Par Mamfakinch, 30 /9/2011
Économiste de formation, il a dirigé l’organisme de micro-crédit Al Amana. Il a soutenu le mouvement du 20 février dès le début et a lancé, avec d’autres militants de la cause démocratique au Maroc, un appel en faveur de l’instauration d’une monarchie parlementaire au Maroc. Son franc-parler, notamment sur le coût économique de la gestion de l’affaire du Sahara ou sur le recrutement de diplômés chômeurs au sein de la fonction publique, permet de recueillir et d’écouter l’avis sans complaisance mais aussi sans démagogie d’un militant ayant connu dans sa chair les rigueurs des années de plomb.
L’entretien dure quarante minutes. Les passages suivants sont d’un intérêt particulier:
« le Maroc émerge de la pré-citoyenneté et c’est une très grande satisfaction » (1’10)
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