Le
Maroc et l'Algérie sont plus que deux simples voisins. Ces deux pays
ont plus de choses en partage que le contraire. Leurs peuples ont
plusieurs caractéristiques sociologiques et culturelles en commun.
Aucun chauvinisme d'État ou acteur malveillant ne peuvent faire abstraction de cette réalité ou l'évacuer de la réflexion.
Vive le Maroc!
Vive l'Algérie!
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Mes
cher(e)s ami(e)s, en 24 heures, presque à une minute près, nous avons
pu réunir autour de cette initiative plus de 2600 personnes. C'est dire
combien est grand l'intérêt, je dirai l'engouement, que portent
Algériens et Marocains à la question des relations entre leurs pays
respectifs. Pour certains cet intérêt est sous-tendu par un certain
sentimentalisme qui remonte aux glorieuses années où l'idéal de l'Union
maghrébine était sur toutes les bouches. Pour d'autres - la majorité
certainement - par une démarche pragmatique qui prend en compte
l'impérative nécessité de voir le bloc Algérie-Maroc - composante
charnière de ce "Maghreb Uni" annoncé, une première fois, par une
déclaration d'intention, à Tanger, il y a de cela 65 ans (1948), puis
une deuxième fois, à Marrakech, en février 1989, par un Traité dûment
paraphé par 5 chefs d'Etat. De voir ce bloc, je disais, se constituer
pour faire face aux défis d'aujourd'hui que sont la lutte contre la
précarité économique, le déficit en démocratie, l'exclusion...
Seulement voilà : le fait est que, 26 ans après ce traité, on n'a jamais
été aussi loin de cet objectif qu'est la construction du Maghreb Uni.
En raison, bien évidemment, et en premier lieu, de cette éternelle
brouille qui marque les relations algéro-marocaines depuis le début des
années 60 et non, depuis le début du conflit autour de la question du
Sahara, qui n'en est que le pendant, comme le pensent beaucoup de
personnes.
Il est un "contentieux historique" qui pèse de tout son
poids sur ces relations et qui rend difficile un retour à de meilleurs
sentiments entre les politiques des deux pays qui, depuis les
indépendances, s'emploient à l'exacerber. Parfois au gré de simples
humeurs idéologiques, souvent pour des considérations de politique
intérieure où il est fait appel, d'un côté comme de l'autre, aux
nationalismes étroits pour "souder" les "fronts intérieurs" contre le
voisin d'en face.
La dernière escalade, celle d'il y a quelques
jours, n'a pas dérogé à cette règle. On reprend les mêmes arguties et on
recommence le même pathétique "chassé-croisé".
Aujourd'hui, les
deux peuples frères ont, dans leur grande majorité, enfin compris, et je
souhaite ne pas me tromper, de quoi tournent ces "je t'aime moi non
plus" récurrents qui épisodiquement viennent nous donner des sueurs
froides.
Ce pourquoi nous citoyens de la société civile des deux
pays avons décidé de dire NON, aujourd'hui, à la situation d'otages dans
laquelle nous nous trouvons depuis plus d'un demi-siècle.
De dire NON
aux politiques qui gèrent lamentablement le voisinage entre deux pays
que tout rapproche.
De dire NON à l’exaspération et l'exploitation des
nationalismes chauvins à des fins douteuses.
Cependant, dire Non ne
suffit pas pour réussir ce pourquoi nous sommes dans ce groupe et
prochainement dans une structure associative, si se dégage une volonté
de le faire. Il y a lieu, avant de dire Non, de faire un travail sur
nous-même : éviter les débats qui pourraient faire ressusciter quelques
démons du passé - traduction du chauvinisme que j'évoque plus haut -,
ceux en rapport avec la question de l'Amazighité; les insultes à
l'endroit des régimes en place qui seraient de nature à donner du grain à
moudre et des raisons aux baltaguias des deux bords pour venir faire
capoter cette noble entreprise que nous entreprenons.
Focalisons sur l'essentiel : créer les conditions d'une fraternité à même de provoquer un dégel et une paix durables.
Ceci n'est pas une charte du groupe. C'est juste une réflexion
Abdellah Zaâzaâa publié surPeuple frère Marocain et Algérien
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Par Rabia Amine et Douja El Jamri ont partagé la photo de Aziz Akkaoui.
vive l'union du grand Maghreb
à bas le makhzen et les généraux !
En Algérie comme au Maroc ,les chaines de télévision font l'apologie du chauvinisme abject et assassin!!!
ici comme comme de l'autre coté de "zouj bghal" c'est le peuple élu de Dieu !
au royaume comme en république,l'enfer c'est l'autre !
le makhzen et les généraux attisent les haines , déterrent la hache de guerre, et appellent au meurtre !
peuples du Maghreb unissez vous ! et chassez mouches moustiques et cafards !!!
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Radouane
Baroudi a publié dans Peuple frère Marocain et Algérien
Aucun chauvinisme d'État ou acteur malveillant ne peuvent faire abstraction de cette réalité ou l'évacuer de la réflexion.
Vive le Maroc!
Vive l'Algérie!
