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Bonsoir Marie-Jo,
Il est temps que je donne mes impressions de lecteur
car j'ai lu ton petit livre dès la livraison. Très bien écrit. Chapitres courts
et malgré tout denses. Beau papier et typographie reposante. Histoire captivante
qui apporte pas mal d'informations introuvables dans les beaux guides
touristique. Couverture qui attire l’œil, format agréable et poids léger. Bref,
tout ce qu'il faut pour être tenté. On lui souhaite un beau succès et des
satisfactions bien méritées pour son auteur.
RK
Je l'ai lu d'un trait! Vraiment j'approuve le
commentaire de Raymond. Et, en le lisant, je réalise encore une fois ton courage
et ta ténacité incroyables !
HK
Merci beaucoup pour l’envoi de ce texte, dont nous
prenons connaissance avec grand plaisir. Quel bel éloge du militantisme, et quel
incroyable travail ici mis en valeur !
Coline Aymard – l’ACAT
Paris
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J'ai enfin pris le temps de lire "Marraine" dans le
train. C'est super ! ça se lit avec grand plaisir ! merci
!
AR
Bonjour Madame Fressard que j’ai envie d’appeler tout
simplement Marie-Jo parce que nos expériences ont énormément de similitudes.
En effet, hier j’ai reçu un exemplaire de votre livre.
J’en ai immédiatement commencé la lecture mais je l’interromps illico parce
qu’elle me donne une imparable envie de vous écrire immédiatement ce petit mot
pour vous dire qu’il m’a foutu de fameux coups d’émotions et en profiter pour
vous féliciter. Je me suis retrouvé dans un passé qui a débuté très peu de temps
après la condamnation infligée en janvier 1977 à Abdelaziz Tribak : 32 ans pour
appartenance au groupe Ilal Amam du célèbre Abraham Serfati. Son dossier m’a
alors été confié par Amnesty international dont j’étais membre actif depuis sept
ans.
Avec Aziz, j’ai entretenu une abondante et très intime
correspondance durant toute son incarcération qui a duré 11 années à la Centrale
de Kénitra. A sa libération le 19-12-86, je me suis précipité à Tétouan pour
rencontrer en chair et en os MON prisonnier. J’ai pénétré toute sa famille (au
sens large selon le monde arabe). Ca fait beaucoup de monde et autant de
correspondants ultérieurs. J’ai été reconnu comme faisant partie de cette tribu
et je corresponds encore assidument avec Aziz. Ce fut ma première expérience sur
le Maroc.
FS
On ne peut qu'être admiratif devant le courage et la
ténacité que ce parcours de "marrainage" demande, entre soutien social et moral
à des prisonniers détenus depuis des années, et combat presque quotidien pour
l'amélioration de leurs conditions de vie et leur libération... Ce témoignage,
fluide et facile à lire, permet de relativiser l'image de progrès social et
démocratique que veut se donner le Maroc de Mohammed VI, mais redonne aussi
espoir dans la lutte pour les droits de l'Homme lorsqu'on regarde les résultats
de cette détermination acharnée".
LF
Très chère
Marie-jo
… Je m’y suis mise ce matin
et je n’ai pas pu
m’arrêter, comment
d'ailleurs aurais-je pu au cours de ce récit
mettre fin? Comment laisser
toutes ces souffrances
sur le côté ?
Alors que la moindre des
choses était de passer un infime moment à lire
un quart de siècle de
détention!!!!!
Je te remercie du fond du
cœur pour cette générosité, cette humanité qui te définissent.
Je t’imagine du haut de tes
11 ans effrayée face à Mohamed venu de si loin
pour libérer ton pays, et je
me dis il n' y a pas de hasard, tu étais destinée à rencontrer et défendre
l’opprimé, le persécuté, l’humilié.
Bien des années après, c’est
toi qui passes de l’autre côté, pour à ton tour
impressionner de par ton
courage, ta force, l’homme qui le souligne,
"aucune femme n’aurait fait
cela".
J’ai partagé, en te lisant,
leur cellule, leur détresse, leurs maladies, mais aussi l’espoir
que toi et ton association
leur avez apporté.
Ce qui m’a énormément
touchée, c’est cette séparation
entre Ahmed Chahid et Chaïb,
cela m’attriste et me ramène
au dur constat
du lien et des tournures
qu’il nous fait prendre.
Chaïb a une empathie énorme
et on la vit de par son soutien, sa soif de justice
quand il te ramène le cas
des deux prisonniers en isolement...
Le constat est de regarder
la vie de ces hommes confondus en criminalité
alors qu’ils avaient soif
d’idéaux, soif de justice, d’égalité et qu’on sent en eux
un amour indescriptible pour
la vie.
Que l’espoir continue de
couler dans leurs veines, que cette guerre
d’un quart de siècle
ne soit pas vaine...
Je ressens la souffrance de
Chaïb comme il la décrit si bien,
vouloir la liberté volée
mais ne pas savoir comment
apprivoiser cette chose
devenue si grande parce que
l’on ne se rappelle plus, c’est la plus grande des inconnues qui leur a manqué.
Je suis impatiente de
pouvoir te rencontrer.
Souad Fila, auteure de « Salée est l’eau de l’Amer »,
éditions Antidote
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Je l'ai lu. Bravo, !!! Très très bien. Je connaissais la trame, mais bien écrit, tu as dû vivre des moments intenses, avec les familles, et la relation avec les prisonniers est touchante, tu as dû leur apporter la patience de l'espoir ,de la ténacité, très beau!
AG
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Je l'ai lu. Bravo, !!! Très très bien. Je connaissais la trame, mais bien écrit, tu as dû vivre des moments intenses, avec les familles, et la relation avec les prisonniers est touchante, tu as dû leur apporter la patience de l'espoir ,de la ténacité, très beau!
AG
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Il peut être commandé
:
- en Belgique à Éditions Antidote
(contact@antidote.be) sur le numéro de compte
:
IBAN :BE20 0004 2359 4956
BIC : BPOTBEB1XXX)
- en France, par chèque, mentionner «
livre Marraine», à Solidarité Maroc 05,
17 rue Jean Eymar, 05000 Gap, (solidmar05@gmail.com) où il peut être
acheté,
Prix : 10 € + frais de port ( 1 livre: 2,50€ - 2 et 3 livres : 3,70 €)
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