par yabiladi, 21/4/2015
La Cour d’appel de Rabat a reporté ce mardi l’examen de l’affaire Hicham Mansouri au 28
avril prochain. Ce report avait été demandé par les avocats de l’activiste des droits humains inculpé de complicité d’adultère et incarcéré à la prison Zaki de Salé.
Suite à la décision de justice prononcée aujourd’hui, Avocats Sans Frontières (ASF) a pris note et a rappelé « toute l’importance de respecter les droits de la défense et les exigences du procès équitable ». L’organisation non gouvernementale internationale observe le déroulement du procès d’Hicham Mansouri, chargé de projet de l'AMJI, au regard des standards internationaux.
« Le report prononcé par la Cour d’Appel répond à une requête légitime des avocats de la défense, étant donné l’annonce tardive de la date d’audience d’aujourd’hui », estime Bahia Zrikem, représentante d’ASF pour la région Maghreb – Moyen Orient dans un communiqué parvenu à la rédaction. « Nous suivons de très près la suite de la procédure et espérons que les standards internationaux seront respectés », a-t-elle ajouté.
Pour ASF, le procès de Mansouri s’inscrit dans une pratique « malheureusement assez courante » qui consiste à entraver le travail des défenseurs de la liberté d’expression, par le biais de poursuites judiciaires de droit commun.
La Cour d’appel de Rabat a reporté ce mardi l’examen de l’affaire Hicham Mansouri au 28
avril prochain. Ce report avait été demandé par les avocats de l’activiste des droits humains inculpé de complicité d’adultère et incarcéré à la prison Zaki de Salé.
Suite à la décision de justice prononcée aujourd’hui, Avocats Sans Frontières (ASF) a pris note et a rappelé « toute l’importance de respecter les droits de la défense et les exigences du procès équitable ». L’organisation non gouvernementale internationale observe le déroulement du procès d’Hicham Mansouri, chargé de projet de l'AMJI, au regard des standards internationaux.
« Le report prononcé par la Cour d’Appel répond à une requête légitime des avocats de la défense, étant donné l’annonce tardive de la date d’audience d’aujourd’hui », estime Bahia Zrikem, représentante d’ASF pour la région Maghreb – Moyen Orient dans un communiqué parvenu à la rédaction. « Nous suivons de très près la suite de la procédure et espérons que les standards internationaux seront respectés », a-t-elle ajouté.
Pour ASF, le procès de Mansouri s’inscrit dans une pratique « malheureusement assez courante » qui consiste à entraver le travail des défenseurs de la liberté d’expression, par le biais de poursuites judiciaires de droit commun.
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