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Mes
cher(e)s ami(e)s, en 24 heures, presque à une minute près, nous avons
pu réunir autour de cette initiative plus de 2600 personnes. C'est dire
combien est grand l'intérêt, je dirai l'engouement, que portent
Algériens et Marocains à la question des relations entre leurs pays
respectifs. Pour certains cet intérêt est sous-tendu par un certain
sentimentalisme qui remonte aux glorieuses années où l'idéal de l'Union
maghrébine était sur toutes les bouches. Pour d'autres - la majorité
certainement - par une démarche pragmatique qui prend en compte
l'impérative nécessité de voir le bloc Algérie-Maroc - composante
charnière de ce "Maghreb Uni" annoncé, une première fois, par une
déclaration d'intention, à Tanger, il y a de cela 65 ans (1948), puis
une deuxième fois, à Marrakech, en février 1989, par un Traité dûment
paraphé par 5 chefs d'Etat. De voir ce bloc, je disais, se constituer
pour faire face aux défis d'aujourd'hui que sont la lutte contre la
précarité économique, le déficit en démocratie, l'exclusion...
Seulement voilà : le fait est que, 26 ans après ce traité, on n'a jamais
été aussi loin de cet objectif qu'est la construction du Maghreb Uni.
En raison, bien évidemment, et en premier lieu, de cette éternelle
brouille qui marque les relations algéro-marocaines depuis le début des
années 60 et non, depuis le début du conflit autour de la question du
Sahara, qui n'en est que le pendant, comme le pensent beaucoup de
personnes.
Il est un "contentieux historique" qui pèse de tout son
poids sur ces relations et qui rend difficile un retour à de meilleurs
sentiments entre les politiques des deux pays qui, depuis les
indépendances, s'emploient à l'exacerber. Parfois au gré de simples
humeurs idéologiques, souvent pour des considérations de politique
intérieure où il est fait appel, d'un côté comme de l'autre, aux
nationalismes étroits pour "souder" les "fronts intérieurs" contre le
voisin d'en face.
La dernière escalade, celle d'il y a quelques
jours, n'a pas dérogé à cette règle. On reprend les mêmes arguties et on
recommence le même pathétique "chassé-croisé".
Aujourd'hui, les
deux peuples frères ont, dans leur grande majorité, enfin compris, et je
souhaite ne pas me tromper, de quoi tournent ces "je t'aime moi non
plus" récurrents qui épisodiquement viennent nous donner des sueurs
froides.
Ce pourquoi nous citoyens de la société civile des deux
pays avons décidé de dire NON, aujourd'hui, à la situation d'otages dans
laquelle nous nous trouvons depuis plus d'un demi-siècle.
De dire NON
aux politiques qui gèrent lamentablement le voisinage entre deux pays
que tout rapproche.
De dire NON à l’exaspération et l'exploitation des
nationalismes chauvins à des fins douteuses.
Cependant, dire Non ne
suffit pas pour réussir ce pourquoi nous sommes dans ce groupe et
prochainement dans une structure associative, si se dégage une volonté
de le faire. Il y a lieu, avant de dire Non, de faire un travail sur
nous-même : éviter les débats qui pourraient faire ressusciter quelques
démons du passé - traduction du chauvinisme que j'évoque plus haut -,
ceux en rapport avec la question de l'Amazighité; les insultes à
l'endroit des régimes en place qui seraient de nature à donner du grain à
moudre et des raisons aux baltaguias des deux bords pour venir faire
capoter cette noble entreprise que nous entreprenons.
Focalisons sur l'essentiel : créer les conditions d'une fraternité à même de provoquer un dégel et une paix durables.
Ceci n'est pas une charte du groupe. C'est juste une réflexion
Abdellah Zaâzaâa publié surPeuple frère Marocain et Algérien
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Par Rabia Amine et Douja El Jamri ont partagé la photo de Aziz Akkaoui.
vive l'union du grand Maghreb
à bas le makhzen et les généraux !
En Algérie comme au Maroc ,les chaines de télévision font l'apologie du chauvinisme abject et assassin!!!
ici comme comme de l'autre coté de "zouj bghal" c'est le peuple élu de Dieu !
au royaume comme en république,l'enfer c'est l'autre !
le makhzen et les généraux attisent les haines , déterrent la hache de guerre, et appellent au meurtre !
peuples du Maghreb unissez vous ! et chassez mouches moustiques et cafards !!!
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Radouane
Baroudi a publié dans Peuple frère Marocain et Algérien
De dire NON aux politiques qui gèrent lamentablement le voisinage entre deux pays que tout rapproche.
De dire NON à l’exaspération et l'exploitation des nationalismes chauvins à des fins douteuses.
Abdellah Zaâzaâa publié surPeuple frère Marocain et Algérien
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Par Rabia Amine et Douja El Jamri ont partagé la photo de Aziz Akkaoui.
vive l'union du grand Maghreb
à bas le makhzen et les généraux !
En Algérie comme au Maroc ,les chaines de télévision font l'apologie du chauvinisme abject et assassin!!!
ici comme comme de l'autre coté de "zouj bghal" c'est le peuple élu de Dieu !
au royaume comme en république,l'enfer c'est l'autre !
le makhzen et les généraux attisent les haines , déterrent la hache de guerre, et appellent au meurtre !
peuples du Maghreb unissez vous ! et chassez mouches moustiques et cafards !!!
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Radouane Baroudi a publié dans Peuple frère Marocain et Algérien
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Radouane Baroudi a publié dans Peuple frère Marocain et Algérien
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