Les autorités d’occupation marocaines ont empêché la tenue de la première activité de l’Association sahraoui des victimes de violation des droits de l’homme (ASVVDH), dans la capitale sahraouie Al Aâyoun occupée
Les autorités d’occupation marocaines ont empêché la tenue de la
première activité de l’Association sahraoui des victimes de violation
des droits de l’homme (ASVVDH), dans la capitale sahraouie Al Aâyoun
occupée, ont rapporté hier des sites électroniques. Selon les mêmes
sources, les autorités d’occupation ont empêché la tenue d’une «session
de formation» de quatre jours à Al Aâyoun que comptait organiser cette
l’ONG (officiellement reconnue par Rabat) au profit de femmes
pro-Polisario sur «le rôle de la gente féminine dans le conflit du
Sahara occidental et la récupération de la mémoire».
La maison, qui devait abriter les cours, a été encerclée par les forces de l’ordre, rendant impossible son accès, a-t-on ajouté. Ce qui semble reproché à la direction de l’ONG, a-t-on précisé, c’est «cette persistance à agir dans la clandestinité : les associations ayant leurs récépissés organisent en effet leurs événements dans des salles publiques ou dans des hôtels et non dans des domiciles».
La maison, qui devait abriter les cours, a été encerclée par les forces de l’ordre, rendant impossible son accès, a-t-on ajouté. Ce qui semble reproché à la direction de l’ONG, a-t-on précisé, c’est «cette persistance à agir dans la clandestinité : les associations ayant leurs récépissés organisent en effet leurs événements dans des salles publiques ou dans des hôtels et non dans des domiciles».
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