Algérie Presse Service , 21/1/2016
EL AAYOUN (territoires sahraoui occupés) - Le Collectif des défenseurs
des droits humains sahraouis (CODESA) et l’Union de la jeunesse de
Saguia alHamra et du rio de Oro (UJSARIO) ont dénoncé l’expulsion de 67
observateurs étrangers de différentes nationalités par les autorités
marocaine des territoires occupés du Sahara Occidental, a rapporté jeudi
l'agence de presse sahraouie (SPS).
Le CODESA a exprimé "son indignation" devant cette expulsion et l'empêchement des observateurs étrangers de visiter et d'entrer dans les villes du Sahara Occidental occupé, considérant cette politique "répressive menée par le Maroc, d’intimidation contre les délégations étrangères pour leur soutien au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance", a-t-on ajouté de la même source.
Il a adressé un appel pressant en direction de la communauté internationale afin d'agir en urgence pour le respect des droits de l'homme dans les villes occupées du Sahara Occidental, et la mise en place d'un mécanisme de l'ONU pour surveiller et rapporter la situation des droits de l'homme dans ce territoire en processus de décolonisation inachevé.
Le CODESA a également fait appel à œuvrer pour l'ouverture des territoires occupés devant les observateurs internationaux et les organisations et organismes des droits humains et les médias internationaux, la levée de l’état de siège imposé sur les territoires sahraouis occupés et le démantèlement du mur de la honte qui divise le peuple sahraoui et menace la vie des Sahraouis et leur cheptel, en raison des mines et engins de guerre parsemés tout le long de cet obstacle érigé en sable.
Pour sa part, L’UJSARIO a dénoncé, dans un communiqué, l'expulsion des observateurs, qualifiée d'"action inhumaine et en particulier les violations persistantes des droits de l'Homme dans les territoires occupés".
Elle a également lancé un appel pressant à toutes les organisations de défense des droits de l’Homme, organismes et organisations de jeunesse, afin de briser le mur du silence imposé au peuple sahraoui dans les villes occupées, appelant à contribuer à trouver une solution qui permette au peuple sahraoui, l’exercice de son droit à l'autodétermination, à la liberté et à l'indépendance.
Les autorités marocaines ont expulsé entre dimanche et mardi derniers plus de 67 observateurs étrangers de différentes nationalités des territoires occupés du Sahara Occidental et du sud du Maroc.
L'expulsion de visiteurs étrangers s'est déroulée dans 20 incidents différents. Ils étaient de la Norvège, Suède, Pays-Bas, Lituanie, Etats-Unis, Canada et de la Pologne, selon le Comité norvégien de soutien au Sahara Occidental, rappelle-t-on.
Aucune justification n'a été donnée par les autorités marocaines aux délégations visées par cette mesure, qui va à l'encontre des principes des droits de l'homme et des libertés.
Ce n'est pas la première fois que le Maroc procède à ce genre d'intimidation contre les délégations étrangères en raison de leur soutien au droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à l'indépendance.
Le CODESA a exprimé "son indignation" devant cette expulsion et l'empêchement des observateurs étrangers de visiter et d'entrer dans les villes du Sahara Occidental occupé, considérant cette politique "répressive menée par le Maroc, d’intimidation contre les délégations étrangères pour leur soutien au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance", a-t-on ajouté de la même source.
Il a adressé un appel pressant en direction de la communauté internationale afin d'agir en urgence pour le respect des droits de l'homme dans les villes occupées du Sahara Occidental, et la mise en place d'un mécanisme de l'ONU pour surveiller et rapporter la situation des droits de l'homme dans ce territoire en processus de décolonisation inachevé.
Le CODESA a également fait appel à œuvrer pour l'ouverture des territoires occupés devant les observateurs internationaux et les organisations et organismes des droits humains et les médias internationaux, la levée de l’état de siège imposé sur les territoires sahraouis occupés et le démantèlement du mur de la honte qui divise le peuple sahraoui et menace la vie des Sahraouis et leur cheptel, en raison des mines et engins de guerre parsemés tout le long de cet obstacle érigé en sable.
Pour sa part, L’UJSARIO a dénoncé, dans un communiqué, l'expulsion des observateurs, qualifiée d'"action inhumaine et en particulier les violations persistantes des droits de l'Homme dans les territoires occupés".
Elle a également lancé un appel pressant à toutes les organisations de défense des droits de l’Homme, organismes et organisations de jeunesse, afin de briser le mur du silence imposé au peuple sahraoui dans les villes occupées, appelant à contribuer à trouver une solution qui permette au peuple sahraoui, l’exercice de son droit à l'autodétermination, à la liberté et à l'indépendance.
Les autorités marocaines ont expulsé entre dimanche et mardi derniers plus de 67 observateurs étrangers de différentes nationalités des territoires occupés du Sahara Occidental et du sud du Maroc.
L'expulsion de visiteurs étrangers s'est déroulée dans 20 incidents différents. Ils étaient de la Norvège, Suède, Pays-Bas, Lituanie, Etats-Unis, Canada et de la Pologne, selon le Comité norvégien de soutien au Sahara Occidental, rappelle-t-on.
Aucune justification n'a été donnée par les autorités marocaines aux délégations visées par cette mesure, qui va à l'encontre des principes des droits de l'homme et des libertés.
Ce n'est pas la première fois que le Maroc procède à ce genre d'intimidation contre les délégations étrangères en raison de leur soutien au droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à l'indépendance.
Publié dans:
MONDE
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