Femme néerlandaise poignardée à Casablanca |
Les attentats contre les étrangers chrétiens se multiplient au Maroc. Le
gouvernement marocain tente de dissimuler son problème avec le
terrorisme dans le but de préserver la position du Maroc en tant que
destination touristique préférentielle des vacanciers européens.
Les autorités marocaines avancent que ces attaques ont été exécutées par
des personnes affectées par des maladies mentales. Cependant, les
agressions contre les touristes ne cessent de se multiplier et il est de
plus en plus évident qu'elles sont exécutées au nom de l'Islam.
Le 4 octobre 2016, une néerlandaise et ses deux enfants en visite à
Casablanca ont été poignardés par un Marocain pendant qu'ils visitaient
la Mosquée Hassan II. La vidéo de l'agression filmé par un témoin a fait le tour des réseaux
sociaux mettant fin au mythe du Maroc comme destination privilégiée des
touristes européens.
Une agression qui a été accueillie avec un mutisme total de la part des autorités qui ont, non seulement imposé le black-out dans la presse locale, mais ont aussi demandé la discrétion aux autorités consulaires néerlandaises.
La même attitude adoptée par le Makhzen, lors de l'attaque de cinq
employés italiens d'un cirque de jeux par un Marocain, le 24 août
dernier à Kenitra, tuant l'un d'entre eux et blessant quatre autres. Là
encore, les autorités avaient, sur le coup, essayé de minimiser la
portée politique de cette agression, en imputant l’acte à un
«récidiviste» et circonscrire l’acte dans le cadre d’un «différend
personnel» entre le mis en cause et le propriétaire du cirque qui
l’aurait licencié de son emploi. Il n’est surtout pas question de
suspecter un cas de «xénophobie» ou, pis encore, un acte «terroriste».
Alors que ces deux actes portent toutes les caractéristiques d’un acte
de xénophobie teinté de terrorisme.
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