Publié par Continentalnews, 31/12/2009

Rappel des faits.

Un règlement de comptes tardif
C'est ce réflexe de justice élémentaire et ce devoir moral qu'il s'imposait à lui-même qui lui ont valu d'être arrêté brutalement, et « jugé » plus qu'expéditivement par la « justice » militaire marocaine dans un procès sans considération ni respect pour les droits de la défense, en novembre 2008. "Tout montre qu'il a été victime d'un règlement de comptes tardif de la part de certains généraux influents qui ont saisi cette occasion de lui faire payer, durement, son franc-parler", estime le professeur de l'Institut d'études politiques de Bordeaux.
La famille s'inquiète de son état de santé
Kaddour Terhzaz est maintenant détenu à la prison de Salé à Rabat depuis plus d'un an, le 9 novembre 2008 exactement. "Un an, déjà, qu'il a été arrêté à son domicile ; un an, déjà, que nous nous battons pour sa libération ; un an, déjà, que nous ne comprenons pas cet acharnement à garder en prison un homme innocent ; un an que nous clamons la vérité !", crient, de désespoir, sa femme et ses quatre enfants, qui mettent en avant ses problèmes cardiaques. "Que fait la France pour soutenir celui qui a sa nationalité et qu'elle a décoré de la Légion d'honneur ?", s'interroge Pierre Sadran. "C'est pourquoi j'en appelle à nos élus, et à tous ceux qui se reconnaissent dans la devise de la République : « Liberté, Égalité, Fraternité", conclut-il.
avec tout le respect que je dois à l'auteur de cet article, il me semble que celui-ci fait preuve de niaiserie en déclarant que la France est un pays des droits de l'homme puisque les droits de l'homme en France ne concerne d'abord que les Français de souche, quant au cas de ce prisonnier il me parait très difficile pour la France d'intervenir en sa faveur du fait des relations très intimes avec le pouvoir marocain, donc aucune pression sur ses amis en cas de refus.Néanmoins, il sera plus judicieux de faire intervenir plutôt les américains ou la cour internationale des droits de l'homme
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