestation pour la paix au ProcheOrient, une résidente du centre ville
a été prise à partie chez elle par une dizaine de personnes, victime d’une agression antisémite.
La victime, une femme d’une quarantaine d’années de confession, juive, avait déposé plainte, ce mardi matin, à la brigade de gendarmerie de Rosans. Elle indiquait avoir été victime de plusieurs injures antisémites sur la voie publique ou à proximité de son lieu de travail.
« Les investigations menées immédiatement par les personnels de la compagnie de gendarmerie de Gap et un dispositif de surveillance mis en place dès le 22 juillet au soir ont permis de confirmer les dires de la plaignante et d’interpeller un jeune homme de 18 ans, également domicilié sur la commune », indique le procureur de la République de Gap, Raphaël Balland.
Le suspect a été placé en garde à vue, ce mercredi, à 12h20, du chef d’injures publiques envers un particulier, en raison de sa religion ou de son origine. « En l’état, il reconnaît les faits », précise le parquet de Gap.
Pour ces faits d’injures publiques à caractère antisémite, la loi prévoit notamment des peines de 6 mois d’emprisonnement et de 22.500 euros d’amende.
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a été prise à partie chez elle par une dizaine de personnes, victime d’une agression antisémite.
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