le 29/10/2016
La traditionnelle marche de protestation qu’organise annuellement la Coordination nationale espagnole des associations amies avec le peuple sahraoui, pour protester contre les accords de Madrid, aura lieu le 12 novembre dans la capitale espagnole, a rapporté hier l’APS citant le président de cette coordination, José Taboada.
Cette marche, à laquelle prendront part des centaines de sympathisants
et d’associations amies avec le peuple sahraoui ainsi que des militants
des droits de l’homme qui viendront de toutes les provinces et régions
espagnoles, vise à «protester et à dénoncer ces accords signés le 14
novembre 1975, en vertu desquels les territoires sahraouis ont été cédés
au Maroc et à la Mauritanie, en plus des accords de pêche et de
coopération économique et industrielle» entre l’Espagne et le Maroc,
puissance occupante du Sahara occidental.
Plus de 40 ans après ces accords, «des milliers de Sahraouis vivent dans des conditions difficiles dans les camps de réfugiés et des milliers d’autres subissent toutes sortes de violations de leurs droits les plus fondamentaux», a expliqué José Taboada. Cette marche vise, selon ce responsable, «à rappeler à tous que l’Espagne a renoncé à ses responsabilités historiques vis-à-vis du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’achèvement du processus de décolonisation du Sahara occidental» et doit de ce fait «réparer les injustices commises envers ce peuple qui souffre depuis des années».
Cette manifestation est organisée quelques jours seulement avant l’ouverture de la 41e Conférence européenne de soutien et de solidarité avec le peuple sahraoui (Eucoco) qui se tiendra les 18 et 19 novembre dans la ville espagnole de Vilanova (province de Barcelone). Cette nouvelle édition de l’Eucoco constitue, selon ses organisateurs, une opportunité pour tous de rechercher «une solution définitive et démocratique à ce conflit et réparer l’injustice, faite il y a plus de 40 ans, envers le peuple sahraoui». Elle permettra en outre «de lancer un appel fort et clair aux dirigeants espagnols afin d’assumer leur responsabilité historique envers le Sahara occidental, dans le respect du droit international», sachant que l’Espagne présidera le Conseil de sécurité des Nations unies à partir de décembre prochain.
Le mouvement de solidarité espagnol avec le peuple sahraoui attend beaucoup de son prochain gouvernement à qui il demande «d’impulser un véritable débat aux Nations unies afin de pouvoir appliquer les résolutions onusiennes relatives à l’organisation d’un référendum d’autodétermination et de fixer une date précise afin que le peuple sahraoui puisse décider librement et démocratiquement de son avenir», a indiqué José Taboada.
Plus de 40 ans après ces accords, «des milliers de Sahraouis vivent dans des conditions difficiles dans les camps de réfugiés et des milliers d’autres subissent toutes sortes de violations de leurs droits les plus fondamentaux», a expliqué José Taboada. Cette marche vise, selon ce responsable, «à rappeler à tous que l’Espagne a renoncé à ses responsabilités historiques vis-à-vis du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’achèvement du processus de décolonisation du Sahara occidental» et doit de ce fait «réparer les injustices commises envers ce peuple qui souffre depuis des années».
Cette manifestation est organisée quelques jours seulement avant l’ouverture de la 41e Conférence européenne de soutien et de solidarité avec le peuple sahraoui (Eucoco) qui se tiendra les 18 et 19 novembre dans la ville espagnole de Vilanova (province de Barcelone). Cette nouvelle édition de l’Eucoco constitue, selon ses organisateurs, une opportunité pour tous de rechercher «une solution définitive et démocratique à ce conflit et réparer l’injustice, faite il y a plus de 40 ans, envers le peuple sahraoui». Elle permettra en outre «de lancer un appel fort et clair aux dirigeants espagnols afin d’assumer leur responsabilité historique envers le Sahara occidental, dans le respect du droit international», sachant que l’Espagne présidera le Conseil de sécurité des Nations unies à partir de décembre prochain.
Le mouvement de solidarité espagnol avec le peuple sahraoui attend beaucoup de son prochain gouvernement à qui il demande «d’impulser un véritable débat aux Nations unies afin de pouvoir appliquer les résolutions onusiennes relatives à l’organisation d’un référendum d’autodétermination et de fixer une date précise afin que le peuple sahraoui puisse décider librement et démocratiquement de son avenir», a indiqué José Taboada.
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